L’Enfer de la Bibliothèque nationale/3
1 volume, in-120 de viii-262 p., br., couv. impr. (Impr. à Bruxelles chez Somer).
1 volume in-8o de 3 ff. n. chif. et 294 p. Reliure ancienne, veau marbré, filets sur les plats, dos orné, tranches jaspées. Cet exemplaire porte un des plus vieux cachets de la Bibliothèque royale : Bibliothécæ Regiæ avec les trois fleurs de lys. (Texte italien). Par Pietro Aretino, dont Partenio Etiro est l’anagramme inventé par les éditeurs après sa mort pour écouler ses ouvrages et particulièrement ses dissertations religieuses.
Les Carte Parlanti est un nouveau titre donné au Ragionamento del Giuoco (v. 19).
Aucune raison de laisser cet ouvrage à l’Enfer. On n’a encore traduit que des passages de ce Dialogue du jeu (Sept petites nouvelles sur les joueurs, par Pierre Arétin. Plaquette éditée par Gay).
1 volume très net in-8o s. d. de 82 pages, sur papier de Hollande (Paris, Grangé, vers 1757). Édition faite aux dépens de Corbie, intendant du duc de Choiseul et de Moette. Texte italien. Reliure ancienne, maroquin rouge, triple filet, dos orné, pièce maroquin vert, tranches dorées, gardes blanches semées d’étoiles d’or. Ravissant exemplaire.
Les Dubbii sont faussement attribués à l’Arétin.
Voir les autres éditions des Doutes amoureux, en français ou en italien, à 92, 155, 203, 204, 205, 206
Pour les Sonnets Luxurieux, voir, avec 203, 204, 205, 206, les nos 67 et 927, ainsi que le Recueil du Cosmopolite : 760, 923, 924.
Double du 202 mais plus simplement relié en veau marbré vert à l’allemande, filets, dos orné, tranches jaspées bleu.
1 volume pet. in-12 de 78 pages (Paris, Girouard). Texte italien. Reliure basane, dos plat, titre en long, tranches jaspées.
Voir pour les Doutes Amoureux, en français ou italien, les no 92, 155, 202, 203, 205, 206
Pour les Sonnets Luxurieux, 67, 202, 203, 205, 206, 760, 923, 924, 927
Double du 204 mais broché, dans sa couverture de papier gris du temps.
Double des 204 et 205, même état que ce dernier.
À la fin : — Egli si é datto alle stampe, di questo mese di Aprile MDXXXIIII. Nella inclita città di Parigi. Note manuscrite : Vbertinus Mazzola Art. Medicine Doctor. Relié avec le no 208. — Voir le no 208.
1 volume in-8o comprenant les nos 207 et 208. (Venise).
Contenant la 1re et 2e partie de Ragionamenti. La 1re de 198 pp. et 1 f. n. ch., la 2e de 18 cahiers de huit feuillets n. chif. signés A-S, et 1 cahier de 4 ff. signé T ; reliure moderne en maroquin bleu à grain long, plats à compartiments, filets or et encadrement à froid, dos orné, dentelles intérieures, tranches dorées.
Voir le no 19, pour la notice et les diverses éditions qui se trouvent à l’Enfer.
Ce vol. contient la 1re et la 3e partie d’une des 4 éditions de 1584, portant la mention Stampata nella nobil Citta di Bengodi. La 2e partie forme le no 211.
Voici le titre de la 3e partie :
2 parties en 1 vol. in-8o s. l. n. d. : 1re partie, 6 ff, n. ch. et 228 pages ; 3e partie, 142 pages de 28 lignes, caractères plus grands. Le Commento di ser Agresto est d’Annibal Caro, le Padre Siceo est Molza (v. 19 et 207).
Rel. en peau vélin. Ex-libris de Huet, évêque d’Avranches, et sur le titre a été collé l’avis : Ne extra hanc Bibliothecam efferatur. Ex obedientiâ.
À la fin : Stampata con buona licenza (toltami) nella nobil citta di Bengodi, ne l’Italia altre volte piu felice, il viggesimo primo d’octobre. MDLXXXIV.
In-8o de 4 ff. n. ch. et 401 pages. 2e partie de l’édition contenue dans le vol. 209-210. Voir aussi, pour le Zoppino, le no 91.
Ex-libris de Pierre-Daniel Huet, évêque d’Avranches. Emboîtage vélin ancien à recouvrement.
Trois parties reliées en 1 vol. in-8o avec le no 215.
Le 212, de 5 ff. limin. non chif. et 198 p.
Voici le titre de la seconde partie :
[À la fin] stampata, con buona licenza (toltami) nella nobil citta di Bengodi, ne l’Italia allte Volte piu felice, il viggesimo d’octobre MDLXXXIV — 3 ff. lim. n. du f. et 339 p.
Voici le titre de la 3e partie. On remarquera la faute Agretso.
118 p. à 29 lignes.
Exempl. d’une des 4 éditions de 1584, Stampata nella nobil Citta di Bengodi. On trouvera à 216-217-218 une contrefaçon faite, en 1649, de cette édition même ; et à 209-210-211 un exemplaire d’une autre des 4 éditions de 1584 (v. 91, 158, 207, 220
Voici le sommaire des 3 parties qui pourra servir pour les autres éditions ou contrefaçons de 1584.
Première partie :
Deuxième partie :
Troisième partie :
Relié avec le 215.
1 volume in-8, relié avec les nos 212-213 et 214. Ensemble 3 parties d’un même ouvrage et un autre ouvrage reliés en un vol. veau ancien dos orné, tranches rouges aux armes (recto et verso) du Puy.
43 feuillets, plus un feuillet n. ch. de titre, un feuillet n. ch. à la fin où la marque est répétée. Au bas de la page 43 on lit après Il fine : In Milano Imprimevano i fratelli da Meda. M. D. LVIII.
Puis, il y a des vers sur le verso de la page 43 et sur le recto du feuillet non chiffré de la fin.
La 1re éd. parut en 1539 (Venise, Curzio Nuovo et fratelli, in-8o). Le dialogue avait été écrit en 1538. Il a été attribué au pape Paul V, au pape Pie V, il est, en réalité, d’Alessandro Piccolomini, archevêque de Patras et coadjuteur de Sienne. Il l’écrivit à une époque où il faisait partie, avec quelques jeunes gens, de l’Académie Siennoise des Intronati, ces hébétés réunis par Antonio Vignale auteur de la Cazzaria (v. 565). Piccolomini y était surnommé lo Stordito, c’est-à-dire l’Étourdi Alcide Bonneau dit, en parlant des bibliothécaires de la Bibliothèque Nationale : « Ils n’ont pas hésité un seul instant à mettre un archevêque dans l’Enfer ; notre prélat pourrait en appeler comme d’abus. » Bonneau ajoute que ce Dialogue de la Bella creanza delle donne est une : « sorte de manuel théorique des élégances féminines ».
Piccolomini a encore écrit la Raffaella. Le Dialogue de la Bella creanza delle donne a été traduit ou plutôt imité en français sous le titre d’Instructions pour les jeunes Dames, par M. D. R. (Lyon, 1573, in-12).
Trois parties en 1 vol. in-8o. Voici le titre de la 2e partie :
[À la fin] stampata, con buona licenza (toltami) nella nobil città di Bengodi, ne l’Italia altre volte piu felice, il viggesimo primo d’ottobre. MDLXXXIV
Voici enfin le titre de la 3e partie :
Part. I, 198 pp. Part. II, 339 pp. Commento di ser Agresto, 118 pp à 29 lignes.
Contrefaçon faite en 1649 d’une des 4 éditions de 1584, Stampata nella nobil Citta di Bengodi. Cette contrafaçon est, d’ailleurs, une copie exacte de l’édition qu’elle contrefait, mais elle en diffère par l’imposition, la faute Agretso est corrigée et on trouve, à la fin du second tome, la souscription : MeDIcata reLabor, contenant un chronogramme qui donne la date de 1649, et la table des Ragionamenti qui était indiquée au verso du titre général par un titre de deux lignes, est indiquée dans la contrefaçon par un titre de trois lignes.
Vol. rel. en maroquin, rouge à compartiments dorés et à froid, dos orné, dentelle intérieure tête dorée (Niedrée). Sur les deux plats on lit en lettres d’or : Bibliothèque Royale, et au dos : Ragionamenti di P. Aretino. Commento delle Fiche, 1584 (on a vu que cette date était fausse). Sur la feuille de garde l’indication à la plume : Petits pères, indique la provenance conventuelle de cet ouvrage pris certainement pendant la Révolution et relié plus tard. (V. 19, 91, 158, 207, 209, 212, 220).
1 volume in-8o.
Ces deux Ragionamenti sont deux ouvrages d’Arétin distincts des fameux Ragionamenti ou Dialogues putanesques qui forment un tout. Le Dialogue des Cours n’a pas encore été traduit et le Dialogue du jeu n’a été traduit qu’en partie.
Médaillon en titre donnant le profil, tourné à droite, de P. Arétin.
2 parties en 1 volume, petit in-8o de 542 plus les 42 pages de la Puttana (Amsterdam, Elzévier, ou Leyde, Elzévier). Partie I, 174 pages. Partie II, pages 175 à 418 inclusivement.
(Pour les Ragionanienti, voir le no 19).
Le Zoppino va de la p. 419 à 451 (voir les nos 91, 158, 211, 213, 217), le Commento di ser Agresto va de la page 452 à 541 (voir 210, 214, 218). La Puttana Errante, 38 pages chiffrées séparément (voir 89, 156, 559, 560, 753, 754).
Cette édition contient imprimées des notes marginales, à la vérité peu intéressantes. L’exemplaire de l’Enfer est un exemplaire de la contrefaçon de l’éd. de Cosmopoli. La lettre Z employée dans les notes marginales est très allongée, et à la page 282 il y a une variante à la fin de la note où cette copie ajoute le mot acrescere devant la forza dell’espressione. Reliure ancienne hollandaise de vélin blanc.
Au verso de l’avant dernier feuillet : Impresso nel. MDXXXVIII.
In-8o 125 pages et un feuillet blanc au recto.
Reliure ancienne en maroquin rouge aux armes du Roi sur les plats ; filets, dentelles intérieures, dos orné et chiffré, tranches jaspées. Le titre est dans un encadrement gravé en bois qui contient le portrait d’Arétin avec la légende : Diuus P. Aretinus acerrimus virtutum ac vitiorum demonstrator. Cet encadrement et le portrait sont répétés au verso de la feuille qui termine le livre, mais la lettre est différente. (V. 19 et 219).
1 volume in-8o s. i. (À la fin) impresso nel MDXXXIX, sur papier bleu (carta purpurea), 55 feuillets plus un f. sans texte.
Reliure ancienne, veau écru, dentelle intérieure, dos orné pièce, tranche rouge.
Voir la notice à 19.
1 vol. s. l. in-8, sept cahiers de 8 f. n. ch. dont 1 f. blanc. Emboîtage vélin ancien. Sur le titre, vignette sur bois, reproduction de la médaille au portrait du Fléau des Princes.
1 volume pet. in-8o de 155 pages plus 2 f. n. ch. donnant le catalogue des œuvres de Barth. Traduit de l’espagnol (v. 226) en latin par Gaspard Barth.
Reliure ancienne veau fauve, filets, dentelles intérieures, dos orné, tranches dorées. L’huile de l’impression a coulé comme il arrivé pour beaucoup de ces vieilles impressions allemandes et le volume n’est qu’une tache.
V. 19, la notice sur les Ragionamenti.
1 volume in-16 de 96 p. ancienne reliure maroquin rouge, filets, dentelles int. dos orné, titre en long, tranches dorées.
Traduction française de la 3e Journée de la 1re partie des Ragionamenti (voir à 19, la notice).
1 volume, petit in-4o goth. de Iviij feuillets plus 1 f. n. chif. (où sont des vers), caract. goth., reliure ancienne (xviiie siècle), veau marbré, dos orné pièce, tranches rouges, curieux encadrement au titre, grossièrement gravé sur bois.
Traduction en castillan, par Fernan Xuarès de la 3e Journée de la 1re partie des Ragionamenti. Vol. imprimé à Medina del Campo (voir notice au 19).
Double du 160. Broché sans couv.
1 volume s. l. ni adresse, pet. in-8o de 48 pages, demi-reliure moderne, chagrin poli bleu, à coins, dos janséniste, tranches dorées. (Édit. orig. (?) beaucoup plus rare que celle d’Amsterdam 1774).
Imitation adoucie de Vénus dans le Cloître (voir 674). Satire en prose dialoguée contre les couvents. (Par l’abbé J. Basrin).
Voir La Religieuse en chemise (229, 353).
1 volume in-16 de 64 pages. Broché. Couverture bleue foncée, imprimée. (Pour le colportage). Saisi en douane. Réimpression du no 228.
Un autre exemplaire à 353 c. Voir aussi le no 4 (même observation pour ce dernier, quant à la transformation du titre).
1 volume in-12 de 332 pages (Paris, Molini, 1805). Il fut aussi tiré 3 exempl. sur papier bleu et 4 exempl. sur vélin.
Di… B… i di Li…o signifie Di Balacchi di Livorno (par Batacchi, de Livourne).
Poème burlesque et licencieux en douze chants, texte italien. Domenico Batacchi naquit à Livourne, en 1749, et mourut en 1802. On ne sait pas grand chose de sa vie.
Sur le libraire Molini, v. 565.
In-16 de 2 ff, n. ch, pour le titre et la clef, xvi et 152 p. On trouve à la suite :
In-16 s. l. n, d. de xliv et 68 p, ; deux ouvrages en un vol. reliure ancienne maroquin vert, plats ornés de milieux et d’encadrements obscènes (Amour tirant à la cible dans un clytoris, avec un phallus en guise de flèche, personnages accouplés, phallus et clytoris volants, etc.)
Hipparchia, roman philosophique inspiré par une anecdote scandaleuse de la cour de Versailles (publié en 1748).
Par L. Godard de Beauchamp, est attribué aussi à l’abbé Gérôme Richard (par Barbier). Il est orné de 4 fig. libres en taille douce.
Les Songes du printems (qui se réduisent au premier songe) sont illustrés d’un délicieux frontispice et d’une vignette à mi-page d’Eisen, gravés par Tardieu.
Il y a à l’Enfer, sous les nos 324 et 553, deux autres volumes avec la même reliure.
1 vol. in-12 de 74 pages. Titre rouge et noir.
Par Fr. Godard de Beauchamp. Reliure ancienne veau fauve, filets, dos orné pièce ; dent, inter., tranches dorées.
La Clef qui doit se trouver à la fin de cet ouvrage manque ici, mais un possesseur de l’exemplaire a pris soin de donner en marge l’anagramme-clef de chaque nom. Note manuscrite sur la page de titre, en-dessous de Messire Esprit : — (Beauchamp cy-devant secrétre, du Mal de Villeroy).
On a rajouté à ce volume un portrait (tête), formé par des attributs sexuels, de Adriani Imperatoribus Concubinatus, et 6 vignettes découpées et collées sur les pages de garde et la dernière page, représentant des médailles anciennes ou des scènes se rapportant au culte de Priape.
L’Histoire du Prince Apprius (anagramme de Priapus) est une satire violente contre le Régent.
Ajoutons que Beauchamps s’est défendu d’être l’auteur de ce libelle et que Ch. Nodier ne pensait pas que ce fût là une satire contre Philippe d’Orléans.
1 volume in-12 de 2 ff. n. ch. et 108 p. reliure ancienne, veau porphyre, dos orné, pièces, tranches marbrées bleu. Les pages 105-108 contiennent la clef renversée des noms propres.
Voir 233 l’édition de 1728 du même ouvrage,
Par Godard de Beauchamp.
1 volume in-8 de ii et 163 p. broché sans couv. impr. (Bruxelles, Poulet-Malassis). Le frontispice manque. Tiré à 260 exemplaires dont 10 sur Chine, le reste sur Hollande (Ex. no 77, Hol.) Don.
Contient les pièces condamnées des Fleurs du Mal, et des Galanteries de Baudelaire.
« Le frontispice, dit la Bibliographie Gay (t. III, p. 187), est une gravure à l’eau-forte de Félicien Rops ; c’est l’ignoble rendu burlesque par le grand et spirituel artiste. Quant au volume lui-même, il a trop de marge et de papier blanc. »
Par jugement du tribunal correctionnel de Lille, du 6 mai 1868 (inséré au Moniteur du 19 septembre suivant), les Épaves ont été condamnées à la destruction comme contenant des outrages à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs (Affaire contre Duquesne).
1 volume in-8o s. l. n. d. de 90 pages. Reliure de plein maroquin à grain long, quadruple filet, dos plat, titre en long, dent. int. tranches dorées, exemplaire factice. Bien que la pagination commence au chiffre 1, ceci n’est qu’une partie détachée d’un volume des œuvres, un tome IV évidemment, car les signatures des cahiers portent, 4-8. 4-9, etc. Don.
Chansons de Béranger.
Voir pour les différentes éditions des chansons licencieuses de Béranger, les nos 237, 238, 239, 240.
3 parties en un volume in-18 de iv-198 pages plus un feuillet n. chif. pour la table, broché sans couv. impr. Tirage à 140 ex. papier vergé (Poulet-Malassis). Avec un frontispice de Rops et Il gravures libres, sur acier, tirées en bistre, 2 pour deux chansons de la première partie : L’Accouchement et Le Tour de ronde, et 9 pour chacune des 9 chansons de la 3e partie.
Les trois parties sont ainsi composées :
Première partie : Chansons érotiques (44 chansons, dont voici les titres) :
La Romance de Mlle Justine. — Le Grand Marcheur. — Le Lavement. — La petite ouvrière. — Les Consolations. — L’Abbesse d’un Couvent comme il y en a peu. — Mme Barbe-bleue, ou l’Ogresse. — Les Culottes. — Ariane et Bacchus. — L’Hermaphrodite. — La relique de Saint-Nicolas. — L’Oratoire d’une dévote. — La nourrice. — Mistigris. — Le petit Bossu. — Recommençons. — Nicette. — La souris. — Les mœurs. — Les deux sœurs, ou le Cas de conscience. — Turlututu. — L’accouchement. — Le Tour de Ronde. — Le petit ciseau. — Plainte portée à la Cour de Justice, contre un homme sans honneur, par une femme délicate et passionnée. — L’anneau de mariage. — Les J’ai. — Sermon d’un Carme. — Les Picards. — Sans dessus dessous, ou toutes ces Dames. — L’incrédulité des femmes. — La Boiteuse. — La Marraine. — L’Anti-Philosophe. — Pierrot Belle-queue. — Les Cœurs volants. — L’Actrice de l’Opéra. — Les Archers de l’Amour. — Sermon d’un Curé Janséniste. — La grande Rieuse, ou la Fille inviolable. — Un mot de plus, ou le Séducteur indécent. — Le Lit. — Le Libertin au Régime. — Amphigouri.
Deuxième partie : Chansons Politiques et Satiriques (27 chansons).
Troisième Partie : Appendice contenant les neuf chansons suivantes, déjà publiées dans les Œuvres complètes :
Le Sénateur. — Le grenier. — Ma grand’mère. — La Vivandière. — Les Clefs du Paradis. — La Marquise de Prétintailles. — Le pèlerinage de Lisette. — Le vieux célibataire. — La Bacchante.
Voir les no , 236, 238, 239, 240.
Double du 237, mais imprimé sur vergé de Hollande avec le frontispice sur Chine volant (Ex. no 145), sans les gravures. Don.
1 volume in-8o de 179 pages demi-reliure veau gris, dos orné, pièces oranges, tranches jaspées. (Imprimerie de Petit, rue Saint-Denis, 150.) Chansons érotiques de Béranger. La suite de 7 figures de Tony Johannot, gravées sur acier spécialement pour ce supplément et tirées sur Chine manque.
En 1834, l’éd. Perrotin donna à Paris, une édition complète des œuvres de Déranger en 4 vol. in-18, avec 104 figures, sur chine. À ces quatre volumes, sortant de l’imprimerie Didot, on joignait un cinquième volume, de supplément, qui ne se vendait guère que secrètement et qui contenait toutes les chansons érotiques de notre auteur.
La destruction de ce cinquième volume a été ordonnée pour outrages à la morale publique et religieuse, ainsi qu’aux bonnes mœurs :
1o Par arrêt de la Cour d’assises de la Seine, en date du 24 octobre 1834 (affaire jugée à huis-clos), condamnant J.-B. Constant Chantepie, père, imprimeur à Paris, et Chantepie, fils, également imprimeur, chacun à un mois de prison et 500 francs d’amende, pour distribution et mise en vente dudit supplément (Moniteur du 30 déc. 1834) ;
2o Par arrêt de la même Cour, en date du 9 août 1842 (affaire contre Régnier-Becker. Moniteur du 15 décembre 1843).
Contient toutes les chansons érotiques reproduites dans la première partie des « Gaietés » (voir 237), plus 4 chansons politiques publiées également dans les « Gaietés ».
Voir les nos 236, 237, 238, 240.
Double du 239, sur grand papier, broché sans couv. impr. La suite de gravures manque comme au précédent.
Œuvres satiriques de P. Corneille Blessebois. A Leyde, 1676.
Passé à la Réserve. Vitrine 38.
5 volumes in-8o de vii et 320-292-203-280 et 269 pages. Reliure ancienne, veau marbré vert à l’allemande, triples filets, dos orné, pièces, tranches dorées. Exemplaire sur Hollande. L’exemplaire suivant (247 à 251) est à grandes marges.
Les gravures libres, qui manquent dans deux autres exemplaires de la Réserve, ne sont au complet dans aucun des deux exemplaires de l’Enfer.
Note au crayon sur la page de garde du volume I :
« Les estampes galantes des pages 76 et 142 ont été enlevées. »
Le feuillet suivant porte, recto et verso, cette note manuscrite à l’encre, calligraphiée, écriture du xviiie siècle :
« La Traduction françoise du Décaméron de Bocace, que présente cette Édition, et qui est la plus estimée, a été faite sur le texte Italien par Anthoine Le Maçon, du Dauphiné, Trésorier de l’Extraordinaire des guerres. Il l’entreprit en 1545, à la sollicitation de la Reine Margueritte de Navarre, sœur de François Premier. Et pour le récompenser de son travail, cette Princesse l’attacha à son service en qualité de son Secrétaire particulier.
« Elle est ornée de 116 figures gravées sur les dessins de Gravelot, et placées tant au frontispice qu’en tête de chaque journée et de chaque nouvelle. L’on y a ajouté les doubles figures, au nombre de 21, mises aux endroits du Texte auxquels ont rapport les sujets qu’elles représentent. »
« Le sujet des gravures est indiqué à l’encre de la même écriture que la note précédente, sur la page de papier de soie qui se trouve en regard. Contrairement à ce qu’indique la note, toutes les gravures ne sont pas de Gravelot. Quelques-unes sont signées : Boucher, Eisen, et Cochin. Les gravures libres sont anonymes.
Note au crayon sur la page de garde du tome II :
« Les estampes galantes des pages 76 et 194 ont été enlevées. »
Id. tome III pour celles des pages 124 et 162.
Id. tome IV pour celles des pages 18, 120 et 220.
Id. tome V pour celles des pages 16 et 84.
Au 2e volume, le titre gravé de la Nouvelle Neuvième, page 125, est à l’envers. Dans l’exemplaire suivant, cette faute n’existe pas. Il s’agirait donc de deux tirages différents.
En plus des 116 gravures annoncées dans la note manuscrite du 1er volume, il y a 1 fleuron et 94 culs-de-lampe de Gravelot.
Les gravures libres, d’après la même note, sont au nombre de 21, Les notes manuscrites au crayon, au début de chaque volume, en indiquent 11 d’enlevées. Il en reste 10 dans cet exemplaire.
En voici le détail :
enlevées | restant | |||
1er | volume | 2 | 1 | et 1 frontispice. |
2e | » | 2 | 4 | |
3e | » | 2 | 1 | |
4e | » | 3 | 3 | |
5e | » | 2 | 0 | |
— | — | |||
11 | 10 |
Voir le détail des gravures libres restant à l’exemplaire suivant.
Double de l’exemplaire 242 à 246, habillé de maroquin vert olive, triples filets dentelle intérieure. Dos orné pièces rouges. Tirage sur papier à grandes marges. Tranches dorées. Le frontispice galant du tome I est avant toute lettre, du premier tirage par conséquent, ainsi que toutes les estampes, marquées au dos.
13 gravures libres parmi lesquelles les 11 indiquées comme manquant à l’exemplaire précédent.
Il y a également à cet exemplaire des notes au tome I indiquant comme manquante la gravure de la page 226. Au tome II concernant les gravures des pages 14 et 52 et au tome IV concernant celle de la page 68.
On peut donc reconstituer, avec les 2 exemplaires de l’Enfer, la série complète des 21 gravures libres.
Voici le détail de celles qui se trouvent dans cet exemplaire :
Tome I, 2 gravures et 1 frontispice (placé avant le titre).
Tome II 2 gravures.
Tome III, 2 gravures
Tome IV, 4 gravures.
Tome V, 2 gravures.
Soit 13 gravures libres.
1 volume in-8, s. l. n. d. de 96 pages, avec cinq magnifiques gravures non libres (relié avec le 253). Par Ch. Borde. Voir, à 255, le volume intitulé Parapilla. Outre que l’ordre des pièces n’est pas le même, il y a des pièces qui n’existent pas dans les deux éditions ; c’est pourquoi il sera bon de les consulter toutes les deux.
Dans cet exemplaire-ci l’Éloge… est suivi de :
Lettres de M. B** voyageant en Italie à M. l’abbé de P***. — Hymne aux Tétons. — Le Capucin Colin-Maillard. — La Dévotion Espagnole. — La Justification équivoque. — La Dévotion française. — Autres lettres de M. B** voyageant en Italie à M. de L** T**. — Hymne aux Tétons. — À M. le Comte de ***. Ce premier ouvrage, semble-t-il, aurait dû être relié a la suite du second.
Relié avec le no suivant, 253.
1 volume in-8 de xxiv-108 pages plus 2 ff. n. ch. pour la table et 5 planches (non libres). Relié avec le 252. Par Ch. Borde.
Demi-reliure basane verte, dos orné à froid, pièce noire portant : Bordes Œuvres libres. Ex. d’Alfred Bégis saisi à son domicile et déposé à la Bibliothèque en 1866.
Voir les nos, 64 (avec notre notice), 254, 255, 547, 823.
1 volume in-12 (Cazin) de 43 pages, avec 5 gravures libres, de toute beauté, non signées. Par Borel, gravées par Elluin). Par Ch. Borde. Reliure ancienne, maroquin rouge, filets, dent. int., dos orné, pièce verte, tranches dorées. Ex. d’Alfred Bégis saisi à son domicile et déposé à la Bibliothèque en 1866.
Voir les nos 64, avec notre notice, 253, 254, 547, 823.
1 volume in-12 de 164 pages avec 1 frontispice (le même, réduit, qu’à 252) (Lyon). Par Ch. Borde.
Suivi de : Poésies Diverses. — Éloge historique de Milord Contenant (voir 252). — Voyage en Italie. — Exemplaire d’Alfred Bégis, saisi à son domicile et déposé à la Bibliothèque en 1866.
Voir les nos 64, avec notre notice sur Parapilla, 253, 254, 547, 823.
Commento di Ser Agresto…
Replacé sur la cote Réserve Ye, 3637.
4 autres exemplaires laissés à l’Enfer aux nos 210, 214, 218, 220, parce qu’ils se trouvent à la suite des « Ragionamenti ».
3 parties en 1 volume s. l. n. d. in-12 de 5 f. liminaires n. chif., 177, 98, et 155 pp. Texte latin. Reliure ancienne, maroquin rouge, filets, dentelles intérieures, dos orné, tranches dorées.
Voir pour les différentes éditions françaises ou latines les nos 28 (avec notre notice), 67, 108, 118, 143, 257, 258, 259, 260, 261, 262-263, 264, 265-266, 267-268, 269--270, 271, 272-273, 274-275, 276, 277, 278, 279, 280-281, 282-283, 814, 815, 816.
2 parties en 1 volume in-12. de 18 ff. liminaires n. ch., 324 et 161 pp. plus 1 f. n. chf. en vers, reliure ancienne, veau brun, dos orné, tranches jaspées. Texte latin. Édition a Stephano Roger in lucem data.
Voir le détail des éditions diverses latines et françaises au no 257.
2 parties en 1 volume s. l. n. d. ni adresse, in-12, de 152 et 230 pages. Les 3 premiers ff. n. ch., le numérotage commence à la page 7. Reliure ancienne, veau brun, dos orné, tranches jaspées. Texte latin.
Voir 257 pour les différentes éditions et traductions du Meursius.
Texte latin.
Double du 143. Reliure ancienne maroquin rouge, double filet, dos orné, tranches dorées, avec le frontispice gravé.
2 volumes. Texte latin.
Double des 143 et 260. Bel exemplaire relié de maroquin ancien vert olive, triple filet, dentelles intérieures, dos orné pièces rouges, tranches dorées, avec le frontispice gravé.
Texte latin.
Double des 143 et 260 et 261, mais relié en deux volumes, reliure ancienne, veau marbré filets, dos orné, pièces, tranches dorées.
2 tomes en 1 volume, broché. Texte latin.
Manquent les pages de titre et plusieurs autres remplacées par des feuillets blancs.
Double des 143 et 260, 261 et 262-263.
2 volume in-16 de xxxviij-296, 4 ff. n. ch. et 285 p. brochés, couv. en papier damier rose de l’époque. Le frontispice Judicium veneris est une reproduction retournée et réduite de celui de l’édition Lugd Batavorum ex typis Elzevirianis cIɔ Iɔɔɔ lvii.
Voir 257 pour les diverses éditions du Meursius.
Double du 265-266.
2 parties en 1 volume petit in-8o de xxiv-211 pages et 2 f. n. ch. et 172 pages plus 1 f. n. ch. pour l’index de la 2e partie ; reliure ancienne, maroquin rouge, filets, dent, intérieures, dos orné, pièce, tranches dorées. Avec le frontispice judicium veneris. Le titre est gravé dans un encadrement enguirlandé de roses. Papier de Hollande. Superbe exemplaire. (Edente Meusnier de Querlon). (Paris, Barbou).
Voir 257 pour les diverses éditions du Meursius.
Double du 269, broché, mais l’exemplaire est défectueux. La première partie manque et le brocheur a réuni deux fois la seconde partie.
1 volume in-12 (traduit du latin par Nicolas [?]) de 234 pages. Reliure ancienne, veau marbré, dos orné, tranches rouges. Les planches ont été enlevées.
Traduction française du Meursius.
Voir 257 pour les diverses éditions du Meursius en latin ou en français.
Condamné sous ce titre (il s’agit naturellement de réimpressions modernes) par arrêt de la Cour royale de Paris le 16 novembre 1832.
2o Par le jugement du Trib. de Marennes, le 20 décembre 1865, condamnant Marie-Jean-Achille Régnault à 100 francs d’amende pour colportage illicite (Journal officiel du 7 mai 1874).
2 volumes in-12 de 4 ff. limin. non chif. pour le titre et l’explication des gravures, xxiij-191 p. et 1 f. de titre, xij-312 pages ; brochés, couv. de papier gris. Onze figures obscènes qui semblent la reproduction retournée et réduite de celles de l’édition suivante, (nos 274-275). Traduction attribuée à l’abbé Terrasson.
Voir pour les diverses éditions du Meursius à 257.
2 volumes in-8, de viij-191 et 192 p., brochés, couv. de papier gris. C’est la même traduction que l’éd. précédente avec la même lettre de l’abbé de T… à Madame l’abbesse de *** en guise de préface. Cependant ici, les tables sont à la fin de chaque volume, et le premier ne contient pas l’Avis au relieur donnant l’explication des onze planches obscènes. Dans ces planches, il y a des détails qui n’existent pas dans celles de l’éd. précédente (au frontispice, par exemple). Ex. d’Alfred Bégis saisi à son domicile et déposé à la Bibliothèque en 1866.
Voir 257.
2 tomes en 1 volume.
Double du 274-275, mais relié en un seul vol., veau brun, dos orné pièce, tranche rouge. Ex. d’Alfred Bégis, saisi à son domicile et déposé à la Bibliothèque en 1866.
1 volume in-8 s, d. de 1 f. lim. non chif. pour le titre gravé et de 428 pages (Grenoble, 1680). Reliure moderne, maroquin rouge janséniste, larges dent, intér. tranches dorées, signée L. Fixon, rel.
Superbe exemplaire, lavé et encollé, contenant un titre gravé libre, un frontispice libre et, rejetées à la fin, trente-cinq planches libres en taille-douce qui n’ont point de rapport avec l’ouvrage.
Voir 257.
3 parties en 1 volume in-16 (1882 sic pour 1782), 129, 108 et 96 p. Reliure moderne, maroquin orange, janséniste, larges dent. intér., tranches dorées, signée L. Fixon, rel. Ex. lavé et encollé, avec 1 front, et 13 fig. libres semblable à celles du Meursius de 1782 (2 vol. in-12) mais retournées.
Voir 257.
Toutes ces éditions sous divers titres ne sont que des traductions plus ou moins complètes et fidèles du même ouvrage latin.
Condamnation des réimpressions modernes sous ce titre :
1o Par arrêt de la Cour d’assises de la Seine du 29 déc. 1821 (pas d’insertion au Moniteur), et par arrêt de la même Cour du 10 février 1852.
2o Par jugement du Tribunal correctionnel de la Seine du 6 juin 1822, condamnant Jean-François Leroux, libraire à Paris, à 2 mois de prison et 500 francs d’amende (Moniteur du 7 nov. 1826) ;
3o Par arrêt de la Cour royale de Paris, du 9 août 1822 (pas d’insertion au Moniteur) ;
4o Par jugement du Tribunal correct, de la Seine, du 25 fév. 1825, condamnant Jean-Hemeric Bouvint, fabricant, à un an d’emprisonnement et 3.500 francs d’amende, et André Besson, marchand colporteur, Jean-Pierre Cottenet, imprimeur en taille douce, Jean-Jacques Merlot, peintre, chacun à trois mois de la même peine et 200 francs d’amende, plus l’affichage du jugement à 25 exemplaires aux frais des condamnés (Moniteur, 7 nov. 1826) ;
5o Par arrêt de la Cour d’assises de la Seine, du 9 août 1842, et par jugement du Tribunal correct, de la Seine, en date du 10 février 1852.
3 tomes en 1 volume in-6 de 148, 124 et 108 p., cartonné, dos pièce portant : Mélanges. Avec 8 fig. hors texte, gravées sur acier, 3 à chacun des 2 premiers tomes et 2 au dernier.
Voir 257.
2 volumes in-18 de 277 pages et 210 pages, avec un frontispice et 12 figures libres par Borel, gravées par Eluin, non signées (Paris, caractères de Didot Jeune, Gazin) (V. 257).
Reliure ancienne, veau marbré, filets, dos orné, pièces, tranches dorées,
2 volumes in-8o de 196 et 338 p., broché, sans couv. imprimée. Frontispice gravé au 1er vol. (1779). Texte italien.
Voir 257.
2 volumes in-12, 228-252 pages (s. d.), brochés, sans couv. imp. Texte anglais. Mémoires de Fanny Hill, par John Cleland. Cette édition a paru en 1747 ou 1748.
Voir pour les diverses éditions en anglais et les traductions en français ou en allemand, les nos 104, avec notre notice, 110, 127, 286-287, 288-289, 290, 291, 292, 293-294, 748.
Double du 284-285. Reliure ancienne, basane brune, dos ornés pièces, tranches marbrées.
2 volumes in-12, 227-255 pages. Reliure ancienne, veau marbré, dos ornés pièces, tranches rouges.
Voir pour les diverses éditions anglaises, et les traductions françaises et allemandes, les nos 104, avec notre notice, français ou en allemand, 110, 127, 284-285, 286-287, 290, 291, 292, 293-294, 748.
1 volume in-8 de 172 pages et 1 f. de titre. Titre rouge et noir, avec une marque formée de lettres entrelacées. Dérelié.
Traduction abrégée des Mémoires de Fanny Hill, de J. Cleland, par Lambert, fils d’un banquier de Paris, d’après la France Littéraire de 1769.
Cette traduction a été aussi attribuée à Fougeret de Montbron.
Voir pour les éditions anglaises, et les traductions, les nos 104, avec notre notice, 110, 127, 284-285, 286-287, 288-289, 291, 292, 293-294, 748.
2 tomes en 1 volume in-16 (Cazin ?), 119-131 pages, avec 13 gravures libres (5 au 1er tome, 8 au second). Imprimé sur papier bleuté.
Texte français. Reliure ancienne, veau marbré vert, triple filet, dent, intér., dos orné pièce, tranches dorées.
Voir pour les diverses éditions les nos 104, avec notre notice, 110, 127, 284-285, 286-287, 288-289, 290, 292, 293-294, 748.
1 volume in-8 de 235 pages, avec 34 belles figures libres, numérotées de 1 à 33 (mais il y a une figure 5 bis). Cette édition est la plus belle de toutes les éditions françaises. Le C. d’I*** parle de 35 figures libres. Pourtant cet exemplaire lavé et encollé a l’air bien complet. Reliure moderne, maroquin rouge janséniste, large dent, intér., tranches dorées, signée L. Fixon, rel.
Voir pour les diverses éditions, en anglais ou français, de l’ouvrage de Cleland, les nos 104, avec notre notice, 110, 127, 284-285, 286-287, 288-289, 290-291, 293-294, 748.
2 volumes in-16, brochés, couv. rose, 2 f. titre et faux-titre et 143 pp. pour le tome premier. 2 ff. titre et faux-titre et 142 pp. pour le tome second, avec 12 figures libres (6 à chaque volume) contrefaites de celles qui accompagnent la traduction de M.DCC.LXXVI.
Voir les nos 104, (notice), 110, 127, 284-285, 286-287, 288-289, 290-291, 292, 748.