Page:Léonard de Vinci - Traité élémentaire de la peinture, 1803.djvu/453

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Des lumières grandes ou petites, et des ombres, pag. 234, ch. cclxxxix, pag. 246, ch. cccij.
Coloris, couleur. Que l’assortiment des couleurs doit servir à détacher les figures, et à les faire paroître éloignées les unes des autres, pag. 60, ch. lxxiij.
Des couleurs réfléchies, de leur force et de leur foiblesse, pag. 73, ch. lxxxvij.
De l’assortiment des couleurs pour leur donner de la grace, pag. 84, ch. xcix.
Comment on peut rendre les couleurs belles et vives, pag. 85, ch. c.
De la couleur des ombres des couleurs, pag. 86, ch. cj.
De la variété des couleurs, qui vient de ce qu’elles sont plus éloignées ou plus proches, ibid. ch. cij.
À quelle distance les couleurs disparoissent entièrement, pag. 87, ch. ciij.
Quelle est la couleur de l’ombre du blanc, pag. 88, ch. civ.
Quelle couleur produit l’ombre la plus obscure, ibid. ch. cv.
En quelle occasion la qualité de l’air et la distance n’apportent point de changement aux couleurs, pag. 89 et suiv. ch. cvj, et pag. 95, ch. cviij.
De la perspective des couleurs, pag. 93, ch. cvij.
Des couleurs qui se perdent étant dans l’ombre, pag. 96, ch. cix.
Pourquoi on ne distingue point la couleur des choses qui sont dans un lieu qui paroît n’être point éclairé, quoiqu’il le soit, pag. 97, ch. cx.
Ce qui est nécessaire pour que la véritable couleur des choses paroisse, pag. 98, ch. cxj.
Du changement que cause aux couleurs le champ sur lequel elles sont, pag. 99, ch. cxij.