Cette page a été validée par deux contributeurs.
Chapitre VIII — Où il est parlé d’amour ; ce qui plaira, car un conte sans amour est comme du boudin sans moutarde, c’est chose insipide.
Chapitre IX — Où il apparaît que, comme l’a dit un vieux poète grec, « rien n’est plus doux qu’Aphrodite d’or ».
Chapitre X — Qui passe de beaucoup en audace les imaginations de Dante et de Milton.
Chapitre XI — Comment l’ange, vêtu des dépouilles d’un suicidé, laissa le jeune Maurice privé de son céleste gardien.
Chapitre XII — Où il est dit comment l’ange Mirar, en portant des grâces et des consolations dans le quartier des Champs-Elysées, à Paris, vit une chanteuse de café-concert, nommée Bouchotte, et l’aima.
Chapitre XIII — Où l’on entend la belle archange Zita exposer ses superbes desseins, et où l’on voit les ailes de Mirar mangées aux vers dans un placard.
Chapitre XIV — Qui nous fait paraître le Kéroub travaillant au bonheur de l’humanité et se termine d’une manière inouïe par le miracle de la flûte.
Chapitre XV — Où l’on voit le jeune Maurice regretter jusque dans les bras d’une amante son ange perdu, et où nous entendons M. l’abbé Patouille repousser comme abus et vanité, toute idée d’une nouvelle révolte des anges.
Chapitre XVI — Qui met tour à tour en scène Mira la Voyante, Zéphyrine et le fatal Amédée, et qui illustre, par l’exemple terrible de M. Sariette, cette