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Chap. XIII. M. Burchell était un ennemi : il a le courage de donner un avis qui déplaît. 
 69
Chap. XIV. Nouvelles tribulations : une preuve que ce qui a l’air d’un mal peut être un bien. 
 73
Chap. XV. La noirceur de M. Burchell découverte. Trop de sagesse est folie. 
 80
Chap. XVI. La famille ruse ; elle trouve plus rusé qu’elle. 
 86
Chap. XVII. La vertu ne résiste guère à une longue et douce tentation. 
 92
Chap. XVIII. Un père cherchant sa fille pour la rendre à la vertu. 
 101
Chap. XIX. Un mécontent qui craint la perte de nos libertés. 
 106
Chap. XX. Un philosophe errant qui court après la nouveauté et perd le bonheur. 
 115
Chap. XXI. Entre gens vicieux, l’amitié dure tout juste autant que le plaisir. 
 131
Chap. XXII. On pardonne aisément quand on aime. 
 140
Chap. XXIII. Il n’y a que le méchant qui puisse être longtemps et complètement malheureux. 
 145
Chap. XXIV. Nouveaux malheurs. 
 150
Chap. XXV. Pas de situation, si misérable qu’elle paraisse, qui n’offre quelque consolation. 
 156
Chap. XXVI. Réforme dans la prison. La loi, pour être complète, devrait récompenser comme elle punit. 
 162
Chap. XXVII. Même sujet. 
 168
Chap. XXVIII. Les joies et les maux d’ici-bas sont, aux yeux de Dieu, choses de peu de valeur et dont la répartition n’est pas digne de ses soins. 
 173
Chap. XXIX. Équité de la Providence dans la répartition du bonheur et de la misère. Compensation, dans l’autre vie, des souffrances de ce monde. 
 184
Chap. XXX. L’horizon s’éclaircit. Ne cédons pas ; la fortune finira par nous mieux traiter. 
 190
Chap. XXXI. Bienfait payé avec usure. 
 199
Chap. XXXII. Conclusion. 
 215
 221
fin de la table.