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Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome X.djvu/521
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III
.
Quand le bien et le mal, couple qui nous obsède
237
IV
.
La calomnie immonde et qu’on jette en courant
239
V
.
I
.
I
Chanson d’autrefois
.
240
II
.
Chanson d’aujourd’hui
.
241
VI
.
Près d’Avranches
.
243
VII
.
Chanson
.
244
VIII
.
Coup d’épée ; oui, mais non de poignard. Il te faut
245
IX
.
En écoutant chanter la princesse ***
.
246
X
.
Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble
248
XI
.
Dieu ne frappe qu’en haut. Infimes que nous sommes
249
XII
.
Nuits d’hiver
.
251
XIII
.
I
.
I
Chanson d’autrefois
.
259
II
.
Chanson d’aujourd’hui
.
260
XIV
.
Jersey
.
261
XV
.
Androclès
.
263
XVI
.
À ma fille Adèle
.
266
XVII
.
En marchant le matin
.
267
XVIII
.
Un groupe tout à l’heure était là sur la grève
268
XIX
.
Sur la falaise
.
269
XX
.
J’ai beau comme un imbécile
273
XXI
.
En marchant la nuit dans un bois
.
274
XXII
.
Lueur à l’horizon
.
277
XXIII
.
Sous terre
.
279
XXIV
.
Bestiarium
.
280
XXV
.
Chanson
.
283
XXVI
.
Remontrances
.
284
XXVII
.
Pati
.
287
XXVIII
.
En hiver la terre pleure
291
XXIX
.
L’absolu, l’éternel. Rien après, rien avant.
292
XXX
.
Chanson
.
293
XXXI
.
À Meurice. — À Vacquerie.
294
XXXII
.
Tourmente
295
XXXIII
.
Ma vie entre déjà dans l’ombre de la mort
296
XXXIV
.
Entrée dans l’exil
.
300
XXXV
.
L’immense Être inconnu sourit.
301
XXXVI
.
Oh ! quoique je sois, sur la grève
303
XXXVII
.
Exil
.
305
XXXVIII
.
Ô mon âme, en cherchant l’azur, ton vol dévie
307
XXXIX
.
Tant qu’on verra l’amour pleurer, la haine rire
308
XL
.
La nuit, pendant que les pêcheurs sont en mer
.
310
XLI
.
Duo
.
312
XLII
.
Pensées de nuit
.
313
XLIII
.
Quand Eschyle au vautour dispute Prométhée
315
XLIV
.
Ô misérables amas de vanités humaines
316