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TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES.
Darius, fils d’Hystaspe, passionné pour es richesses, 72 ; digne du trône, 80 ; reconnaissant envers un hôte samien, 100.
Darius (Ochus ou Nothus) ; ses enfants se disputent le trône, 28 ; perd sa femme, 397.
Darius (Codoman), vaincu par Alexandre, 177 ; moins emporté que son vainqueur, 221.
David, sa royauté finit avec Sédécias, 344 ; est fils de Jessé ou Isaï, 345.
Débauche, personnifiée, 290.
Décalogue, ce qu’il faut en penser, 333.
Décentius, officier de Constance, 243.
Déjocès, Mède célèbre, 231.
Délos, lieu commun de poésie, 203.
Delphiens, directeurs des jeux Pythiques, 393.
Déméter, surnom de Cérès, 138.
Démétrius, affranchi de Pompée, 310.
Démocrite rit de voir les hommes agir sérieusement, 162 ; est forcé de voyager, 212 ; se livre à la contemplation, 227 ; son conseil à Darius, qui avait perdu sa femme, 397.
Démodocos, chanteur, 305.
Démosthène, moins éloquent que Constance, 27 ; son apologue des loups et des brebis, 196 ; reconnaît les dieux pour auteurs de toute science, 406.
Démosthène, personnage d’Aristophane, 266.
Denys (de Syracuse) s’imagine bien régner, 287 ; trompe Platon, 428.
Denys, sycophante ignorant et débauché, 426 et suivantes.
Déo, surnom de Cérès, 138, 150.
Didyme, son oracle fameux, 436.
Didyméen, nom d’Apollon fameux par ses oracles, 254.
Dieu, forme la vertu de Constance, 12 ; se connaît lui-même, 161 ; maître de tout, 222 ; idée différente que s’en font les Grecs et les Hébreux, 322 ; défend à l’homme de toucher à l’arbre de la science du bien et du mal, 326 ; Dieu jaloux, 327, 334 ; conforme ses ordres à ce qui est possible, 332 ; s’occupe de tous les hommes, 335.
Dioclétien arrive au banquet des Césars, 273.
Diogène, accusé de vaine gloire, 157 ; meurt pour avoir mangé un polype, 168 ; disait ne savoir rien, 157 ; présente un poignard à Antisthène, ibid ; a. composé, dit-on, des tragédies ; 162, 182 ; fondateur du cynisme, 163 ; coryphée des cyniques, 164 ; sa doctrine rapprochée de celle de Platon ; 164, fait le métier de critique, 166 ; ne s’en fie point au témoignage de Pythagore, 167 ; cherche à savoir si l’homme peut se nourrir de chair crue, 167 ; bat un jeune homme qui a peté sur l’agora, 170 ; son mot sur les mangeurs de biscuit, 173 ; respectueux envers la Divinité, ibid. ; ce qu’il pense de l’amour, ibid. ; se moque des pirates qui l’ont pris, 175 ; a commerce avec une courtisane, 175 ; disculpé de cette faiblesse, 176 ; comparé à un roi, ibid. ; Alexandre admire sa grandeur, 177 ; n’admet la vérité que toute nue, 181 ; pratique le précepte “ Connais-toi toi-même ”, 183 ; Apollon lui prescrit de mépriser l’opinion du vulgaire, ibid. ; il obéit au dieu, 184 ; pourquoi il se rend à Olympie, ibid. ; il y donne rendez-vous à Alexandre, ibid. ; ce qu’il écrit à ce roi, ibid. ; était pieux en actions, ibid. ; avait élu domicile à Athènes, 185 ; Apollon lui ordonne de vivre à Corinthe, ibid. ; refuse de se faire initier, 205 ; se regarde comme citoyen du monde, ibid.
Diogène, philosophe contemporain de Julien, 395, 443.
Diomède échange ses armes avec Glaucus, 372.
Dion (de Syracuse) ne fut pas heureux, 221 ; victime de la multitude, 252.
Dion (Chrysostome), ce qu’il raconte de Diogène, 184.
Dioscore, musicien, 424.