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TABLE DES MATIÈRES.


XXIV. Comment il faut entendre ce souffle de Dieu dont parle l’Écriture et qui donne à l’homme une âme vivante, et cet autre souffle que Jésus-Christ exhale en disant : Recevez l’Esprit-Saint.
Chapitre premier. La désobéissance du premier homme entraînerait tous ses enfants dans l’abîme éternel de la seconde mort, si la grâce de Dieu n’en sauvait plusieurs.
II. Ce qu’il faut entendre par vivre selon la chair.
III. La chair n’est pas cause de tous les péchés.
IV. Ce que c’est que vivre selon l’homme et que vivre selon Dieu.
V. L’opinion des Platoniciens touchant la nature de l’âme et celle du corps est plus supportable que celle des Manichéens ; toutefois nous la rejetons en ce point qu’elle fait venir du corps tous les désirs déréglés.
VI. Les mouvements de l’âme sont bons ou mauvais, selon que la volonté est bonne ou mauvaise.
VII. Les mots amour et dilection se prennent indifféremment en bonne et en mauvaise part dans les saintes lettres.
VIII. Des trois seuls mouvements que les Stoïciens consentent à admettre dans l’âme du sage, à l’exclusion de la douleur ou de la tristesse, qu’ils croient incompatibles avec la vertu.
IX. Du bon usage que les gens de bien font des passions.
X. Si les premiers hommes avant le péché étaient exempts de toute passion.
XI. De la chute du premier homme, en qui la nature a été créée bonne et ne peut être réparée que par son auteur.
XII. Grandeur du péché du premier homme.
XIII. Le péché d’Adam a été précédé d’une mauvaise volonté.
XIV. L’orgueil de la transgression dans le péché originel a été pire que la transgression elle-même.
XV. La peine du premier péché est très-juste.
XVI. Du danger du mal de la convoitise, à n’entendre ce mot que des mouvements impurs du corps.
XVII. Comment Adam et Ève connurent qu’ils étaient nus.
XVIII. De la honte qui accompagne, même dans le mariage, la génération des enfants.
XIX. Il est nécessaire d’opposer à l’activité de la colère et de la convoitise le frein de la sagesse.
XX. Contre l’infamie des cyniques.
XXI. La prévarication des premiers hommes n’a pas détruit la sainteté du commandement qui leur fut donné de croître et de multiplier.
XXII. De l’union conjugale instituée originairement par Dieu, qui l’a bénie.
XXIII. Comment on eût engendré des enfants dans le paradis sans aucun mouvement de concupiscence.
XXIV. Si les hommes fussent demeurés innocents dans le paradis, l’acte de la génération serait soumis à la volonté comme toutes nos autres actions.
XXV. On ne saurait vraiment être heureux en cette vie.
XXVI. Les hommes auraient rempli sans rougir, dans le paradis, l’office de la génération.
XXVII. Des hommes et des anges prévaricateurs, dont le péché ne trouble pas l’ordre de la divine Providence.
XXVIII. Différence des deux cités.
Chapitre premier. De la séparation des hommes en deux sociétés, à partir des enfants d’Adam.
II. Des fils de la terre et des fils de promission.
III. De la stérilité de Sarra que Dieu féconda par sa grâce.
IV. De la paix et de la guerre dans la cité terrestre.
V. Du premier fondateur de la cité de la terre, qui tua son frère ; en quoi il fut imité depuis par le fondateur de Rome.
VI. Des langueurs auxquelles sont sujets, en punition du péché, les citoyens mêmes de la Cité de Dieu, et dont ils sont enfin délivrés par la grâce.
VII. La parole de Dieu ne détourna point Caïn de tuer son frère.
VIII. Quelle raison porta Caïn à bâtir une ville dès le commencement du monde.
IX. Les hommes vivaient plus longtemps et étaient plus grands avant le déluge que depuis.
X. De la diversité qui se rencontre entre les livres hébreux et les Septante quant au nombre des années des premiers hommes.
XI. Il faut, d’après l’âge de Mathusalem, qu’il ait encore vécu quatorze ans après le déluge.
XII. De l’opinion de ceux qui croient que les années des anciens n’étaient pas aussi longues que les nôtres.
XIII. Si, dans la supputation des années, il faut plutôt s’arrêter au texte hébreu qu’à la traduction des Septante.
XIV. Les années étaient autrefois aussi longues qu’à présent.
XV. S’il est présumable que les hommes du premier âge aient persévéré dans l’abstinence jusqu’à l’époque où l’on rapporte qu’ils ont eu des enfants.
XVI. Des mariages entre proches, permis autrefois à cause de la nécessité.
XVII. Des deux chefs de l’une et l’autre cité issus du même père.
XVIII. Figure de Jésus-Christ et de son Église dans Adam, Seth et Énos.
XIX. Ce que figure le ravissement d’Énoch.
XX. Comment la postérité de Caïn est renfermée en huit générations, et pourquoi Noé appartient à la dixième depuis Adam.
XXI. L’Écriture ne parle qu’en passant de la cité de la terre, et seulement en vue de celle du ciel.
XXII. Le mélange des enfants de Dieu avec les filles des hommes a causé le déluge qui a anéanti tout le genre humain, à l’exception de huit personnes.
XXIII. Les enfants de Dieu qui, suivant l’Écriture, épousèrent les filles des hommes, dont naquirent les géants, étaient-ils des anges ?
XXIV. Comment il faut entendre ce que Dieu dit à ceux qui devaient périr par le déluge : « Ils ne vivront plus que cent vingt ans ».