Discussion Livre:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu

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I — Douleur Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/5 voir aussi la section problème
II - « L’amour et l’amitié, deux sentiments de l’âme » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/6
III — « Pour une mère, au monde est-il si triste chose » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/7
IV — « Le superbe cortège » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/10
V — Chant des Barricades Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/13
VI — « Lorsque la douce nuit, comme une douce amante » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/17
VII — « La nuit, à cet instant, ou l’âme veille encore » à transcrire Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/20, il n’y a pas d’accent sur le où dans le manuscrit, mais je pense qu’il faut le mettre sur le titre
VIII — « Mon dieu, puisque la nuit est si douce et si belle » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/21
IX — Conseils a un ami (sonnet) Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/22
X — La Cloche du soir Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/23
XI — « Existe-t-il sur terre une existence pire » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/24
XII — Sonnet d’après Kerner Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/44
XIII — « Connaissez-vous mon Andalouse » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/45
XIV — « En l’âme, il est souvent de mortelles douleur » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/49
XV — « J’aime ces doux oiseaux » à renommer peut-être en « J’aime ces doux oiseaux, qui promènent dans l’air » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/53
XVI — « Lorsque l'hiver approche, et triste tourmente » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/56
XVII — « Voyageur fatigué qui passes par la route » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/61
XVIII — Compliments Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/68
XIX — Chanson Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/74
XX — À ma sœur le jour de sa première communion Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/76
XXI — Au général Cambronne Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/78
XXII — La jeune fille (Sonnet) Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/81
XXIII — Bonheur domestique Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/82
XXIV — « Quand par le dur hiver » peut être à renommer en « Quand par le dur hiver tristement ramenée » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/83
XXV — [?] je ne vois pas les premiers mots du premier vers ; cette page donne pour titre "Catinetta mia", bizarre ! Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/84
XXVI — « Vous êtes jeune et belle » peut-être à renommer en « Vous êtes jeune et belle, et vos lèvres rieuses » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/85
XXVI (ée n° 26) — « Oui, croyez moi, ?, je vous dis prenez garde ! » quelques mots que je n’arrive pas à lire dans le premier vers Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/86
XXVII — « Comme la jeune vigne aux vieux frontons romain » Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/87
XXVIII — La Vie Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/93

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1 Cet intrigant de Dutilloy ; ou dubilloy Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/94
2 Hurrah pour Frédéric Petit Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/94
3 Mon ami monsieur Bequery Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/95
4 Mon vieux camarade Édouard Gand Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/95
5 Il est de si joyeuse humeur Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/96
6 L'habile docteur Peulevé Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/96
7 Quelle besogne a le docteur Froment! Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/97
8 Le jeune et brave aide - major Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/97
9 C'est Gédéon, l'homme qui rit Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/98
10 Vous le voulez, monsieur Laurent Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/98
11 Notre interminable Roger Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/99
12 Monsieur Julien au taint si frais Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/99
13 Voyez Madame Devailly Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/100
14 Mon cher ami de Jancigny Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/100
15 Tenez-le bien par le milieu Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/101
16 Si par erreur j'ai mis Bignon Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/101
17 A Michel Vion, le chevelu Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/102
18 Le premier président Dauphin Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/102
19 Au président Obry Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/103

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partie manquante :

Oh ! laissez-moi !

Oh ! laissez-moi !
Car j'ai rage et colère, et dans le fond de l’âme,
J'ai là, plus de douleur que n'a la pauvre femme
Au glas glacial du beffroi ‘.

Oh ! laissez-moi !
Un infernal penser me déchire la tête,
J'ai là plus de fureur que la mer de tempête,

Oh ! laissez-moi !

Oh ! laissez-moi !
La lionne rugit, quand sa cruelle engeance
Sous les coups des chasseurs a subi la vengeance,

Elle emplit l'air de son effroi !

Oh ! laissez-moi !
Plus tranquille, et plus triste en sa calme tristesse,
La colombe maudit le destin qui l’oppresse,

Oh ! laissez-moi !

Oh ! laissez-moi !
Au désert, la gazelle exhale pleurs et plainte ;
Le sang de la douleur l'a jusqu'au cœur atteinte ;
Le désert entend son émoi !

Oh ! laissez-moi !
La tigresse a perdu ses petits.
Sa colère
Ebranle terre et cieux !... moi... ! j'ai perdu ma mère !!!

Oh ! laissez-moi !

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