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ERRATA ET ADDITIONS.

Fait Page 5, ligne 12, au lieu de le principe de relativité, lire la théorie nouvelle.

Fait Pages 6 et 7, remplacer les quatre dernières lignes de la page 6 et les quatre premières lignes de la page 7 par ce qui suit : considérons, en effet, deux systèmes et dans chacun desquels les observateurs ont des horloges identiques Prenons comme événement origine du temps dans chacun des systèmes ; se produit à l’époque du système et à l’époque du système la simultanéité étant absolue, les indications et des deux horloges constituent deux événements simultanés, non seulement pour les observateurs des systèmes et mais pour tout observateur ; cela signifie que les heures marquées sont les mêmes pour tous les observateurs : l’intervalle de temps séparant et est absolu.

Fait Page 15, ligne 8, lire : la vitesse apparente de la lumière devrait varier avec la direction : cette variation aurait pour conséquence un effet du second ordre que Michelson, etc.

Fait Page 17, ligne 7, lire : frange centrale noire.

Fait Page 17, ligne 17, lire : ces vitesses, ainsi que les vitesses suivant les directions opposées (retour des rayons) étant inégales, etc.

Fait Page 18, ligne 10, lire : de manière que la différence des temps mis par la lumière à parcourir les deux bras, aller et retour, soit la plus grande possible, et pour cela orienter, etc.

Fait Page 21, ligne 23, ajouter : l’indépendance de la vitesse de la lumière et de l’état de mouvement de la source lumineuse est conforme à l’expérience, ainsi que de Sitter l’a établi par l’observation des étoiles doubles très éloignées.

Fait Page 27, ligne 27, au lieu de principe de l’invariance, etc., lire principe de l’isotropie de propagation de la lumière (no 10) ont pour conséquence, etc.

Fait Page 39, formule du no 19, lire

Fait Page 39, addition au no 19 : Il est à remarquer que est la vitesse de la phase ; cette vitesse a une signification purement géométrique : la phase ne peut pas servir à envoyer un signal, et lorsque il n’y a dans ce fait aucune contradiction avec l’affirmation qu’un signal ne se propage jamais avec une vitesse supérieure à