Rymes
Rymes
Tournes, .
TABLE DES MATIÈRES
(ne fait pas partie de l’ouvrage original)
- Antoine Du Moulin : Aux dames lyonnoises
- Jean de Tournes : L’imprimeur au lecteur
- Rymes de gentile, et vertueuse dame D. Pernette du Guillet Lyonnoise
- Le hault pouvoir des astres a permis
- La nuict estoit pour moy si tresobscure
- Ce grand renom de ton meslé sçavoir
- Esprit celeste et des Dieux transformé
- Puis qu’il t’a pleu de me faire congnoistre
- Par ce dizain clerement je m’accuse
- R, au dizain toute seule soubmise
- Jà n'est besoing que plus je me soucie
- Plus je désire, et la fortune adverse
- Si tu ne veulx l’anneau tant estimer
- Comme le corps ne permect point de veoir
- Le Corps ravy, l’Âme s’en esmerveille
- L’heur de mon mal enflammant le desir
- Le grand desir du plaisir admirable
- Pour contenter celuy qui me tourmente
- L’ame et l’esprit sont pour le corps orner
- Je suis tant bien que je ne le puis dire
- Que d’avoir mal pour chose si louable
- Je te promis au soir que pour ce jour
- Sçais tu pourquoy de te veoir j’euz envie
- Si le servir merite recompense
- En Daulphiné Ceres faisoit encor moisson
- Je puis avoir failly par ignorance
- A qui est plus un Amant obligé
- Or qui en a, ou en veult avoir deux
- J’ay esté par un long temps
- Prenez le cas que comme je suis vostre
- Soit que par esgalle puissance
- Quand vous voyez que l’estincelle (ou Ne me devez-vous bien aimer ?)
- Si je ne suis telle que soulois estre
- Si je n’ay peu comme voulois
- O vraye amour dont je suis prise
- La fortune envieuse
- Ma voulenté, plus grande que l'effect
- Je ne croy point ce que vous deites
- L’une vous ayme, et si ne peult sçavoir
- Or bien, puis qu’ainsi le voulez
- Dames, s’il est permis
- Parfaicte Amytié
- Sans congnoissance aucune en mon Printemps j’estois
- Puis que, de nom et de faict, trop severe
- Qui dira ma robe fourrée
- Combien de fois ay je en moi souhaicté
- Si j’ayme cil, que je debvrois hayr
- Si descharger je veulx ma fantasie
- Ne vous faschez, si à vous je me plaings
- Plus ne m’en chault, la congnoissant à l’œil
- Comme mon Jour, il peult partout aller
- Mon jour estoit assis tout aupres d’une
- Je le devois prendre à augure
- C’est une ardeur d’autant plus violente
- Je n’oserois le penser veritable
- En lieu du bien que deux souloient pretendre
- Un seul je hais, qui deux me faict aymer
- Aucuns ont dict la Theorique
- Heureuse est la peine
- C’est un grand mal se sentir offensé
- Non que je vueille oster la liberté
- Point ne se fault sur Amour excuser
- Deux amys, joinctz par estroicte amytié
- Vidi d’intorno del Parnoso fonte [épigramme italien]
- Colpa ne sei, Amor, se troppo volsi [épigramme italien]
- Je suis la Journée
- Conde claros de Adonis
- Toute personne assés Jeune, et moins docte
- Celle clarté mouvante sans umbrage
- Coq a l’asne
- La nuict
- Desespoir traduict de la prose du parangon italien
- Confort
Epitaphes à Pernette Du Guillet
- L’heureuse cendre aultresfois composee (1545), par M. S. (Maurice Scève)
- Aultre, Beaulté mortelle icy en vain souspire attribué à Maurice Scève
- Onc Perle nette en vif et petit monde (1545), par D. V. Z. (Jean de Vauzelles)
- Une en son per nette, cousine et sœur (1545), par I. D. V. (Jean de Vauzelles)