Philosophie de la nature

Philosophie de la nature
Traduction par Augusto Vera.
3 Tomes
Ladrange.

TABLE DES MATIÈRES




INTRODUCTION DU TRADUCTEUR
Remarques préliminaires. — La philosophie de la nature tient intimement aux autres parties du système de Hégel. — Originalité de Hégel. — La philosophie de la nature est essentiellement un système. — Platon. — Aristote. — Sommes. — Encyclopédies. — Humboldt. — Objections adressées contre la philosophie de la nature de Hégel. 
 1 à 14
Rapports de l’homme avec la nature. — Rapports pratiques. — Rapports théoriques. — Point de vue utilitaire. — Point de vue esthétique. — Point de vue théologique. — Tous ces points de vue sont dominés par le point de vue spéculatif. 
 14 à 20
Rapports de la nature et de la pensée. — C’est un rapport nécessaire et absolu. — Difficulté qu’il y a à saisir la vraie nature d’un rapport. — Rapport de la science et de la nature. — C’est un rapport nécessaire et objectif. Double existence de la nature, dans la pensée et hors de la pensée. 
 20 à 30
Diverses manières de se représenter scientifiquement la nature. — La connaissance spéculative n’exclut pas la connaissance expérimentale et mathématique de la nature. — Elle la comprend et la dépasse. — Doctrine atomistique. — Dans quel sens la nature est la sphère de l’accident. — La raison est dans la nature. — La raison et l’unité sont inséparables. — Théorie de la métamorphose. — L’unité métamorphique de la nature n’est que son unité systématique. — Conditions absolues de cette unité. — Rapports. — Leur déduction. — Dans un rapport absolu les termes du rapport sont absolus aussi. — Indivisibilité de la forme et du contenu. — L’idée est le principe de la nature. 
 30 à 48
La nature est un système dans un système. — L’idée logique est dans la nature. — Mathématiques. — Mathématiques appliquées. — Distinction par Newton de l’élément physique et de l’élément mathématique de la force. — La dialectique est dans la nature. — Comment le physicien se représente la nature. — Idées logiques du même et de l’autre, de l’égal et de l’inégal, etc., en tant que déterminations de la nature. 
 48 à 59


On y examine les idées de centre, d’attraction, de répulsion, etc. — Que ces idées sont d’abord des idées logiques, et que, par conséquent, hors de la logique, elles ne peuvent se démontrer qu’imparfaitement. — Détermination de la notion de centre. — Elle contient non-seulement l’attraction, mais la répulsion. — Notion artificielle qu’on se fait de la courbe. — L’unité de la courbe est l’unité même du centre. — L’attraction universelle est l’expression achevée de cette unité. — Théorie de Newton. — Notion inexacte que Newton se fait des principes et de la nature des choses. — Il ne veut pas faire des hypothèses, et il fait des hypothèses. — La gravité considérée comme un éther. — Newton scinde les principes et l’essence en deux. — Comment la forme est une force. — Si la forme de la gravité nous est connue, sa nature, ou sa cause doit nous l’être aussi. — Rapports de la conception newtonienne et de l’ancien atomisme. — Traits principaux de la théorie de Newton. — Examen de la théorie de la matière conçue comme un composé d’atomes ou de molécules. — De la coexistence de l’attraction et de la répulsion dans l’atome. — Atomisme chimique. 
 59 à 85
On considère la théorie newtonienne dans ses applications. — Comment il faut entendre l’unité de la pesanteur. — Que la pesanteur n’existe pas à la surface de la terre, comme elle existe dans le système planétaire et dans la gravitation universelle. — Différence entre la chute d’un corps et la chute de la planète. — La masse n’est pas le principe de l’attraction. — Examen de la loi de la proportionnalité des attractions aux masses. — Étoiles doubles. — Leur mouvement échappe à cette loi. — Lois de Képler. — Si leur vérité dépend de la loi de Newton. — Cette loi n’explique ni le double mouvement de la planète, — ni les mouvements du soleil, — ni le centre du monde, — ni les mouvements des comètes. 
 85 à 109
Autres considérations sur le même sujet. — La masse et les rapports de masse ne peuvent pas expliquer l’unité du mouvement des corps célestes. — Critique de la théorie de Laplace sur la formation du système solaire.
 
 110 à 127
Idée de la nature. — Que les idées sont les principes. — Que ceux qui le nient l’admettent implicitement pendant qu’ils le nient. — Examen des objections contre l’idéalisme comme science de la nature. — On examine la question du passage de la logique à la nature. — Ce qu’il y a d’inexact dans la représentation de la nature comme force, ou comme un composé de forces. — L’idée est force, et elle est de plus l’idée. — Comment l’idée existe dans la nature. — Que toute connaissance de la nature suppose l’idée de la nature. — Dédoublement de l’idée de la nature. Elle existe comme idée sensible et comme idée pensée 
 128 à 150
Science de la nature. — La science de la nature est supérieure à la nature. — Trois méthodes pour con naître la nature.— Méthode expérimentale. — Ses défauts. — Méthode empirico-mathématique. — Ses défauts. − Méthode spéculative. 
 150 à 184


SECONDE PARTIE
PHILOSOPHIE DE LA NATURE


 §§245, 246  185
 §§247-251.  188


Partie I.


 chap. i. − 
 §253.  205
 A. − 
 §254.  208
 1. − 
 §255.  210
 2. − 
 §256.  212
 B. − 
 §§257-259.  216
 §260.  216
 1. − 
 §261.  230
 2. − 
 §261.  230
 chap II. − 
 §262.  235
 A. − 
 §263.  243
 B. − 
 §§265-266.  247
 C. − 
 §§267-268  261
 chap III. − 
 §269.  275
 §270.  280
 §269.  332


PARTIE II.


 §§272-273.  334
 §274.  337
 A. − 
Les corps physiques libres.
 §275-278.  337
 §279.  374
 a. − 
La lune.
 b. − 
La comète.
 B. − 
 §281.  390
 1. − 
 §282.  400
 §283.  410
 a. − 
 410
 b. − 
 §284.  415
 3. − 
 §285.  423
 C. − 
 §286.  423
 §287.  438
 §288-289.  443
 §290-292.  460
 §293-294.  467
 B. − 
 §295.  476
 1. − 
 §296.  478
 2. − 
 §296.  480
 a. − 
 §296.  480
 b. − 
 §296.  420
 3. − 
 §297-299.  485
 C. − 
 §§300-302.  493
 D. − 
 §303-307.  524
 §308-309.  557
 A. − 
 563
 §§310-311.  569
 2. − 
 §§312-314.  571
 §315.  608
 §316.nn  1
 1
 a. − 
 §317.n  14
 b. − 
 §§318, 319.n  25
 §320.n  60
 α. − 
 89
 γ. − 
 144
 §321.  177
 §322.  181
 3. − 
 §§323-325.  186
 C. − 
 §326.  224
 1. − 
 §327.  238
 2. − 
 §§328, 329.  238
 a. − 
 §330.  259
 b. − 
 §331.  290
 b. − 
Sel 
 §332.  298
 c. − 
 §333.  303
 §334.  311
 §335.  325
 §336.  328


PARTIE III


 §337.  336
 chap I. − 
 §338.  354
 A. − 
 §339.  354
 2. − 
 356
 3. − 
 373
 380
 1. − 
 385
 2. − 
 393
 399
 C. − 
 418
 1. − 
 423
 2. − 
 426
 3. − 
 433
 §342.n  1
 §§343, 344.  35
 §345.  62
 B. −  
 §346.  92
 A. 1. − 
 §346 a.  96
 a. − 
 103
 c. − 
 116
 α. − 
 123
 β. − 
 124
 γ. − 
 126
 2. − 
 129
 3. − 
 137
 §347.  138
 144
 148
 153
 C. − 
 §§348, 349  161
 chap III. − 
 §§350-352.  192
 §§353  214
 214
 §354  214
 a. − 
 230
 α. 
 230
 γ. 
 246
 b. − 
 250
 α. 
 250
 253
 γ. 
 266
 c. − 
 277
 3. − 
 §355.  281
 §356.  293
 B. − 
 §357.  304
 1. − 
 §§357 a, 358.  306
 2. − 
 §356.  320
 335
 §§363-365.  345
 α. − 
 358
 β. − 
 371
 γ. − 
 383
 3. − 
 §366.  388
 C. − 
 §§367, 368.  409
 1. − 
 §§367, 368.  418
 2. − 
 §§371.  441
 a. − 
 466
 b. − 
 467
 c. − 
 468
 α. − 
 471
 β. − 
 472
 γ. − 
 472
 δ. − 
 475
 3. − 
 484
 a. − 
 §§372, 373.  484
 b. − 
 §§374, 375.  520
 §§376, 377.  543


FIN DE LA TABLE.