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Hugo - L'Année terrible, 1872.djvu/334
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AVRIL.
I.
Les précurseurs
169
II.
La mère qui défend son petit
172
III.
Temps affreux ! ma pensée est, dans ce morne espace
174
IV.
Un cri
175
V.
Pas de représailles
178
VI.
Le penseur est lugubre au fond des solitudes
182
VII.
Oh ! qui que vous soyez, qui voulez être maîtres
184
VIII.
Pendant que la mer gronde et que les vagues roulent
185
MAI.
I.
Les deux trophées
190
II.
Les siècles sont au peuple ; eux, ils ont le moment
197
III.
Paris incendié
199
IV.
Est-il jour ? Est-il nuit ? Horreur crépusculaire !
215
V.
Une nuit à Bruxelles
217
VI.
Expulsé de Belgique
219
JUIN.
I.
Un jour je vis le sang couler de toutes parts
227
II.
Quoi ! rester fraternel, c’est être chimérique !
230
III.
Par une sérénade on fête ma clémence
231
IV.
Je n’ai pas de palais épiscopal en ville
232
V.
En quittant Bruxelles
234
VI.
À madame Paul Meurice
236
VII.
Je n’ai point de colère et cela vous étonne
238
VIII.
À qui la faute ?
239
IX.
La prisonnière passe, elle est blessée
242
X.
Une femme m’a dit ceci : — J’ai pris la fuite
244
XI.
Sur une barricade, au milieu des pavés
246