Œuvres complètes de David Ricardo

Œuvres complètes de David Ricardo


TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LES ŒUVRES DE RICARDO.





DES PRINCIPES DE L’ÉCONOMIE ET DE L’IMPÔT.


§ II. — La rémunération accordée à l’ouvrier varie suivant la nature du travail ; mais ce n’est pas là une des causes qui font varier la valeur relative des différentes marchandises 
 14
§ III. — La valeur des marchandises se trouve modifiée, non-seulement par le travail immédiatement appliqué à la production, mais encore par le travail consacré aux outils, aux machines, aux bâtiments qui servent à les créer 
 61
§ VI. — L’emploi des machines et des capitaux fixes, modifie considérablement le principe qui veut que la quantité de travail consacrée à la production des marchandises, détermine leur valeur relative 
 22
§ V. — Le principe qui veut que la valeur ne varie pas avec la hausse ou la baisse des salaires, se trouve encore modifié par la durée du capital et par la rapidité plus ou moins grande avec laquelle il retourne à celui qui l’a engagé dans la production 
 28
§ VI. — D’une mesure invariable des valeurs 
 31
§ VII. — Des différentes conséquences produites par les oscillations dans la valeur de la monnaie ou dans celle des marchandises que la monnaie, — ce symbole des prix, — sert à acheter 
 34


ŒUVRES DIVERSES


Relatives à des questions de monnaies, de banque, de finances et de liberté commerciale, traduites en français par M. Alc. Fonteyraud.


Introduction 
 398


Le haut prix des lingots est une preuve de la dépréciation des billets de banque ;


Traduit sur la cinquième édition corrigée et augmentée d’un Appendice, contenant des observations relatives à quelques passages d’un article de la Revue d’Édimbourg, sur la dépréciation de la circulation en papier ; ainsi que des propositions tendant à assurer au public une circulation aussi invariable que l’or avec un contingent très-modéré de ce métal 
 401
Appendice 
 436


Réponse aux observations pratiques de M. Bosanquet, sur le rapport de la commission des métaux précieux


CHAP. I. 
Observations préliminaires. — Exposé sommaire des objections présentées par M. Bosanquet, contre les conclusions de la commission 
 458
CHAP. II. 
Examen des faits que M. Bosanquet cite comme puisés dans l’histoire du change.
§ I. — Change avec Hambourg 
 482
§ II. — Change avec Paris 
 486
§ III. — Prétendue existence d’une prime sur la monnaie anglaise en Amérique. — Change favorable avec la Suède 
 489
§ IV. — Examen d’une décision de la commission relative au pair du change 
 494
CHAP. III. 
Examen des faits allégués par M. Bosanquet dans la prétendue réfutation du principe suivant : Un excédant du prix de marché des lingots sur le prix à la monnaie est la preuve d’une circulation dégradée.
§ I. — Nier cette conclusion, c’est proclamer l’impossibilité de fondre ou d’exporter toute monnaie anglaise, — et certes personne ne soutiendra une telle assertion. 
 482
§ II. — Conséquences qui résulteraient de l’hypothèse où les circulations monétaires des peuples (l’Angleterre exceptée) seraient diminuées ou accrues de moitié 
 486
§ III. — La légère hausse du prix de l’or sur le continent est due seulement à une variation dans le rapport de l’argent à l’or 
 489
§ IV. — Défaut attribué à la théorie de M. Locke, sur la refonte de 1696. 
 494
CHAP. IV. 
Étude des objections présentées par M. Bosanquet contre cette proposition : La balance des paiements a été favorable à l’Angleterre
 496
CHAP. IV. 
Considérations sur l’argument que présente M. Bosanquet, pour prouver que la Banque d’Angleterre na pas le pouvoir de donner cours forcé aux billets de banque : La balance des paiements a été favorable à l’Angleterre 
 504
CHAP. VI. 
Observations sur les principes du seigneuriage, ou droit de monnayage 
 510
CHAP. VII. 
Examen des objections présentées par M. Bosanquet contre cette proposition : « La circulation issue de la Banque d’Angleterre règle celle des banques de province » 
 514
CHAP. VIII. Considérations sur l’opinion suivante de M. Bosanquet : La cause exclusive du renchérissement des prix ne provient pas d’un excès de circulation, mais des impôts et d’une succession de disettes 
 521
CHAP. IX. Discussion sur ce principe de M. Bosanquet : La reprise des paiements en espèces entraînerait de grandes complications 
 528
Appendice complications 
 530


Essai sur l’influence du bas prix des blés sur les profits du capital ; montrant le vice des restrictions dirigées contre les importations ; et contenant des remarques sur les deux dernières publications de M. Malthus, ayant pour titres : Recherches sur la nature et les progrès de la rente (fermage), et Bases d’une opinion sur la législation restrictive dirigée contre l’importation des blés étrangers 
 539



Propositions tendant à l’établissement d’une circulation monétaire économique et sure, suivies d’observations sur les profits de la Banque d’Angleterre, envisagés relativement au public et aux actionnaires de son fonds social 
 571
Introduction 
 573
§ Ier. — Tout principe d’uniformité dans les agents de circulation est un principe de perfection. — De l’emploi d’une matière type. — Examen des objections que ce système a soulevées 
 577
§ II. — De l’emploi d’une matière type 
 580
§ III. — Des imperfections de l’étalon. Les variations qui tendent à abaisser la valeur de l’étalon ne compensent point celles qui l’affectent en sens contraire. — Les règles de toute monnaie de papier sont d’être en conformité parfaite avec l’étalon 
 583
§ IV. — Moyen propre à donner à la circulation de l’Angleterre, le degré de perfection possible 
 587
§ V. — D’une coutume qui crée un grand nombre d’inconvénients pour le commerce. — Remède proposé 
 594
§ VI. — La somme allouée à la Banque pour ses fonctions publiques est excessive. — Remède proposé 
 596
§ VII. — Profits et revenus de la Banque : leurs vicieuses destinations. — Remède proposé 
 610
Appendice. — 1. Tableau indiquant le montant de l’allocation annuelle, payée par le public, de 1797 à 1815, pour l’administration des dettes de l’Angleterre, de l’Irlande, de l’Allemagne et du Portugal 
 625
II. Tableau indiquant les sommes payées annuellement à la Banque pour le recouvrement des souscriptions aux emprunts publics 
 626
III. Montant général de la dette non rachetée de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, y compris des prêts faits à l’empereur d’Allemagne et au prince régent de Portugal, 1er février 1815 d’après le compte soumis au Parlement 
 626
IV. Moyenne de la circulation de billets de Banque» y compris les Bank-post-bills, pour chacune des années 1797 à 1815 
 627
V. Aperçu des profits de la Banque d’Angleterre pour l’année commençant le 5 janvier 1797 
 627

id. id. id. 1798 627

id. id. id. 1799. 627

id. id. id. 1800 627

id. id. id. 1801 628

id. id. id. 1802. 628


Introduction 
 645
§ Ier. — Du prix rémunérateur 
 647
§ II. — Influence de l’augmentation des salaires sur le prix du blé 
 649
§ III. — De l’influence des taxes spécialement assises sur une marchandise 
 652
§ iV. — De l’influence des belles récoltes sur le prix du blé 
 654
§ V. — De l’influence produite sur le prix des blés par le bill de M. Peel, relatif au rétablissement de l’ancien étalon 
 657
§ VI. — De l’influence qu’a le bas prix du blé sur le taux des profits 
 667
§ VII. — sous un régime de droits protecteurs destinés à concéder le monopole du marché national à nos cultivateurs de blé, les prix sont nécessairement soumis à de continuelles fluctuations. 
 671
§ VIII. — Examen du projet conçu dans le but de prêter de l’argent à bas intérêts, aux cultivateurs sur les blés 
 680
§ IX. — Peut-on attribuer aux impôts la détresse actuelle de notre agriculture ? 
 682
Conclusion 
 686
Appendice 
 691
Préface 
 698
Plan d’une Banque nationale 
 699
Essai sur le système des dettes consolidées et sur l’amortissement 
 713
Table générale des matières contenues dans les œuvres de Ricardo 
 748