La Cité de Dieu (Augustin)/Livre IV

Texte établi par RaulxL. Guérin & Cie (Œuvres complètes de Saint Augustin, tome XIIIp. TdM).
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Tome 13
Chapitre premier. Récapitulation des livres précédents.
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II. Récapitulation du second et du troisième livre.
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III. Si un état qui ne s’accroît que par la guerre doit être estimé sage et heureux.
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IV. Les empires, sans la justice, ne sont que des ramas de brigands.
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V. La puissance des gladiateurs fugitifs fut presque égale à celle des rois.
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VI. De l’ambition du roi Ninus qui, le premier, déclara la guerre à ses voisins afin d’étendre son empire.
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VII. S’il faut attribuer à l’assistance ou à l’abandon des dieux la prospérité ou la décadence des empires.
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VIII. Les Romains ne sauraient dire quels sont parmi leurs dieux ceux à qui ils croient devoir l’accroissement et la conservation de leur empire, chaque dieu en particulier étant capable tout au plus de veiller à sa fonction particulière.
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IX. Si l’on doit attribuer la grandeur et la durée de l’empire romain à Jupiter, que ses adorateurs regardent comme le premier des dieux.
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X. Des systèmes qui attachent des dieux différents aux différentes parties de l’univers.
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XI. De cette opinion des savants du paganisme que tous les dieux ne sont qu’un seul et même dieu, savoir : Jupiter.
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XII. Du système qui fait de Dieu l’âme du monde et du monde le corps de Dieu.
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XIII. Du système qui n’admet comme parties de Dieu que les seuls animaux raisonnables.
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XIV. On a tort de croire que c’est Jupiter qui veille à la prospérité des empires, attendu que la victoire, si elle est une déesse, comme le veulent les païens, a pu seule suffire à cet emploi.
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XV. S’il convient à un peuple vertueux de souhaiter de s’agrandir.
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XVI. Pourquoi les Romains, qui attachaient une divinité à tous les objets extérieurs et à toutes les passions de l’âme, avaient placé hors de la ville le temple du repos.
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XVII. Si, en supposant Jupiter tout-puissant, la victoire doit être tenue pour déesse.
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XVIII. Si les païens ont eu quelque raison de faire deux déesses de la félicité et de la fortune.
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XIX. De la fortune féminine.
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XX. De la vertu et de la foi, que les païens ont honorées comme des déesses par des temples et des autels, oubliant qu’il y a beaucoup d’autres vertus qui ont le même droit à être tenues pour des divinités.
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XXI. Les païens, n’ayant pas la connaissance des dons de Dieu, auraient dû se borner au culte de la vertu et de la félicité.
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XXII. De la science qui apprend à servir les dieux, science que Varron se glorifie d’avoir apportée aux Romains.
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XXIII. Les Romains sont restés longtemps sans adorer la félicité, bien qu’ils adorassent un très-grand nombre de divinités, et que celle-ci dût leur tenir lieu de toutes les autres.
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XXIV. Quelles raisons font valoir les païens pour se justifier d’adorer les dons divins comme des dieux.
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XXV. On ne doit adorer qu’un Dieu, qui est l’unique dispensateur de la félicité, comme le sentent ceux-là mêmes qui ignorent son nom.
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XXVI. Des jeux scéniques institués par les païens sur l’ordre de leurs dieux.
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XXVII. Des trois espèces de dieux distingués par le pontife Scévola.
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XXVIII. Si le culte des dieux a été utile aux Romains pour établir et accroître leur empire.
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Chap. XXIX. De la fausseté du présage sur lequel les Romains fondaient la puissance et la stabilité de leur empire.
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XXX. Ce que pensaient, de leur propre aveu, les païens eux-mêmes touchant les dieux du paganisme.
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XXXI. Varron a rejeté les superstitions populaires et reconnu qu’il ne faut adorer qu’un seul Dieu, sans être parvenu toutefois à la connaissance du Dieu véritable.
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XXXII. Dans quel intérêt les chefs d’État ont maintenu parmi les peuples de fausses religions.
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XXXIII. La durée des empires et des rois ne dépend que des conseils et de la puissance de Dieu.
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XXXIV. Le royaume des juifs fut institué par le vrai Dieu et par lui maintenu, tant qu’ils persévérèrent dans la vraie religion.
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