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TABLE

III. Quoy que ces éhontez qui n’ont eu leurs pareils 185
IV. Que t’ont (ô Dieu !) meffait, ou ma France ou mon Prince 186
V. Je ne crains pas que Dieu, le sçavoir, la vertu 187
VI. Je hay qu’estans tous presque arrachez de dedans 187
VII. Un fort et seur esprit se renforce et soulage 188
VIII. Tout mon regret n’est pas que ta durable Eglise 189
IX. Des nations que Christ à son sainct nom soubmet 189
X. Il faut qu’un cours du ciel estrangement contraire 190
XI. Que de ce siècle horrible on me peigne un tableau 191
XII. Je sçay que mille escrits, l’apparence du vray 191
XIII. En songeant aux moyens qui par eux ont esté 192
XIV. Je m’emerveillois fort, sans penser n’au Papisme 193
XV. Est-ce Christ, ou Satan, ambition ou zele 193
XVI. O moy pourtant heureux de l’heur qu’aurait ma France 194
XVII. Christ, pacifique Roy, qui entre les tiens estre 195
XVIII. Tous les saincts mandemens, que nostre foy chrestienne 195
XIX. Depuis que j'ay leur cause entièrement sondée 196
XX. Que je ris quand je voy ces placarts, ces requestes 197

SONNETS DIVERS :
I. Au Roy Charles IX, après la reduction du Havre 198
II. Pour le jour que la paix fust faicte (1568) 199

23.