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TABLE DES MATIÈRES.


IV. Contre les sages du monde qui pensent que les corps terrestres des hommes ne pourront être transportés dans le ciel.
V. De la résurrection des corps, que certains esprits ne veulent pas admettre, bien que proclamée par le monde entier.
VI. Rome a fait un Dieu de Romulus, parce qu’elle aimait en lui son fondateur ; au lieu que l’Église a aimé Jésus-Christ, parce qu’elle l’a cru Dieu.
VII. Si le monde a cru en Jésus-Christ, c’est l’ouvrage d’une vertu divine, et non d’une persuasion humaine.
VIII. Des miracles qui ont été faits pour que le monde crût en Jésus-Christ et qui n’ont pas cessé depuis qu’il y croit.
IX. Tous les miracles opérés par les martyrs au nom de Jésus-Christ sont autant de témoignages de la foi qu’ils ont eue en Jésus-Christ.
X. Combien sont plus dignes d’être honorés les martyrs qui opèrent de tels miracles pour que l’on adore Dieu, que les démons qui ne font certains prodiges que pour se faire eux-mêmes adorer comme des dieux.
XI. Contre les Platoniciens qui prétendent prouver, par le poids des éléments, qu’un corps terrestre ne peut demeurer dans le ciel.
XII. Contre les calomnies et les railleries des infidèles au sujet de la résurrection des corps.
XIII. Si les enfants avortés, étant compris au nombre des morts, ne le seront pas au nombre des ressuscités.
XIV. Si les enfants ressusciteront avec le même corps qu’ils avaient à l’âge où ils sont morts.
XV. Si la taille de Jésus-Christ sera le modèle de la taille de tous les hommes, lors de la résurrection.
XVI. Comment il faut entendre que les saints seront rendus conformes à l’image du fils de Dieu.
XVII. Si les femmes, en ressuscitant, garderont leur sexe.
XVIII. De l’homme parfait, c’est-à-dire de Jésus-Christ, et de son corps, c’est-à-dire de l’Église, qui est la plénitude.
XIX. Tous les défauts corporels, qui, pendant cette vie, sont contraires à la beauté de l’homme, disparaîtront à la résurrection, la substance naturelle du corps terrestre devant seule subsister, mais avec d’autres proportions d’une justesse accomplie.
XX. Au jour de la résurrection, la substance de notre corps, de quelque manière qu’elle ait été dissipée, sera réunie intégralement.
XXI. Du corps spirituel en qui sera renouvelée et transformée la chair des bienheureux.
XXII. Des misères et des maux de cette vie, qui sont des peines du péché du premier homme, et dont on ne peut être délivré que par la grâce de Jésus-Christ.
XXIII. Des misères de cette vie qui sont propres aux bons indépendamment de celles qui leur sont communes avec les méchants.
XXIV. Des biens dont le Créateur a rempli cette vie tout exposée qu’elle soit à la damnation.
XXV. De l’obstination de quelques incrédules qui ne veulent pas croire à la résurrection de la chair, admise aujourd’hui, selon les prédictions des livres saints, par le monde entier.
XXVI. Opinion de Porphyre sur le souverain bien.
XXVII. Des opinions contraires de Platon et de Porphyre, lesquelles les eussent conduits à la vérité, si chacun d’eux avait voulu céder quelque chose à l’autre.
XXVIII. Comment Platon, Labéon et même Varron auraient pu voir la vérité de la résurrection de la chair, s’ils avaient réuni leurs opinions en une seule.
XXIX. De la nature de la vision par laquelle les saints connaîtront Dieu dans la vie future.
XXX. De l’éternelle félicité de la Cité de Dieu et du sabbat éternel.

CONTROVERSE AVEC LES DONATISTES.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.

Réfutation des erreurs de Pétilianus adressée à Constantin.