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TABLE DES MATIÈRES


PREMIÈRE PARTIE
LA DESCENDANCE OU L’ORIGINE DE L’HOMME

Pages.
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 Nature des preuves sur l’origine de l’homme. — Conformations homologues chez l’homme et les animaux inférieurs. — Points de similitude divers. — Développement. — Conformations rudimentaires, muscles, organes des sens, cheveux, os, organes reproducteurs, etc. — Portée de ces trois ordres de faits sur l’origine de l’homme.
 
 Variabilité du corps et de l’esprit chez l’homme. — Hérédité. — Causes de la variabilité. — Similitude des lois de la variation chez l’homme et chez les animaux inférieurs. — Action directe des conditions d’existence. — Effets de l’augmentation ou de la diminution d’usage des parties. — Arrêts de développement. — Retour ou atavisme. — Variation corrélative. — Taux d’accroissement. — Obstacles à l’accroissement. — Sélection naturelle. — L’homme, animal prédominant dans le monde. — Importance de sa conformation corporelle. — Causes qui ont déterminé son attitude verticale. — Changements consécutifs dans sa structure. — Diminution de la grosseur des dents canines. — Accroissement et altération de la forme du crâne. — Nudité. — Absence de la queue. — Absence d’armes défensives.
 
 La différence entre la puissance mentale du singe le plus élevé et celle du sauvage le plus grossier est immense. — Communauté de certains instincts. — Émotions. — Curiosité. — Imitation. — Attention. — Mémoire. — Imagination. — Raison. — Amélioration progressive. — Instruments et armes employés par les animaux. — Abstraction, conscience de soi. — Langage. — Sentiment de la beauté. — Croyance en Dieu, aux agents spirituels, superstitions.
 
 Le sens moral. — Proposition fondamentale. — Les qualités des animaux sociables. — Origine de la sociabilité. — Lutte entre les instincts contraires. — L’homme, animal sociable. — Les instincts sociaux durables l’emportent sur d’autres instincts moins persistants. — Les sauvages n’estiment que les vertus sociales. — Les vertus personnelles s’acquièrent à une phase postérieure du développement. — Importance du jugement des membres d’une même communauté sur la conduite. — Transmission des tendances morales. — Résumé.