Livre:Hardy - Deux yeux bleus, trad. Paul-Margueritte, 1913.djvu

TitreDeux yeux bleus
AuteurThomas Hardy Voir l'entité sur Wikidata
TraducteurÈve Paul-Margueritte Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionPlon
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1913
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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Pages

TABLE DES MATIERES

Pages.
I. — « Une belle vestale régnait en occident… » 
 1
II. — « C’était un soir d’hiver… » 
 5
III. — « De mélodieux oiseaux chantaient des madrigaux. » 
 13
IV. — « Où la terre se soulève en un monceau de poussière. » 
 21
V. — « Profondément enfoui sous les arbres touffus. » 
 33
VI. — « Adieu pour quelques mois. » 
 43
VII. — « Vous ne saviez rien de moi, mon amour. » 
 49
VIII. — « Allen-a —dale n’est ni baron ni lord. » 
 68
IX. — « Son père entra en colère. » 
 79
X. — « A l’ombre d’un arbre séculaire. » 
 88
XI. — « Les voyages aboutissent à la réunion des amoureux. » 
 98
XII. — « Adieu ! crie-t-elle en agitant sa main blanche. » 
 110
XIII. — « Où plusieurs proverbes se justifient. » 
 125
XIV. — « Folâtrons pendant que dure le mois de mai. » 
 133
XV. — « Une voix égarée. » 
 141
XVI. — « La vision prend corps. » 
 144
XVII. — « Une bienvenue souhaitée d’une voix défaillante. » 
 149
XVIII. — « Il l’entend palpiter. » 
 155
XIX. — « L’amour vint ensuite. » 
 172
XX. — « L’amour loin de la colline. » 
 182
XXI. — « Sur tes froids rochers, ô mer ! » 
 198
XXII. — « Une idée de femme. » 
 206
XXIII. — « Oubliez-vous vos anciennes connaissances. » 
 213
XXIV. — « La brise, l’oiseau et la fleur disaient l’heure du jour. » 
 224
XXV. — « Mon vieil ami » 
 228
XXVI. — « A ce dernier rien qui pourrit sous terre. » 
 235
XXVII. — « Comment t’accueillerais-je ? » 
 241
XXVIII. — « Je berce mon tourment. » 
 256
XXIX. — « Attention ? tu te corromps ! » 
 266
XXX. — « Vassale de l’amour. » 
 279
XXXI. — « Un ver dans le fruit. » 
 288
XXXII. — « J’aurais voulu savoir avant de t’embrasser… » 
 295
XXXIII. — « O fille de Babylone te voilà consumée de chagrin ! » 
 302
XXXIV. — « Oui, heureux celui qui te récompensera selon tes mérites. » 
 308
XXXV. — « Vas-tu me quitter ainsi ? Dis non ! Dis non ! » 
 316
XXXVI. — « Argent, succès… » 
 322
XXXVII. — « Longtemps après » 
 326
XXXVIII. — « La jalousie est cruelle comme la mort. » 
 331
XXXIX. — « Tous deux aux côtés de l’aimée… » 
 340
XL. — « Soyez la bienvenue, noble dame. » 
 348