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ANNÉE 1840.
lettres
pages
La fin du monde. — Les étrennes. — Le commerce devenu littéraire. — Les huit premiers jours de l’année
432
Les deux grands mondes. — M. Monnier de la Sizeraune ; ses discours et ses romances. — M. le duc de Bordeaux. — Le soleil destitué. — L’univers apprécié
438
Les excès détruisent les succès. — Trop ou rien ! c’est la devise des Français. — L’exagération est l’indigence des idées
445
Concurrence fâcheuse des plaisirs. — Dialogue conjugal entre deux bals. — Le coffret mystérieux
450
Les trois bals
454
Carnaval laborieux. — Portiers et musiciens somnambules. — Le bal costumé du colonel Thorn. — Études philosophiques du colonel. — Ridicules du jour ; variétés économiques : Souper sans convives. — Concert sans musique. — Dîner sans pain. — Verres sans vin. — Calorifères sans feu. — Conversations sans esprit
457
Les deux carnavals
465
La femme véritable n’existe plus. — La femme-ange, la femme-démon. — Les prestiges. — La femme n’est point la compagne de l’homme
468
Le drame de M. de Balzac. — Les puritains littéraires
474
La vocation. — Le menuisier grand seigneur. — Le grand seigneur galérien. — Les grandes dames nées actrices, — nées portières, — nées courtisanes, — nées dames du palais, — nées gardes-malades, — nées sergents de ville, — nées majors allemands, — nées bergères, — nées soubrettes. — Les femmes de chambre nées princesses. — Les filles du peuple nées petites maîtresses. — Les actrices nées grandes dames. — Les hommes nés moines, — nés troubadours, — nés chevaliers, — nés bouffons. — Les grands seigneurs nés grands seigneurs et les duchesses nées duchesses
478
fin de la table.