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Chap. IV. Que les histoires surprenantes qu’on débite sur les oracles doivent être fort suspectes. 
 272
V. Que l’opinion commune, sur les oracles, ne s’accorde pas si bien qu’on pense avec la religion. 
 282
VI. Que les démons ne sont pas suffisamment établies par le paganisme. 
 286
VII. Que de grandes sectes de philosophes païens n’ont point cru qu’il y eût rien de surnaturel dans les oracles. 
 291
VIII. Que d’autres que des philosophes ont assez souvent fait peu de cas des oracles. 
 298
IX. Que les anciens chrétiens eux-mêmes n’ont pas trop cru que les oracles fussent rendus par les démons. 
 304
X. Oracles corrompus. 
 308
XI. Nouveaux établisssemens d’oracles. 
 312
XII. Lieux où étaient les oracles. 
 317
XIII. Distinctions de jours et autres mystères des oracles. 
 322
XIV. Des oracles qui se rendaient sur les billets cachetés. 
 326
XV. Des oracles en songes. 
 330
XVI. Ambiguité des oracles. 
 334
XVII. Fourberies des oracles manifestement découvertes. 
 338
XVIII. Des sorts. 
 339
Deuxième Dissertation. — Que les oracles n’ont point cessé au temps de la venue de Jésus-Christ. 
 344
Chap. Ier. Faiblesse des raisons sur lesquelles cette opinion est fondée. 
 ib.
II. Pourquoi les auteurs anciens se contredisent souvent sur le temps de la cessation des oracles. 
 350