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CHAPITRE XII. — Fait-il des éclairs sans tonnerre, par un ciel parfaitement serein ? 
 84
CHAPITRE XIII. — Y a-t-il jamais des tonnerres sans éclairs ? 
 84
CHAPITRE XIV. — Y a-t-il jamais, par un temps couvert, des éclairs sans tonnerre ? 
 85
CHAPITRE XV. — Tonne-t-il jamais par un temps parfaitement serein ? 
 88
CHAPITRE XVI. — La foudre développe par son action, dans les lieux où elle éclate, souvent de la fumée, presque toujours une forte odeur qui a été comparée à celle du soufre enflammé 
 89
CHAPITRE XVII. — Des modifications chimiques que la foudre fait subir à l’air atmosphérique 
 93
CHAPITRE XVIII. — La foudre opère souvent la fusion des pièces de métal qu’elle va frapper 
 95
CHAPITRE XIX. — La foudre raccourcit les fils de métal à travers lesquels elle passe, lorsque sa puissance n’est pas assez grande pour en déterminer la fusion 
 109
CHAPITRE XX. — La foudre met quelquefois en fusion certaines substances terreuses et les vitrifie instantanément 
 110
CHAPITRE XXI. — Tubes de foudre ou fulgurites 
 115
CHAPITRE XXII. — La foudre perce quelquefois de plusieurs trous les corps qu’elle frappe 
 122
CHAPITRE XXIII. — Phénomènes de transport produits par la foudre 
 124
CHAPITRE XXIV. — Action magnétique de la foudre. — La foudre, quand elle passe près d’une aiguille de boussole, en altère le magnétisme, le détruit entièrement, ou renverse les pôles. — Dans les mêmes circonstances, elle peut communiquer une aimantation plus ou moins forte des barres d’acier qui, auparavant, n’en offraient aucune trace 
 128
CHAPITRE XXV. — Aimantation par la foudre 
 132
CHAPITRE XXVI. — La foudre, dans sa marche rapide, obéit à des actions dépendantes des corps terrestres près desquels elle éclate 
 134
CHAPITRE XXVII. — Lorsque l’atmosphère est orageuse, il y a, simultanément, dans les entrailles de la terre, à la surface ou au sein des eaux, de grandes perturbations 
 135
CHAPITRE XXVIII. — L’état exceptionnel dans lequel les orages