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XLVII.

Il n’est donc plus d’espoir

263

XLVIII.

Partons, la voile est prête

264

XLIX.

Eh ! le pourrai-je au moins

264

L.

Souvent le malheureux sourit

265

LI.

Je suis en Italie, en Grèce

266

LII.

Île charmante, Amphitrite

268

LIII.

Soit que le doux amour

269

LIV.

Sur la mort d’un enfant

270

LV.

Allons, douce Élégie

272

LVI.

Ah ! tu ne m’entends point

273

LVII.

Pour mon élégie nocturne

274

LVIII.

Que sert des tours d’airain

275

LIX.

Lorsqu’un amant qui pleure

276

LX.

276

LXI.

Je revois tous ses traits

277

LXII.

Ô de nœuds mutuels

277

LXIII.

Non, ces doctes beautés

278

LXIV.

Non, laisse-moi, retiens

278

LXV.

Vois ta brillante image

279

LXVI.

Elle a pu me bannir

280

LXVII.

Je dors, mais mon cœur veille

280

LXVIII.

Ainsi le jeune amant

281

LXIX.

Ô peuple des oiseaux

282

LXX.

Et moi quand la chaleur

282

LXXI.

Triste chose que l’amour

283

LXXII.

À l’heure où quelque amant

283

LXXIII.

On ne vit que pour soi

285

LXXIV.

Je t’indique le fruit

287

LXXV.

Seul dans la forêt

289

LXXVI.

290

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