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Docquois - Le Poème sans nom, 1919.djvu/279
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CLXIV
. —
Nous parlions de romans ; et tu me dis : « Je n’ai
199
CLXV
. —
Naguère encore, il n’était bruit, dans notre ville
200
CLXVI
. —
Ta mère, qui s’en fut si prématurément
201
CLXVII
. —
Ne dis pas non, tu fais souvent la tragédienne
202
CLXVIII
. —
Épuisons, si tu veux, ce thème des romans
203
CLXIX
. —
Notre roman, oui, je l’écris. C’est un devoir.
204
CLXX
. —
Mais non, que nous soyons des champs ou bien des villes
205
CLXXI
. —
Ta parure, ce sont tes cheveux ténébreux !
207
CLXXII
. —
Je voudrais que mes mots fussent tels des essaims
208
CLXXIII
. —
Je ne saurais souffrir, pour ma part, ces femelles
209
CLXXIV
. —
En ce temps-là (rassure-toi, non, pas de dates !)
210
CLXXV
. —
Je t’ignorais, en ce temps-là. Je le déplore.
211
CLXXVI
. —
Et quant aux cuirassiers, pour eux que de louanges !
212
CLXXVII
. —
Mais jamais je n’ai vu vibrer mieux ta narine
213
CLXXVIII
. —
Le soir, quand ses travaux au jardin sont finis
215
CLXXIX
. —
Je t’en offrais souvent de ces rouges œillets
216
CLXXX
. —
Denis autour de moi s’active, plein de zèle
217
CLXXXI
. —
Suis-je repossédé ? De nouveau je me ronge
219
CLXXXII
. —
Hier, notre Denis avait un air de drame
221