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Chap. IV. Que les histoires surprenantes qu’on débite sur les oracles doivent être fort suspectes.
—V. Que l’opinion commune, sur les oracles, ne s’accorde pas si bien qu’on pense avec la religion.
—VI. Que les démons ne sont pas suffisamment établies par le paganisme.
—VII. Que de grandes sectes de philosophes païens n’ont point cru qu’il y eût rien de surnaturel dans les oracles.
—VIII. Que d’autres que des philosophes ont assez souvent fait peu de cas des oracles.
—IX. Que les anciens chrétiens eux-mêmes n’ont pas trop cru que les oracles fussent rendus par les démons.
—X. Oracles corrompus.
—XI. Nouveaux établisssemens d’oracles.
—XII. Lieux où étaient les oracles.
—XIII. Distinctions de jours et autres mystères des oracles.
—XIV. Des oracles qui se rendaient sur les billets cachetés.
—XV. Des oracles en songes.
—XVI. Ambiguité des oracles.
—XVII. Fourberies des oracles manifestement découvertes.
—XVIII. Des sorts.
Deuxième Dissertation. — Que les oracles n’ont point cessé au temps de la venue de Jésus-Christ.
Chap. Ier. Faiblesse des raisons sur lesquelles cette opinion est fondée.
—II. Pourquoi les auteurs anciens se contredisent souvent sur le temps de la cessation des oracles.