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Chap. CIX. Si des couleurs différentes peuvent perdre également leurs teintes quand elles sont dans l’obscurité ou dans l’ombre.
Chap. CXI. Qu’aucune chose ne montre point sa véritable couleur, si elle n’est éclairée d’une autre couleur semblable.
Chap. CXII. Que les couleurs reçoivent quelques changemens par l’opposition du champ sur lequel elles sont.
Chap. CXIII. Du changement des couleurs transparentes couchées sur d’autres couleurs, et du mélange des couleurs.
ibid.
Chap. CXIV. Du degré de teinte où chaque couleur paroît davantage.
Chap. CXV. Que toute couleur qui n’a point de lustre, est plus belle dans ses parties éclairées que dans les ombres.
Chap. CXVI. De l’apparence des couleurs.
Chap. CXVII. Quelle partie de la couleur doit être plus belle.
ibid.
Chap. CXVIII. Que ce qu’il y a de plus beau dans une couleur doit être placé dans les lumière.
Chap. CXIX. De la couleur verte qui se fait de rouille de cuivre, et qu’on appelle vert-de-gris.
ibid.
Chap. CXX. Comment on peut augmenter la beauté du vert-de-gris.
Chap. CXXI. Du mélange des couleurs l’une avec l’autre.
Chap. CXXII. De la surface des corps qui ne sont pas lumineux.