Livre:Jodelle - Les Amours et Autres Poésies, éd. Van Bever, 1907.djvu

TitreLes Amours et Autres Poésies
AuteurÉtienne Jodelle Voir l'entité sur Wikidata
ÉditeurAd. Van Bever
Maison d’éditionE. Sansot & Cie
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1907
BibliothèqueInternet Archive
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Pages

TABLE


Avertissement 7
Vie d’estienne jodelle par G. Colletet 11
Bibliographie 52

LES AMOURS

SONNETS :
I. Madame, c’est à vous à qui premierement 59
II. Des astres, des forests et d’Acheron l’honneur 61
III. De quel Soleil, Diane, empruntes-tu tes traits 61
IV. Encor que toy, Diane, à Diane tu sois 62
V. Si quand tu es en terre, ô Diane, ta face 63
VI. Quand ton nom je veux faire aux effects rencontrer 64
VII. Quelque lieu, quelque amour, quelque loy qui t’absente 64
VIII. Si quelqu’un veut sçavoir qui me lie et enflame 65
IX. Amour vomit sur moy sa fureur et sa rage 66
X. Ou soit que la clairté du soleil radieux 66

XI. Passant dernierement des Alpes au travers 67
XII. Madame, j'ay regret de quoy je n’ay cet heur 68
XIII. Plus tost la mort me vienne devorer 68
XIV. J’aime le verd laurier, dont l’hyver ny la glace 69
XV. Jusqu’aux autels je n’iray seulement 70
XVI. Que n’ay-je mes esprits un peu plus endormis 70
XVII. Maudiray-je Madame, ou le sort envers moy 71
XVIII. Avec ton cher pourtraict, qui dans mon ame esprise 72
XIX. Afin qu’en cet ouvrage, aux faces de dehors 72
XX. Des trois sortes d’aimer la première exprimée 73
XXI. Je vivois, mais je meurs, et mon cœur gouverneur 74
XXII. Quel humeur, mais quel crime alors qu’on se dispence 75
XXIII. Quel heur Anchise, à toy, quand Venus sur les bords 76
XXIV. Je te ren[s] grâce, Amour, et quiconques des Dieux 76
XXV. La Roche du Caucase, où du vieil Promethée 77
XXVI. Des maux qu’un desespoir, ou qu’un espoir contraire 77
XXVII. En ce jour que le bois, le champ, le pré verdoye 78
XXVIII. Et quoy ? tu fuis Amour ? dis-tu pas : et pourquoy ? 79
XXIX. Celle qui est au vif de quelque amour atteinte 79
XXX. Comme un qui s’est perdu dans la forest profonde 80
XXXI. En mon cœur, en mon chef (l’un source de la vie 81
XXXII. Allez mes vers, enfans d’un dueil tant ennuyeux 81

XXXIII. Il faut que pour ton may, quiconques soit celuy 82
XXXIV. Recherche qui voudra cet amour qui domine 83
XXXV. Pourroy-je voir l’heureuse et fatale journée 83
XXXVI. Tout cet hiver par l’aspre et l’aigre véhémence 84
XXXVII. Sans pleurer (car je hay la coustumiere feinte 85
XXXVIII. Quand ton nom je veux feindre, ô Françoise divine 85
XXXIX. Admirant ta blancheur, beauté, majesté, gloire 86
XL. De moy mesme je suis devotieux, Madame 87
XLI. Sapphon la docte Grecque, à qui Phaon vint plaire 87
XLII. Je me trouve et me pers, je m’asseure et m’effroye 88
XLIII. Je ne suis de ceux-là que tu m’as dit se plaindre 89
XLIV. Aux communes douleurs qui poindre en ce jour viennent 90
XLV. Par quel sort, par quel art, pourrois à ton cœur rendre 90
XLVI. Chaque temple en ce jour donne argument fort ample 91
XLVII. En tous maux que peut faire un amoureux orage 92

CHAPITRES D’AMOUR :
I. Je croy lorsque nostre ame est du joug asservie 93
II. Quand en espoir et peur par les vers que je chante 97

CHANSONS :
I. Pour le seigneur de Brunel 104
II. L’aspre et l’estrange flame 110


III. Pour respondre a celle de Ronsard : Quand j’estois libre, etc 113
IV. Ma passion, qui a peur 119
V. Chanson divisée en trois airs 127
VI. Pour respondre a celle de Ronsard : Je suis Amour, etc 132
VII. Faut-il, chanson, que je desemprisonne 138
VIII. Pour la defense de l'amour 140
IX.J’ay sans nulle occasion 145
X. O bel œil, ô blanc tetin 151

ELEGIES :
I. Je suis parmi le trouble et le soing et l’apprest 157
II. Madame, si jamais ma douce liberté 158
Ode sur la devise de nœu et de feu 164

POESIES DIVERSES

CONTR’AMOURS [SONNETS] :
I. Vous ô Dieux, qui à vous presque égalé m’avez 169
II. O toy qui as et pour mere et pour pere 170
III. Dès que ce Dieu soubs qui la lourde masse 171
IV. Je m’étais retiré du peuple, et solitaire 171
V. Myrrhe bruloit jadis d’une flamme enragée 172
VI. O traistres vers, trop traistres contre moy 173
VII. Combien de fois mes vers ont-ils doré 173
Contre l’arriere Venus 175

CONTRE LES MINISTRES, etc. [SONNETS] :
I. Ne m'est-ce assez, helas ! puis qu’il faut commencer 184
II. Ce qui devait le plus découvrir telles rages 185

III. Quoy que ces éhontez qui n’ont eu leurs pareils 185
IV. Que t’ont (ô Dieu !) meffait, ou ma France ou mon Prince 186
V. Je ne crains pas que Dieu, le sçavoir, la vertu 187
VI. Je hay qu’estans tous presque arrachez de dedans 187
VII. Un fort et seur esprit se renforce et soulage 188
VIII. Tout mon regret n’est pas que ta durable Eglise 189
IX. Des nations que Christ à son sainct nom soubmet 189
X. Il faut qu’un cours du ciel estrangement contraire 190
XI. Que de ce siècle horrible on me peigne un tableau 191
XII. Je sçay que mille escrits, l’apparence du vray 191
XIII. En songeant aux moyens qui par eux ont esté 192
XIV. Je m’emerveillois fort, sans penser n’au Papisme 193
XV. Est-ce Christ, ou Satan, ambition ou zele 193
XVI. O moy pourtant heureux de l’heur qu’aurait ma France 194
XVII. Christ, pacifique Roy, qui entre les tiens estre 195
XVIII. Tous les saincts mandemens, que nostre foy chrestienne 195
XIX. Depuis que j'ay leur cause entièrement sondée 196
XX. Que je ris quand je voy ces placarts, ces requestes 197

SONNETS DIVERS :
I. Au Roy Charles IX, après la reduction du Havre 198
II. Pour le jour que la paix fust faicte (1568) 199


III. Pour le jour de Pasques ensuivant 200
IV. Pour le jour de la Pentecoste ensuivant 200
V. A la royne, mere du Roy 201
VI. A la mesme 202
VII. A M. le Comte de Fauquemberge et de Courtenay 202
VIII. A M. Symon 203
IX. L’amour céleste de vertu 204
X. A Mademoiselle de Surgieres 205
Aux cendres de Claude Colet 206
Chœur des Troyens 209
Chœur 214
A sa Muse 215

PIECES SATYRIQUES :
L’ombre au Passant 218
Sonnets affichez en plusieurs endroits de Paris :
I. Vouloir piper un Roy par ruse et par cautelle 220
II. Tenter par tous moyens de surprendre son Roy 221
III. Mais Dieu qui tient en main la force et la grandeur 222
Aux Passants 223

PIECES RARES OU INÉDITES

MESLANGES :
Chant de Pant 227
Satyre contre le Chancelier de L’Hospital 229
A I. du Bellay [Sonnet] 233
De la Fidelité des Huguenots [Sonnet] 234
Sur les Beautez d’une garse [Sonnet] 235

De Th. de Beze Faisant l'amour 236
De Th. de Beze 237
Sonnet aux poetes de ce temps 237

VERS D’AMOUR ET AUTRES POESIES

STANCES :
I. Sur le depart de Madame la Mareschale de Retz 240
II. Las de quelle seconde flame 244
III. Quel amour tant soit grand au mien se paragonne 247
IV. L’amour qu’on voit de myrthe et de laurier 249
V. Ce n’est que cruautés, ce ne sont que glaçons 251
VI. A Madame la Mareschale de Retz 252
Chanson 253

SONNETS AU ROY :
I. Quand soubz Jason la fleur de la Grecque noblesse 254
II. Les serpents du berceau, le Lion nemean 254
III. Quand je vois l’exercice honneste de la chasse 255
IV. Sont vains espouvantans que l’Aleman se meuve 256

A MADAME LA MARESCHALE DE RETZ [SONNETS] :
I. Le Ciel rioit de joye et la terre parée 256
II. J’ay faict de mes erreurs aujourd’huy pénitence 257

AUTRES SONNETS :
I. Sur ung portrait d'une resurrection 258
II. Le mal dont je me plains depuis ung si longtemps 258

III. Madame, vous devriez pour le bien de la France 259
IV. Beaux yeux, fiebvre, destin cause de ma tristesse 260
V. Sans languir si long temps en ceste fiebvre ardente 260
VI. Que ces monts de Fourviere et de la Citadelle 261
VII. Madame, près de vous quelque eblouissement 262
Table 263



ERRATA :

Page 9, ligne 10, lire : qui montre réalisées

Page 60, lignes 21 et 22, lire : à la charge de dame d’honneur de Catherine de Médicis.

Page 60, ligne 33, lire : qui suffiraient à former notre opinion si les quarante-sept sonnets publiés ici ne désignaient clairement l’objet des amours du poète.