La Cité de Dieu (Augustin)/Livre XIV
Chapitre premier. La désobéissance du premier homme entraînerait tous ses enfants dans l’abîme éternel de la seconde mort, si la grâce de Dieu n’en sauvait plusieurs.
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— II. Ce qu’il faut entendre par vivre selon la chair.
285
— III. La chair n’est pas cause de tous les péchés.
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— IV. Ce que c’est que vivre selon l’homme et que vivre selon Dieu.
287
— V. L’opinion des Platoniciens touchant la nature de l’âme et celle du corps est plus supportable que celle des Manichéens ; toutefois nous la rejetons en ce point qu’elle fait venir du corps tous les désirs déréglés.
288
— VI. Les mouvements de l’âme sont bons ou mauvais, selon que la volonté est bonne ou mauvaise.
289
— VII. Les mots amour et dilection se prennent indifféremment en bonne et en mauvaise part dans les saintes lettres.
289
— VIII. Des trois seuls mouvements que les Stoïciens consentent à admettre dans l’âme du sage, à l’exclusion de la douleur ou de la tristesse, qu’ils croient incompatibles avec la vertu.
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— IX. Du bon usage que les gens de bien font des passions.
292
— X. Si les premiers hommes avant le péché étaient exempts de toute passion.
294
— XI. De la chute du premier homme, en qui la nature a été créée bonne et ne peut être réparée que par son auteur.
295
— XII. Grandeur du péché du premier homme.
296
— XIII. Le péché d’Adam a été précédé d’une mauvaise volonté.
296
— XIV. L’orgueil de la transgression dans le péché originel a été pire que la transgression elle-même.
298
— XV. La peine du premier péché est très-juste.
298
— XVI. Du danger du mal de la convoitise, à n’entendre ce mot que des mouvements impurs du corps.
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— XVII. Comment Adam et Ève connurent qu’ils étaient nus.
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— XVIII. De la honte qui accompagne, même dans le mariage, la génération des enfants.
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— XIX. Il est nécessaire d’opposer à l’activité de la colère et de la convoitise le frein de la sagesse.
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— XX. Contre l’infamie des cyniques.
301
— XXI. La prévarication des premiers hommes n’a pas détruit la sainteté du commandement qui leur fut donné de croître et de multiplier.
302
— XXII. De l’union conjugale instituée originairement par Dieu, qui l’a bénie.
302
— XXIII. Comment on eût engendré des enfants dans le paradis sans aucun mouvement de concupiscence.
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— XXIV. Si les hommes fussent demeurés innocents dans le paradis, l’acte de la génération serait soumis à la volonté comme toutes nos autres actions.
304
— XXV. On ne saurait vraiment être heureux en cette vie.
305
— XXVI. Les hommes auraient rempli sans rougir, dans le paradis, l’office de la génération.
305
— XXVII. Des hommes et des anges prévaricateurs, dont le péché ne trouble pas l’ordre de la divine Providence.
306
— XXVIII. Différence des deux cités.
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