Livre:Bossut - Oeuvres de Blaise Pascal - 1 (FR-631136102 Ep 0171).pdf

TitreOeuvres de Blaise Pascal
Volume1
AuteurBlaise Pascal
ÉditeurCharles Bossut
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1779
BibliothèqueBibliothèque du Patrimoine de Clermont Auvergne Métropole
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TABLE DES MATIÈRES

Contenues dans le Tome premier.

Lettres Provinciales.

Lettre I. Des disputes de Sorbone, & de l’invention du terme de pouvoir prochain, dont les Molinistes se servirent pour faire conclure la Censure prononcée contre M. Arnaud,
Lettre II. De la Grâce suffisante,
Réponse du Provincial aux deux premieres Lettres de son Ami,
Lettre III. Pour servir de Réponse à la précédente. Injustice, absurdité & nullité de la Censure prononcée contre M. Arnaud,
Lettre IV. De la Grâce actuelle toujours présente, & des péchés d’ignorance
Lettre V. Dessein des Jésuites en établissant une nouvelle Morale. Deux sortes de Casuistes parmi eux : beaucoup de relâchés & quelques-uns de séveres : raison de cette différence. Explication de la doctrine de la Probabilité. Foule d’Auteurs modernes & inconnus, mis à la place des saints Peres
Lettre VI. Différents artifices des Jésuites pour éluder l’autorité de l’Evangile, des Conciles & des Papes. Quelques conséquences qui suivent de leur doctrine sur la Probabilité. Leurs relâchements en faveur des Bénéficiers, des Prêtres, des Religieux & des Domestiques. Histoire de Jean d’Alba,



Lettre VII. De la méthode de diriger l'intention selon les Casuistes. De la permission qu’ils donnent de tuer pour la défense de l’honneur & des biens, & qu’ils étendent jusqu’aux Prêtres & aux Religieux. Question curieuse proposée par Caramuel, savoir, s’il est permis aux Jésuites de tuer les Jansénistes,
Lettre VIII. Maximes corrompues des Casuistes touchant les Juges, les Usuriers, les Banqueroutiers, le Contrat Mohatra, les restitutions &c. Diverses extravagances des mêmes Casuistes,
Lettre IX. De la fausse dévotion que les Jésuites ont introduite à l’égard de la sainte Vierge. Diverses facilités qu’ils ont inventées pour procurer aux Chrétiens le moyen de se sauver sans peine parmi les douceurs & les commodités de la vie. Leurs maximes sur l'ambition, l'envie, la gourmandise, les équivoques, les restrictions mentales, les libertés qui sont permises aux filles, les habits des femmes, le jeu, le précepte d’entendre la Messe,
Lettre X. Adoucissements que les Jésuites ont apportés au Sacrement de Pénitence, par leurs maximes touchant la Confession, la satisfaction, l’absolution, les occasions prochaines de pécher, la contrition & l'amour de Dieu,
Lettre XI. Qu’on petit réfuter par des railleries les erreurs ridicules, précautions avec lesquelles on doit le faire : qu'elles ont été observées par Montalte, & quelles ne l'ont point été par les Jésuites : bouffonneries impies du Pere le Moine & du Pere Garasse,




Lettre XII. Réfutation des chicanes des Jésuites sur l'aumône & sur la simonie,
Lettre XIII. Que la doctrine de Lessius sur l'homicide est la même que celle de Victoria. Combien il est facile de passer de la spéculation à la pratique. Pourquoi les Jésuites se sont servis de cette vaine distinction, & combien elle est inutile pour Les justifier,
Lettre XIV. On réfute par les saints Peres les maximes des Jésuites sur l'homicide : on répond en passant à quelques-unes de leurs calomnies ; & l’on compare leur doctrine avec la forme qui s’observe dans les jugements criminels,
Lettre XV. Que les Jésuites ôtent la calomnie du nombre des crimes, & qu’ils ne font point de scrupule de s'en servir pour décrier leurs ennemis,
Lettre XVI. Calomnies horribles des Jésuites contre de pieux Ecclésiastiques & de saintes Religieuses,
Lettre XVII. Où l'on fait voir, en levant l'équivoque du sens de Jansénius, qu'il n'y a aucune hérésie dans l'Église : on montre, par le consentement unanime de tous les Théologiens , & principalement des Jésuites, que l'autorité des Papes & des Conciles écuméniques n'est point infaillible dans les questions de fait,
Lettre XVIII. On fait voir encore plus in vinciblement par la réponse même du P. Annat, qu’il n’y a aucune hérésie dans l’Eglise : que tout le monde condamne la doctrine que les Jésuites renferment dans le sens de Jansénius , & qu’ainsi tous les Fideles sont dans les mêmes sentiments sur la matiere des cinq Propositions. On marque la différence qu’il y a entre les disputes de droit & celles de fait, & on montre que dans les questions de fait, on doit plus s’en rapporter à ce qu’on voit, qu’à aucune autorité humaine,




Fragment d’une dix-neuvieme Lettre Provinciale, adressée au P. Annat,

Fin de la Table du Tome premier.