La Légende d’un peuple
La Légende d’un peuple
À LA FRANCE !
Mère, je ne suis pas de ceux qui ont eu le bonheur d’être bercés sur tes genoux.
Ce sont de bien lointains échos qui m’ont familiarisé avec ton nom et ta gloire.
Ta belle langue, j’ai appris à la balbutier loin de toi.
J’ose cependant, aujourd’hui, apporter une nouvelle page héroïque à ton histoire déjà si belle et si chevaleresque.
Cette page est écrite plus avec le cœur qu’avec la plume.
Je ne te demande pas, en retour, un embrassement maternel pour ton enfant, hélas ! oublié.
Mais permets-lui au moins de baiser, avec attendrissement et fierté, le bas de cette robe glorieuse qu’il aurait tant aimé voir flotter auprès de son berceau.
L. F.
TABLE DES MATIÈRES
7
PROLOGUE
15
PREMIÈRE ÉPOQUE
37
47
59
89
99
139
DEUXIÈME ÉPOQUE
151
157
181
185
195
205
TROISIÈME ÉPOQUE
229
235
241
245
253
259
269
273
285
293
297
305
317
ÉPILOGUE
335
347