Justine ou les Malheurs de la vertu
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Pour les autres éditions de ce texte, voir Justine (Sade).
Ô mon ami ! la prospérité du crime est comme la foudre, dont les feux trompeurs n'embellissent un instant l'atmosphère, que pour précipiter dans les abîmes de la mort, le malheureux qu'ils ont ébloui. |