Page:Stendhal - Vies de Haydn, de Mozart et de Métastase, 1928, éd. Martineau.djvu/449

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Lettre IV. — Première messe de Haydn ; — sa pauvreté extrême ; — il travaille seul à apprendre le contre-point ; — Porpora ; — Haydn se fait son jockey pour en tirer quelques bons conseils ; — il y gagne d’apprendre à chanter dans le grand goût italien ; — son originalité se développe 
 34
Lettre V. — Haydn chassé de Saint-Étienne après onze ans de service ; — le perruquier Keller devient son protecteur ; — petites sérénades qu’il exécute la nuit, et qui lui font donner un opéra à composer ; — la tempête du Diable-Boiteux ; — il donne six trios ; — la nomenclature de la musique ; — insurrection générale des pédants, heureuse pour Haydn ; — il loge avec Métastase ; — fait des symphonies ; — entre chez le prince Esterhazy ; — compose pour le baryton ; — épouse la fille du perruquier Keller ; — mademoiselle Boselli 
 41
Lettre VI. — Distribution du temps de Haydn au fort de son génie ; — caractère de ses ouvrages ; — mot de Mozart sur nos opéras comiques 
 54
Lettre VII. — Le jeune Italien des îles Borromées ; — le caractère italien comparé au caractère français ; — la gaieté et la mélancolie ; — le bon ton français ; — le salon de madame du Deffant ; — le café de Foy ; — influence comparative des caractères des deux nations sur leur musique 
 62
Lettre VIII. — Anecdote encourageante pour l’étude des beaux-arts ; — on apprend à sentir ; — secrets de la composition de Haydn ; — du chant ; — romans qui guidaient Haydn dans la composition des symphonies 
 70
Lettre IX. — Suite des jugements sur le style de Haydn ; — considérations fort peu savantes sur la musique 
 93