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TABLE
LVII. Personne
LVIII. Je repasserai toujours par la ville là-bas
LIX. Je te baiserai encore
LX. La jeune paysanne
LXI. Après tout, après tout
LXII. Imité d’une vieille chanson anglaise
LXIII. C’était la nuit du 1er d’août
LXIV. Jockey a pris le baiser du départ
LXV. John Anderson
LXVI. Fille aux cheveux de lin
LXVII. Ballade écossaise. En mai dernier
LXVIII. Que jamais femme ne se plaigne
LXIX. Sur la maladie de Chloris
LXX. Le jeune montaguard errant
LXXI. Louis, qu’est-ce que je me soucie de toi
LXXII. Regardez tout ce faste
LXXIII. Songeant à la mer rugissante
LXXIV. Chloris
LXXV. Mon père était un fermier
LXXVI. Tam Glen
LXXVII. Pour l’amour de quelqu’un
LXXVIII. Mon cœur est dans les Hautes-Terres
LXXIX, Peggy
LXXX. Aucune noble dame
LXXXI. Je ne suis point un homme d’église
LXXXXII, Maintenant collines et coteaux
LXXXIII. Ma Nannie est partie
LXXXIV. Charmant Davie
LXXXV. À M. Cunningham
LXXXVI. Composé en août
LXXXVII. Oh ! il était beau
LXXXVIII. Fragment, dans le Recueil des chants écossais de Witherspoon
LXXXIX. Le beau garçon qui est au loin
XC. Meg du moulin
XCI. Ô ma belle
XCII. Réponse de la femme
XCIII. Bess et son rouet
XCIV. Ô Logan, que ton flot était charmant
XCV. Le bouquet
XCVI. Mary Morison
XCVII. Ô Mai, ton matin ne fut jamais si doux
XCVIII. Ma dot est le joyau
XCIX. Lord Gregory
C. Oh ! mon amour
CI. Oh ! j’ai une fois aimé
CII. Duo
CIII. Ô froide pauvreté
CIV. Oh ! le souffle desséchant
CV. La belle Lesley
CVI. Avez-vous vu ma Phely
CVII. À l’alouette des bois