Les Caquets de l’Accouchée/Table analytique


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TABLE ANALYTIQUE.

Alais (Conférences d’). 88, 158, notes.

Aliénor de Poitiers. Son ouvrage les Honneurs de la cour, cité vii, viii.

Ancre (Le maréchal d’). Remplacé par Luynes. 67. V. Luynes, Mangot.

Andreini, dit Lelio. Joue à l’hôtel de Bourgogne. 9, note. — Ses séjours à Paris en 1618, 1621, 1623, 1624. Ibid. — Y publie son Teatro celeste. Ibid.

Ange (L’). Chirurgien. 128.

Angers. V. S.-Germain, de Vertus (la comtesse).

Angoulême (Le duc d’). Son conseil à ses laquais. 257, note.

Anne d’Autriche. Paie les frais du feu d’artifice pour la canonisation de sainte Thérèse. 49, note. — Elle aime les contes de revenant. 74, note.

Arc (Jeanne d’). Son éIoge. xxiv, 206.

Aremberg (Le comte d’). Secours qu’il amène au roi de France en 1567. 275, note.

Arlequin. Vient avec li Gelosi. 9, note. — La reine est marraine d’un de ses enfants. Ibid.

Artigny (L’abbé d’). Ses Mémoires de litterature, cités 98, note.

Aubigné (Agrippa d’). Son Baron de Fæneste, cité 152. — Pour la mode du paroistre. 178, note.

Aubry (Le président et la présidente). 150, note.

Auvray. Ses Satyres, citées 26, note. — Ses vers contre les huguenots. 86, note. — Portrait qu’il fait, dans une de ses satires, d’un goguelu à la mode. 105, note, 200.

Avenel (M.). Sa collection des Lettres de Richelieu, citée 68.

Baignolet (Marguilliers de) et leur procureur. 224.

Baronville. Son duel avec Dasquy. 40, note. — Pendu en effigie au bout du Pont-Neuf. Ibid.

Bassompierre (Le maréchal de). Sa liaison avec Marie d’Entragues. xxii. — Ses Mémoires, cités 57, note. — Ses services au siége de Montauban, à celui de Montpellier, au combat des Sables-d’Olonne. 169, note. — Fait maréchal de France. Ibid. — Il a toujours des Suisses pendus à sa ceinture. 170. — Il voudroit être connétable après Lesdiguières. Ibid. — Il fera mieux d’épouser Mlle d’Entragues. 171.

Bassompierre (Louis de). Fils du maréchal et de Marie d’Entragues, mort évêque de Senlis. xxii.

Bautru. Chassé de la cour. 161, note.

Beaufort (J. de). Cité 39–40, note.

Beaumarchais. Beau-père de la Vieuville. Rigueurs contre lui en 1624 ; il est pendu en effigie. 97, note.

Bellingen (Fleury de). Son Etymol. des proverbes, etc., citée 269, note.

Belot (J.). V. Mil-Monts.

Berigal (G. Peignot.). Son Hist. du Jaquemart de Dijon, citée 280.

Bermude (Le roy Dom). Donné pour père à sainte Thérèse. 50, 115.

Bertholde. Type des farces italiennes. 263–264, note.

Berulle (Le cardinal de). Sa mission à Rome pour le mariage du prince de Galles avec Henriette de France. 79, note 1. — Pense à établir les pères de l’Oratoire au Luxembourg ; achète l’hôtel d’Estrées. 80, note 2.

Berulistes. Leur opinion formelle contre l’exhérédation des enfants. 221.

Béthune (M. de). Ambassadeur à Rome, opposé à M. de Berulle. 79, note 2.

Beuvron (Le marquis de). Tué devant Montauban. 159, note.

Bistrade (La). Conseiller au grand conseil. 40 et note.

Bizet. Son plan d’embellissement pour Paris. 41, note.

Blois. Luynes y fait conduire l’argent qu’il devoit employer pour l’armée. 64, note.

Boesselière. Son cabaret. 28, note. — Prix qu’on y paie. Ibid.

Boileau-Despréaux. Au cloître Notre-Dame. 118, note.

Boiscourtier. Sa Requête générale, au nom des Parisiens, sur le voyage de S. M. 58, note.

Bonaparte (Nicolo). Sa comédie la Vedova, citée 273.

Bosse (Abrabam). Sa gravure des Caquets. xxv. — Sa gravure représentant un Quinze-Vingts. 199.

Boucher-d’Argis. Son Hist. abrégée des plus célèbres comédiens, citée 278, 281.

Bouillon (Le duc de). Dumoulin s’enfuit près de lui. 88. — S’entend avec Mansfeld. 191–192, note.

Bourbonnois. Prix des charges dans cette province. 131, note.

Bourderet. Financier ruiné. 40.

Bourgoing (J.). Son livre la Chasse aux larrons, cité dans les notes des pag. 39, 40, 95, 165, 166, 182.

Bourgoing (Le P.). Fait les airs des psaumes chantés à l’Oratoire. 82, note.

Brantes. L’un des frères de Luynes ; épouse une héritière de la maison de Luxembourg, et devient duc de Luxembourg-Piney. 67, note.

Bret (Le), conseiller. 135.

Brossette. Son erreur sur l’Espadon satyrique. 115, note.

Brullon, huissier. 258.

Brunet. Son Manuel du Libraire, cité 116, note.

Bruscambille (Deslauriers, dit). Donné à tort comme l’auteur des Caquets. xxvii.

Bruyne (Mme la). De tavernière (boutiquière) devenue superbe marchande. 217.

Cadenet. V. Chaulne.

Calvin. Son nom donné à un chien. 84.

Canillac (Le baron de). Tué devant Montauban. 159, note 2.

Castel (Jean). Son Miroir des pécheurs, cité au sujet des Caquetoires d’accouchée. xiii.

Cenami, financier. 40, note.

Cepède (Alonse Sanchez de). Donné pour père à sainte Thérêse. 50, 115.

Chalange, fameux partisan. 182. — Fait rendre des édits onéreux dont il partage les profits avec les ministres. 182, 183, 241, notes. — Exploite l’édit contre les procureurs. Ib., 258.

Chamilly (Mlle de). Réfugiée au cloître Notre-Dame. 118, note.

Chapelain. Sa traduction de Guzman d’Alpharache, citée 15, note.

Charenton (Ministres de). Lettre qu’ils écrivent au roi et que Richelieu combat. 86, note. — Fuite du ministre Dumoulin. 88, note.

Charles, médecin. 250.

Chaulne (M. de). Frère du connétable de Luynes, d’abord appelé M. de Cadenet. 67, note. — Fait maréchal à l’occasion de son mariage avec l’héritière de la maison de Chaulne. Ibid. — Intercède pour Monsigot. 146. — Il enlève au duc de Fronsac l’héritière du vidame d’Amiens. 160, note. — Ses menaces à M. le Prince, prisonnier à Vincennes. 162, note. — Il veut épouser la princesse d’Orange. 162, note.

Chevalier (Nicolas), le président. Fait instruire le procès du procureur général de sa justice. 27. — Rend service à Luynes. Ibid., note.

Chevreuse (La duchesse de), veuve de Luynes. Son peu d’influence en 1622. xxi, 148, note.

Chevry (Le président Duret de). Protége Monsigot. 147. — Son épitaphe satirique. 147, note.

Christine de Pisan. Son Trésor de la cité des Dames, cité viii, xxxiii.

Clairmonde (Madame). Se fait damoiselle aux dépens de son mari. 222.

Clérac. Pris par les troupes du roi. 57, note, 113, note.

Cœuvres (Marquis de). Son ambassade à Rome ; obtient le chapeau pour Richelieu. 149, note.

Coignet (Pierre du). Son image à Notre-Dame. 265, note.

Collerye (Roger de). Cité xiv, xlii.

Combalet. Tué devant Montauban. 159, note 2.

Condé (Le prince de). Tout se fait par ses avis. xvii, 67. — Pourquoi il se prend de haine contre les huguenots et se mêle aux affaires. Ib., note. — Menacé par Cadenet lorsqu’il est prisonnier à Vincennes. 161, 162, note.

Consinot, médecin de l’Hôtel-Dieu. Ses gages. 251.

Coquillart (Guill.). Cité xii, xxxvii.

Cordeliers. Leur rébellion contre la réforme qu’on veut introduire chez eux. 71, note 2.

Cordier, huissier. 258.

Cormier. Tabarin à ce cabaret. 268.

Cotel (L’affaire de). 142.

Coulange. Chanson citée. xv.

Courbouzon (Le sieur de). Empêche qu’on ne massacre l’ambassadeur d’Espagne. 162, note. — Sa furieuse escarmouche contre les Rochelois. 163, note.

Courval-Sonnet. Cité xiv.

Créqui (Le maréchal duc de). Gendre de Lesdiguières ; espère après lui être connétable. Ses droits. 170–171. — Son duel avec don Philippin. Ib., note.

Croisette (M. de la), usurier. Perd tout par la mort de son débiteur. 226.

Dangeau (Suppl. au Journal de). Cité 21, note 1 ; 47, note.

Darmingère (M.). 218.

Daubray ou Dambray (Claude). Erreur des Caquets à son sujet. 21, note. — Laisse, par testament, trois pains de sucre à l’Hôtel-Dieu. 22, 240.

Davity. Son livre Les Estats, Empires, etc., cité 71, note.

Desiderio Descombes, le Charlatan. 102. — Moins plaisant que Tabarin. 102, note ; 231. — Parle pour Grattelard dans la Sentence par corps. 278, 283.

Desplan. Fortune de ce parvenu. xxi. — Protégé de Luynes. 151, note. — Sa chute rapide. 160, note. — Ses commencements ; il est laquais, puis soldat au régiment de Navarre sous M. Cadenet. 161. — Visite M. Le Prince à Vincennes. Ib. — N’est pas fait maréchal de France, quoi qu’en disent les Caquets. 162, note.

Des Rues, financier. 40.

Dobillon, usurier. 29.

Doux (Le, madame). Sa fille la poupine. 222.

Dubreul. Ses Antiquités de Paris, citées 42, note.

Du Moulin, ministre protestant à Charenton. Sa fuite à Sédan. 88, note. — Lettre d’avis publiée sous son nom. Ibid.

Entragues (Marie d’). Sa liaison avec Bassompierre. xxii. — Il devroit l’épouser. 171. — Madame de Verneuil brouillée avec lui à cause d’elle. 169.

Esternod (Claude d’), véritable auteur de l’Espadon satyrique ; son pseudonyme de Franchères ; pourquoi l’on attribue son livre à M. de Fourquevaux ; titres divers donnés à ce même livre ; contrefaçon qu’il subit, etc. 115, 116, note.

Estienne (Henry). L’Apologie pour Herodote, citée 269, note.

Estoille (Journal de P. de l’) cité au sujet des lunettes d’Amsterdam. 253, note.

Fabri, trésorier de l’extraordinaire des guerres. 166, note.

Fail (Noël du). Ses Contes d’Eutrapel, cités 265, 268, notes.

Félibien. Son Hist. de Paris, citée 24, note.

Feu, conseiller. 254.

Feuillet (M.). 134.

Fiacre (Saint). Maladie dont il est le patron. 269.

Fontaine (La). Une de ses fables, citée 267, note.

Force (Le duc de La). Vend sa soumission au roi. 56, note. — Rend Sainte-Foy, qu’il avoit enlevée à Terbon. 57, note. — Sa bien-venue fêtée à Paris. 251.

Forget (Le président). 143, note.

Fournier (P.) Son Hydrographie, citée 61, note.

Fournier (Édouard). Ses Varietés historiques et littéraires, citées 61, 172, 183, 251, 254, 257, 258, 272, notes. — Son Paris démoli, cité 118, note. — Son livre l’Esprit des autres, cité 263, note. — Son Histoire des Hôtelleries et Cabarets, citée 268.

Fourquevaux (Le baron de). Ce nom n’est pas un pseudonyme ; le baron a existé, mais n’a pas fait l’Espadon satyrique. 115, note.

Fresne (M. du). 219.

Fronsac (Le duc de), fils du comte de Saint-Pol ; tué dans une sortie au siége de Montauban. 159, note. — Le roi écrit des lettres de consolation à son père et à sa mère. Ibid. — Ce que Luynes lui avoit promis. 160, note.

Garandine (M. de la). Sa femme, renfermée avec un jeune avocat, le laisse coucher à la porte. 216.

Gautier-Garguille. Son testament, cité 102, note 1. — Notes le concernant. 277, 278, 282, 285.

Geperny, fameux financier. 40.

Gondi (Jean-François de), dernier évêque de Paris. 189.

Goujet (L’abbé). Partage l’erreur de Brossette au sujet de l’Espadon satyrique. 115, note.

Grattelard (Le baron de). Note sur ce farceur du Pont-Neuf et sur ses Œuvres. 279.

Gratiano. Fin partisan de connivence avec les usuriers. 225.

Grisons, voleurs. 60, note.

Gros-Guillaume. 281, note ; 282.

Guerin. Bouffon de la reine Marguerite. 171. — Meurt misérable. 171–172, note.

Guillaume (Jean), le bourreau. 94, note.

Guillaume (Maître), fou en titre d’office. Pension qu’il touche. 263, note. — Nombreux pasquils sous son nom. Ib.

Guise (Cardinal de). Prélat frisé. 51, note.

Guyon (Fery de). Ses Mémoires, cités 275, note.

Guyot (Maison). Son encre de la petite vertu. 60, note.

Henri IV. Mot de lui sur l’édit contre les financiers. 26, note. — Dîne avec Mathurine. 168, note. — Ce n’est pas lui, mais Rosny, qui dit : La couronne vaut bien une messe. 173. — Ses édits somptuaires. 181, note.

Hoctot. Tué devant Montauban. 159, note 2.

Hou (Le), premier commis de l’épargne. 39.

Jacomeny, usurier. 29.

Jannet (P.). Son édition des XV Joyes de mariage, citée x, xi, xxxv.

Jean de la Vigne. Farceur. 281, note. — Fondé de pouvoirs de Tabarin dans la Sentence par corps. 282, etc.

Jean Farine. Note sur ce farceur. 280–281.

Jésuites. S’occupent de l’esprit de la Flèche. 74, note.

Joinville (Le prince de), fils du Balafré. Gagne beaucoup à rester fidèle au parti du roi. 68, note.

Jouan, le procureur. 179.

Laffemas. 150, note.

La Flèche. Lettre de Malherbe sur un esprit qui tourmentoit une fille de cette ville. 74, note.

Lafont de Saint-Yenne. Sa caricature en Quinze-Vingts. 199.

Larivey. La Vefve, comédie qu’il a traduite de la Vedova, citée 273.

Larcher. Procureur en Parlement. 128.

La Rochelle. Premier siége de cette ville. 53, note ; 157. — Le sieur de Courbouzon et son escarmouche. 163, note.

Lebeuf (L’abbé). Cité 24, note.

Le Mercier (Jacques). Architecte ; fait la façade de l’Oratoire. 81, note.

Lesdiguières (Le connétable de). 170.

Lestange. Tué devant Montauban. 159, note.

Lincy (L. de). Son Introd. au livre des Légendes, citée vii, note.

Louis (Saint). Ordonnances contre les comédiens. 9, 231. — Croix sur ses monnaies, 271.

Louis XIII. Son édit de 1624 contre les financiers. 14, note. — Allume le feu de la Saint-Jean en 1620. 23, note. — Ses lettres-patentes pour un asile des pauvres. 25, note. — Tort que son absence fait à Paris. 57, note. — Fait les PP. de l’Oratoire ses chapelains. 80, note. — Son édit contre les habits en 1627. 181, note.

Louvet, le grand fermier. 40. — Sa lutte contre les contrebandiers nommés Coquilberts. Ib., note. — Ils le ruinent. Ibid. — Sa fuite à Maubuisson. Ibid.

Lussan. Tué devant Montauban. 159, note 2.

Luynes (Le connétable de). Vers contre lui, indiqués xvii. — Accusé de garder l’argent nécessaire aux troupes. 54, note. — Pourquoi il ne prend pas Montauban. 64. — Sa mort devant Monheur. Ib., note. — Prédictions à ce sujet. 65–66, note. — Son immense pouvoir après la mort de Concini. 156. — Protége Desplan. 162. — Exploite les édits avec les partisans. 183, note ; 241, note.

Machault (De), conseiller aux requêtes. 142.

Magnin (Ch.). Cité 9, note.

Malherbe. Ses lettres à Peiresc, citées dans les notes des pages 8, 9, 18, 19, 40, 41, 54, 57, 58, 91, 149, 163, 172. — Autres lettres de lui, citées 65, 74, 192, notes.

Mangeart. Sa Francophilie. 58, note.

Mangot. Chancelier après la mort de Du Vair. 152, note. — Sa fidélité à Marie de Médicis et au maréchal d’Ancre. Ibid.

Mansfeld (Le comte de). Cancan sur lui, xxiv. — Menace la Champagne ; peur qu’il inspire ; fait un accord avec M. de Nevers ; tire vers le Hainaut ; est battu à Fleurus par D. Gonzalès. 191–192, note. — On le renvoie à Notre-Dame-de-l’Épine. 275.

Marguerite (La reine). Ses libéralités. 20, note. — Distribution des deniers de sa succession. 241. — Ses Allées, 251.

Marigny (Enguerrand de). Sa statue au portail du palais. 257.

Marigny. Son poëme du Pain bénit, cité 37, note.

Marescot. Son ambassade infructueuse pour le chapeau de l’évêque de Beauvais. 153, note.

Marot (Clément). Invectives contre lui. 83.

Marphore ou Marforio. 266.

Mathurine, folle de cour. xxiii. — Dîne avec Henri IV. 168, note. — Sa pension en 1622. Ib., 261. — Maturinade, ce que c’est. Ib. — Caquet de Mathurine sur M. de Bassompierre. 169. — Essais, livret publié sous son nom. 261. — Court les rues poursuivie par les enfants. 261.

Mauregard, astrologue. Malherbe l’accuse d’être un faux prophète. 65, note.

Meuves (De). Pendu comme coupable de l’incendie du Pont-au-Change. 58, note.

Milmont (Le curé de), astrologue. Almanach où il prédit la mort du connétable de Luynes. 65, note ; cité 66, note.

Moizant de Brieux. Comment il explique le proverbe : Ferrer la mule. 15, note.

Moncrif. Son livre sur les Chats, cité 24, note.

Mondor. Les lazzis de Tabarin font sa fortune. 100, note. — Sa bonne mine. 101. — Elle baisse. 102, note. — Dans la Sentence par corps, il parle pour Tabarin. 278, 283.

Monheur, château près de Toulouse. Se révolte contre le roi ; assiégé par Luynes, qui meurt devant ses murs. 64, note.

Monsigot, créature de Luynes près de Gaston. Procès qu’on lui fait après la mort de Luynes. 146, note. — Gaston l’envoie près du duc de Lorraine. Ibid. — Il remet à Richelieu l’inventaire des bijoux de Madame, et s’enfuit à Orléans. 146. — Il avoit tenu banque au Louvre pour les pensions ; il a pour lui les gens du Parlement, M. de Chevry, madame de Chevreuse, etc. 147, 149, notes. — 150. Mais on a juré sa perte. 151, note. — Ses aveux. Ibid.

Montaigne (G.). Sa Police des Pauvres, citée 25, note.

Montauban. Assiégé. 53. — Pourquoi Luynes ne s’en empare pas. 64, 96. — Haut prix des charges de conseiller dans la généralité de Montauban. 131, note. — On a vainement espéré prendre cette ville. 157, 158, 266. — M. de Fronsac tué au siége de cette ville. 159, note. — Services de Bassompierre à ce siége. 169.

Montauron, l’un des Puget. 39, note.

Montbrun. Tué devant Montauban. 159, note 2.

Montescot, fameux partisan. 40, note.

Montmorency (Le duc de). Blessé devant Montauban. 159, note. — Avis qu’on lui donne de ne pas trop s’engager dans la guerre de Languedoc. 160, note.

Montpellier (Siége de). 158, 164. — Bassompierre s’y distingue. 169.

Moreau, médecin. 251.

Moysset, dit Montauban, fameux partisan. 182, note ; 241, note.

Mozan (M.). Il faut étudier sous lui pour entrer à la cour du Parlement. 30.

Negrepelisse. Sa prise. 113, note. — Fête carillonnée par les mortiers des apothicaires. 251.

Nemours (Le duc de). Protége M. de Courbouzon. 162.

Nevers (Le duc de). Fait un accord avec Mansfeld. 192, note.

Nisard (Ch.). Son Hist. des livres populaires, citée 279.

Notre-Dame-de-l’Épine. Lieu de pèlerinage près de Châlons-sur-Marne. 275, note.

Notre-Dame-des-Vertus. Pèlerinage. 217. — Aventure de deux bourgeoises et de leurs maris déguisés en moines. 217–220.

Ocquerre (Le président d’). Père de Blancmesnil. 148, note.

Oratoriens. On leur reproche leur ambition. 78, note. — Louis XIII les fait ses chapelains. 80, note 1. — Belle musique de leur église. 82, note.

Paris. Haine de ses habitants contre les Huguenots. xx. — Rue Quincampoix, ses sur-noms. 11, note. — Corps des Merciers. 16, note — Feu de la Saint-Jean en Grève. 23, note. — Le Pont Neuf et les quais bâtis au moyen d’un impôt sur les vins. 24, note. — L’hôpital Saint Germain. 25. — Asile pour les pauvres. Ib., note ; 70, note. — Le Chevalier du guet, le Prévôt de l’Île. 36. — Pont-au-Double. 41, note. — Les imprimeurs, leur ignorance, etc. 50, 51, 122. — Le trésor de la Bastille. 54, note 2. — Tort que l’absence du roi fait aux marchands. 57, note. — Incendie du Pont-au-Change. 58, note. — Diverses troupes de voleurs. 60, 71, 257, notes. — Habitants de Paris peureux la nuit. 71, note. — La Cérès des Carmélites. 74, note. — Fondation de l’Oratoire ; pourquoi la façade de l’église est de biais. 81, note. — Le Puits Certain. 111, note. — Le cloître Notre Dame fermé la nuit. 118, note. — La galerie de M. de Verdun à l’hôtel de la présidence (préf. de police). 144, note. — Ses rues pavées d’avocats. 176. — Établissement des Capucines en 1604. 188. — Établissement des Ursulines de Sainte Avoye. 189. — Le premier archevêque de Paris, en 1622. 189. — Costume des aveugles Quinze-Vingts. 199. — Gens de finance logent au Marais. 225. — Plaintes contre les échevins. 241. — Allées de la reine Marguerite. 251. — Hospices des Enfants-Rouges, du Saint-Esprit, de la Trinité. 253. — Filles au faubourg Montmartre. 255. — Les marchands de chiffons des rues Fripaux, Frepillon. 255. — Statue d’Enguerrand de Marigny au portail du Palais. 257. — L’Hôtel d’Angoulême. Ib. — Loyers du Pont-Marchand. 258. — L’image de Pierre du Coignet. 265. — Pourceaux du Petit Saint Anthoine. 270. — Le crocheteur de la Samaritaine, le Jacquemart de Saint-Paul. 279, 280, notes.

Passerat. Cité 61, note.

Paulmy. Ses Mélanges d’une gr. Bibilioth., cités 22, note 1, 3.

Perrette (Madame). Sage-femme du faubourg Saint Marceau. 214.

Philippe le Bel. Sa loi somptuaire de 1294. 32, note.

Philippin (Don), bâtard du duc de Savoie, tué en duel par M. de Créqui. 171, note.

Piganiol. Sa Description de Paris, citée 75, note ; 80, 81, 82, notes.

Poncet le vénérable. 252.

Pont (Gratien du). Cité xiii, xli.

Portail (M.) et son valet Rose. 145.

Potel, greffier du conseil ; son fils Le Parquet. 152, note.

Povillon-Pierrard. Sa Descript. de l’église de N.-D.-de-l’Épine, citée 275.

Puget. Sa fortune, etc. 39.

Puits (Pierre du). Fou qui couroit les rues. 266, 278. — Pasquil paru sous son nom. Ib., note. — Parle pour les femmes et bourgeoises de Paris dans la Sentence278.

Rabelais. Cité 145, 231, 265, 269.

Racan. Écrit à Malherbe sur l’esprit de La Flèche. 74, note.

Regnard. 39, 254.

Regnault, trésorier de l’extraordinaire. 39.

Regnier. Dédie une de ses satires au baron de Fourquevaux. 115, note. Cité pag. 138, note. — Sa 14e satire, parue sous le nom de Maître Guillaume. 263, note.

Reiffenberg. Son Histoire des fous en titre d’office. 263, note.

Remond. Son Sommaire traité des revenus, cité 168, 261, 263, notes.

Rémonde (Madame). Se fait damoiselle. 220.

Richelieu (Le cardinal de). L’auteur anonyme des Caquets doit être quelqu’un de ses partisans. xxviii. — Fait juger et pendre de Meuve comme incendiaire du Pont-au-Change. 58, note. — Passage de ses mémoires sur la mort de Luynes. 64, note 2. — Autre sur une prophétie du curé de Milmont. 66, note. — Autre sur le prince de Condé. 68, note. — Ses lettres, citées 68, note. — Sa haine des huguenots. 86, note. — Ses mémoires, cités 146, 148, 159, 161, notes. — M. de Cœuvre lui obtient le chapeau. 149. — Collègue de Mangot. 152, notes.

Robichon. Il faut étudier sous lui pour entrer à la chambre des comptes. 30.

Rochefoucauld (Le comte de La). Défait Soubise dans l’île de Ré. 35, note.

Rochetomas (La), conseiller. 254.

Rohan (Le duc de). Sa cure en qualité de chef des huguenots. 33. — Ne se jette pas dans les mêlées. 56. — Abandonne Saint-Jean-d’Angely. 56, note. — Ses Mémoires. Cités 57, note. — Fait sa paix et baise le babouin. 158, note.

Rome. Fêtes qu’on y fait pour la canonisation de sainte Thérèse. 48. — Les Pères de l’Oratoire veulent s’établir à Saint-Louis-des-François. 79, note 1. — Les prêtres laïcs s’y opposent et retardent la concession jusqu’en 1629. Ib., note 2.

Rosny. Dit au roi le fameux mot : La couronne vaut bien une messe. 173.

Rougets, ou Manteaux-rouges, voleurs. 60, note ; 257.

Rossignol (Le bonhomme). 135.

Rouillard, syndic des avocats. 258.

Roze-Croix (Frères de la). Leur établissement à Paris. 72, note.

Rucellaï, fameux financier. 40, note.

Ruelle, conseiller. 254.

Saint Antonin. Discours fait sur la prise de cette ville. 114, note 1.

Saint-Foix. Ses Essais sur Paris, cités 75, note.

Saint-Germain, gentilhomme angevin. Amant de madame de Vertus ; comment assassiné. 139–141, note.

Saint-Jacques. Médecin de ce nom. 250.

Saint-Jean-d’Angely. Ville abandonnée par M. de Rohan. 56. — Rendue par M. de Soubise. Ib., note. — Luynes fait bien ses affaires au siége de cette ville, comment. 64, note.

Saint-Valerien, conseiller. 254.

Sainte-Foy (Ville de). Rendue par M. de La Force. 57, note. — Les gens de cette place massacrent à Gontaut les gendarmes de Luynes. 64, note.

Sardini, financier. 40, note.

Salvancy, financier ruiné. 40.

Saumur. Un des frères de Luynes pense y mourir de dépit. 67.

Sauval. Ses Antiquités de Paris, citées 23, note. — Son livre Galanteries des rois de France, cité 172, note.

Schomberg. superintendant des finances. Chargé de payer à M. de la Force sa soumission. 57, note 1.

Sec (Le), médecin. 250.

Sillery (Le commandeur de). Opposé à M. de Berulle. 79, note 2. — Son ambassade à Rome, d’où Richelieu le rappelle en 1624. 149, note.

Siri (Vittorio). Cité 68, note.

Soubise (Le comte de). Cure que lui paie le parti huguenot. 33. — Sa défaite dans l’île de Ré. 35, note ; 55. — Sa capitulation à Saint-Jean-d’Angely. 56, note 2. — Comparé, par raillerie, à Enguerrand de Marigny. 257, note.

Tabarin. Son Recueil de questions, cité 100, note. — Fait la fortune de Mondor. Ib., 262. — Plus plaisant que le charlatan. 102, note ; 231. Ses spécifiques pour rajeunir. 233. — Fortune qu’il fait. 252, note. — Où il se retire, et comment il meurt assassiné. Ibid. — Sa rencontre avec le prétendu auteur des Caquets. 267. — Demande en réparation contre l’auteur des Caquets. 278.

Tabourot (Estienne). Ses Bigarrures, citées 241, note.

Tardieu (M.), de la première chambre. 145.

Tardieu (Le lieutenant criminel). 38, note.

Tallemant des Réaux. Ses Historiettes, citées xxii, et dans les notes des pag. 26, 38, 39, 40, 52, 139, 148, 150, 152, 153, 169, 257.

Terbon. Se laisse prendre Sainte-Foy. 57, note.

Testu. 259.

Thérèse (Sainte). Vies de cette sainte remplies d’erreurs. xx, 50, 114. — Fêtes de sa canonisation à Paris et à Rome. 48, note ; 49, note.

Thou (De). Au cloître Notre-Dame. 118, note.

Tillay (Le président de). 153, note.

Toiras. Chassé de la cour. 161, note. — Fait maréchal de France. 162, note.

Tonneins. Rendu par son gouverneur. 56, 57, note.

Tour (De la), fermier renommé. Ruiné par les usuriers. 225.

Traversier, usurier. 29.

Turquie (Ouvriers de). Appelés à Paris pour faire des étoffes. 17, note.

Ulenspiegel (l’Espiègle). Ce type cité 226.

Vendôme (MM. de). Opposés à M. de Sillery. 149, note.

Verderonnes (De). 143.

Verdun (Nicolas de). Premier président. 143, note. — Estime qu’on a de lui. Ib. — Sa grande galerie. 144, note. — Sa galanterie. 144.

Verdure (M. de la), partisan. D’accord avec les usuriers. 225.

Verneuil (La duchesse de). Sa manière de vivre après sa rupture avec Henri IV. xxii. — Arrive chez l’accouchée avec Mathurine. 168. — Déteste Bassompierre à cause de sa sœur. 169. V. Entragues (Marie d’).

Vertus (Comtesse de). Contrainte par son mari d’assister au meurtre de son amant. 139. — Récit que fait Tallemant de la même aventure. 139, note.

Verville (Beroalde de). Imitation d’un passage de son Moyen de parvenir. 269.

Vieuville (M. de la). Succède à Schomberg comme superintendant des finances. 57, note. — N’est pas d’avis que le Pont-au-Change soit rebâti aux frais des orfèvres. 59, note. — Rigueurs contre lui en 1624 ; il est enfermé au château d’Amboise. 97, note. — Il éloigne madame de Chevreuse. 148, note.

Vignolles, conseiller. 254.

Vignon, médecin. 150.

Viguier (M.). On veut le mettre mal avec M. le Prince. 169.

Villautrais, partisan scandaleusement riche. 165, note ; 166, 167.

Villejuif (Manants de) et le procureur qui les plume. 224.

Vincennes. V. Chaulnes, Desplan.

Weiss (M.). Rétablit la vérité au sujet de l’Espadon satyrique. 115, note.