La Cité de Dieu (Augustin)/Livre XIV

Texte établi par RaulxL. Guérin & Cie (Œuvres complètes de Saint Augustin, tome XIIIp. TdM).
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Tome 13
Chapitre premier. La désobéissance du premier homme entraînerait tous ses enfants dans l’abîme éternel de la seconde mort, si la grâce de Dieu n’en sauvait plusieurs.
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II. Ce qu’il faut entendre par vivre selon la chair.
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III. La chair n’est pas cause de tous les péchés.
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IV. Ce que c’est que vivre selon l’homme et que vivre selon Dieu.
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V. L’opinion des Platoniciens touchant la nature de l’âme et celle du corps est plus supportable que celle des Manichéens ; toutefois nous la rejetons en ce point qu’elle fait venir du corps tous les désirs déréglés.
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VI. Les mouvements de l’âme sont bons ou mauvais, selon que la volonté est bonne ou mauvaise.
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VII. Les mots amour et dilection se prennent indifféremment en bonne et en mauvaise part dans les saintes lettres.
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VIII. Des trois seuls mouvements que les Stoïciens consentent à admettre dans l’âme du sage, à l’exclusion de la douleur ou de la tristesse, qu’ils croient incompatibles avec la vertu.
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IX. Du bon usage que les gens de bien font des passions.
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X. Si les premiers hommes avant le péché étaient exempts de toute passion.
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XI. De la chute du premier homme, en qui la nature a été créée bonne et ne peut être réparée que par son auteur.
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XII. Grandeur du péché du premier homme.
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XIII. Le péché d’Adam a été précédé d’une mauvaise volonté.
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XIV. L’orgueil de la transgression dans le péché originel a été pire que la transgression elle-même.
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XV. La peine du premier péché est très-juste.
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XVI. Du danger du mal de la convoitise, à n’entendre ce mot que des mouvements impurs du corps.
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XVII. Comment Adam et Ève connurent qu’ils étaient nus.
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XVIII. De la honte qui accompagne, même dans le mariage, la génération des enfants.
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XIX. Il est nécessaire d’opposer à l’activité de la colère et de la convoitise le frein de la sagesse.
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XX. Contre l’infamie des cyniques.
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XXI. La prévarication des premiers hommes n’a pas détruit la sainteté du commandement qui leur fut donné de croître et de multiplier.
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XXII. De l’union conjugale instituée originairement par Dieu, qui l’a bénie.
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XXIII. Comment on eût engendré des enfants dans le paradis sans aucun mouvement de concupiscence.
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XXIV. Si les hommes fussent demeurés innocents dans le paradis, l’acte de la génération serait soumis à la volonté comme toutes nos autres actions.
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XXV. On ne saurait vraiment être heureux en cette vie.
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XXVI. Les hommes auraient rempli sans rougir, dans le paradis, l’office de la génération.
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XXVII. Des hommes et des anges prévaricateurs, dont le péché ne trouble pas l’ordre de la divine Providence.
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XXVIII. Différence des deux cités.
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