Livre:Arnauld - Œuvres philosophiques, 1843.djvu

TitreŒuvres philosophiques
AuteurAntoine Arnauld Voir l'entité sur Wikidata, C. Jourdain
Maison d’éditionHachette
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1843
BibliothèqueInternet Archive
Fac-similésdjvu
AvancementÀ corriger

Pages

- - - - - - - - - - i ii iii iv v vi vii viii ix x xi xii xiii xiv xv xvi xvii xviii xix xx xxi xxii xxiii xxiv xxv xxvi xxvii xxviii xxix xxx xxxi xxxii xxxiii xxxiv xxxv xxxvi xxxvii xxxviii xxxix xl xli xlii xliii xliv xlv xlvi xlvii xlviii 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 351 352 353 354 355 356 357 358 359 360 361 362 363 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 414 415 416 417 418 419 420 421 422 423 424 425 426 427 428 429 430 431 432 433 434 435 436 437 438 439 440 441 442 443 444 445 446 447 448 449 450 451 452 453 454 455 456 457 458 459 460 461 462 463 464 465 466 467 468 469 470 471 472 473 474 475 476 477 478 479 480 481 482 483 484 485 486 487 488 489 490 491 492 493 494 495 496 497 498 499 500 501 502 503 504 505 506 507 508 509 510 511 512 513 514 515 516 517 518 519 520 521 522 523 524 525 526 527 528 529 530 531 532 533 534 535 536 537 538 539 540

TABLE.


Pages.
Introduction 
 v
OBJECTIONS CONTRE LES MÉDITATIONS DE DESCARTES.
Lettre au père Mersenne 
 1
Notes sur les Objections 
 19
Avis 
 21
Avertissement 
 22
LOGIQUE.
Premier discours, où l’on fait voir le dessein de cette nouvelle logique 
 23
Second discours, contenant la réponse aux principales objections qu’on a faites contre cette logique 
 33
PREMIÈRE PARTIE.
Contenant les réflexions sur les idées ou sur la première action de l’esprit qui s’appelle concevoir.
Chap. I. 
Des idées selon leur nature et leur origine 
 46
— II. 
Des idées considérées selon leurs objets 
 53
— III. 
Des dix catégories d’Aristote 
 56
— IV. 
Des idées des choses et des idées des signes 
 59
— V. 
Des idées considérées selon leur composition ou simplicité, et où il est parlé de la manière de connaître par abstraction ou précision 
 61
— VI. 
Des idées considérées selon leur généralité, particularité et singularité 
 63
— VII. 
Des cinq sortes d’idées universelles, genres, espèces, différences, propres, accidents 
 65
— VIII. 
Des termes complexes et de leur universalité ou particularité 
 71

Chap. IX. 
De la clarté et distinction des idées et de leur obscurité et confusion 
 76
 X. 
Quelques exemples de ces idées confuses et obscures tirés de la morale 
 82
 XI. 
D’une autre cause qui met de la confusion dans nos pensées et dans nos discours, qui est que nous les attachons à des mots 
 88
 XII. 
Du remède à la confusion qui naît dans nos pensées et dans nos discours de la confusion des mots, où il est parlé de la nécessité et de l’utilité de définir les noms dont on se sert, et de la différence de la définition des choses d’avec la définition des noms 
 91
 XIII. 
Observations importantes touchant la définition des noms 
 95
 XIV. 
D’une autre sorte de définition de noms, par lesquels on marque ce qu’ils signifient dans l’usage 
 98
 XV. 
Des idées que l’esprit ajoute à celles qui sont précisément signifiées par les mots 
 104
DEUXIÈME PARTIE.
Contenant les réflexions que les hommes ont faites sur leurs jugements.
Chap. I. 
Des mots par rapport aux propositions 
 107
 II. 
Du Verbe 
 112
 III. 
Ce que c’est qu’une proposition, et des quatre sortes de propositions 
 117
 IV. 
De l’opposition entre les propositions qui ont même sujet et même attribut 
 120
 V. 
Des propositions simples et composées, qu’il y en a de simples qui paraissent composées et qui ne le sont pas, et qu’on peut appeler complexes. De celles qui sont complexes par le sujet ou par l’attribut 
 122
 VI. 
De la nature des propositions incidentes qui font partie des propositions complexes 
 125
 VII. 
De la fausseté qui peut se trouver dans les termes complexes et dans les propositions incidentes 
 128
 VIII. 
Des propositions complexes selon l’affirmation ou la négation, et d’une espèce de ces sortes de propositions que les philosophes appellent modales 
 131
 IX. 
Des diverses sortes de propositions composées 
 134
Chap. X. 
Des propositions composées dans le sens 
 140
— XI. 
Observations pour reconnaître dans quelques propositions exprimées d’une manière moins ordinaire, quel en est le sujet et quel en est l’attribut 
 147
— XII. 
Des sujets confus équivalents à deux sujets 
 148
— XIII. 
Autres observations pour reconnaître si les propositions sont universelles ou particulières 
 151
— XIV. 
Des propositions où l’on donne aux signes le nom des choses 
 158
— XV. 
De deux sortes de propositions qui sont de grand usage dans les sciences, la division et la définition, et premièrement de la division 
 162
— XVI. 
De la définition qu’on appelle définition de choses 
 165
— XVII. 
De la conversion des propositions, où l’on explique plus à fond la nature de l’affirmation et de la négation dont cette conversion dépend, et premièrement de la nature de l’affirmation 
 169
— XVIII. 
De la conversion des propositions affirmatives 
 171
— XIX. 
De la nature des propositions négatives 
 173
— XX. 
De la conversion des propositions négatives 
 174
TROISIÈME PARTIE.
Du raisonnement.
Chap. I. 
De la nature du raisonnement et des diverses espèces qu’il peut y en avoir 
 176
— II. 
Division des syllogismes en simples et en conjonctifs, et des simples en incomplexes et en complexes 
 179
— III. 
Règles générales des syllogismes simples et complexes 
 180
— IV. 
Des figures et des modes des syllogismes en général, qu’il ne peut y avoir que quatre figures 
 185
— V. 
Règles, modes et fondements de la première figure 
 188
— VI. 
Règles, modes et fondements de la seconde figure 
 190
— VII. 
Règles, modes et fondements de la troisième figure 
 193
— VIII. 
Des modes de la quatrième figure 
 195
— IX. 
Des syllogismes complexes, et comment on peut les réduire aux syllogismes communs et en juger par les mêmes règles 
 198
— X. 
Principe général par lequel, sans aucune réduction aux figures et aux modes, on peut juger de la bonté ou du défaut de tout syllogisme 
 204
Chap. XI. 
Application de ce principe général à plusieurs syllogismes qui paraissent embarrassés 
 206
— XII. 
Des syllogismes conjonctifs 
 210
— XIII. 
Des syllogismes dont la conclusion est conditionnelle 
 214
— XIV. 
Des enthymèmes et des sentences enthymématiques 
 218
— XV. 
Des syllogismes composés de plus de trois propositions 
 220
— XVI. 
Des dilemmes 
 222
— XVII. 
Des lieux ou de la méthode de trouver des arguments. Combien cette méthode est de peu d’usage 
 225
— XVIII. 
Division des lieux en lieux de grammaire, de logique et de métaphysique 
 229
— XIX. 
Des diverses manières de mal raisonner que l’on appelle sophismes 
 234
— XX. 
Des mauvais raisonnements que l’on commet dans la vie civile et dans les discours ordinaires 
 251
QUATRIÈME PARTIE.
De la méthode.
Chap. I. 
De la science. Qu’il y en a. Que les choses que l’on connaît par l’esprit sont plus certaines que ce que l’on connaît par les sens. Qu’il y a des choses que l’esprit humain est incapable de savoir. Utilité que l’on peut tirer de cette ignorance nécessaire 
 279
— II. 
De deux sortes de méthodes, analyse et synthèse. Exemple de l’analyse 
 287
— III. 
De la méthode de composition, et particulièrement de celle qu’observent les géomètres 
 294
— IV. 
Explication plus particulière de ces règles, et premièrement de celles qui regardent les définitions 
 296
— V. 
Que les géomètres semblent n’avoir pas toujours bien compris la différence qu’il y a entre la définition des mots et la définition des choses 
 300
— VI. 
Des règles qui regardent les axiomes, c’est-à-dire les propositions claires et évidentes par elles-mêmes 
 302
— VII. 
Quelques axiomes importants, et qui peuvent servir de principes à de grandes vérités 
 307
— VIII. 
Des règles qui regardent les démonstrations 
 310
— IX. 
De quelques défauts qui se rencontrent d’ordinaire dans la méthode des géomètres 
 311
Chap. X. 
Réponse à ce que disent les géomètres à ce sujet 
 317
— XI. 
La méthode des sciences réduite à huit règles principales 
 318
— XII. 
De ce que nous connaissons par la foi, soit humaine soit divine 
 320
— XIII. 
Quelques règles pour bien conduire sa raison dans la croyance des événements qui dépendent de la foi humaine 
 323
— XIV. 
Application de la règle précédente à la croyance des miracles 
 326
— XV. 
Autre remarque sur le sujet de la croyance des événements 
 332
— XVI. 
Du jugement que l’on doit faire des accidents futurs 
 335
Notes sur la logique 
 339
DES VRAIES ET DES FAUSSES IDÉES.
Préambule. Que l’on croit avoir démontré que ce qu’en dit l’auteur du livre de la Recherche de la Vérité n’est appuyé que sur de faux préjugés, et que rien n’est plus mal fondé que ce qu’il prétend : « Que nous voyons toutes choses en Dieu. » 
 347
Chap. I. 
Règles qu’on doit avoir en vue pour chercher la vérité dans cette matière des idées et en beaucoup d’autres semblables 
 348
— II. 
Des principales choses que chacun peut connaître de son âme en se consultant soi-même avec un peu d’attention 
 350
— III. 
Que l’auteur de la Recherche de la Vérité a parlé autrement des idées dans les deux premiers livres de son ouvrage que dans le troisième livre, où il en traite exprès 
 353
— IV. 
Que ce que l’auteur de la Recherche de la Vérité dit de la nature des idées dans son troisième livre n’est fondé que sur des imaginations qui nous sont restées des préjugés de l’enfance 
 357
— V. 
Que l’on peut prouver géométriquement la fausseté des idées prises pour des êtres représentatifs. Définitions, axiomes, demandes pour servir de principes à ces démonstrations 
 365
— VI. 
Explications de ces façons de parler : « Nous ne voyons immédiatement les choses ; ce sont leurs idées qui sont l’objet immédiat de notre pensée ; et c’est dans l’idée de chaque chose que nous en voyons les propriétés. » 
 370
Chap. VII. 
Démonstrations contre les idées prises pour des êtres représentatifs distingués des perceptions. Proposition à démontrer. — Démonstration I 
 378
— VIII. 
Démonstration II 
 380
— IX. 
Démonstration III 
 387
— X. 
Démonstration IV 
 389
— XI. 
Démonstration V 
 393
— XII. 
De la manière dont l’auteur de la Recherche de la Vérité veut que nous voyons les choses en Dieu. Qu’il a parlé peu exactement ou beaucoup varié touchant les choses qu’il prétend que l’on voit en Dieu 
 403
— XIII. 
Qu’il a varié aussi dans l’explication des manières dont nous voyons les choses en Dieu, que la première était par les idées, qu’il ne s’en est départi qu’en niant qu’il y ait dans le monde intelligible des idées qui représentent chaque chose en particulier, ce qui ne se peut nier sans erreur 
 409
— XIV. 
Seconde manière de voir les choses en Dieu, qui est de les voir dans une étendue intelligible infinie que Dieu renferme. Que ce que l’on dit sur cela, ou est tout-à-fait indigne de Dieu, ou se contredit manifestement 
 414
— XV. 
Que l’étendue intelligible infinie ne nous saurait être un moyen de voir les choses que nous ne connaissons pas, et que nous voudrions connaître 
 427
— XVI 
Que ce que cet auteur fait faire à notre esprit pour trouver ses idées dans son étendue intelligible infinie est contraire à l’expérience et aux lois générales que Dieu s’est prescrites à lui-même pour nous donner la connaissance de ses ouvrages 
 433
— XVII. 
Autre variation de cet auteur, qui dit tantôt qu’on voit Dieu, envoyant les créatures en Dieu, et tantôt qu’on ne le voit point, mais seulement les créatures 
 440
— XVIII. 
De trois préjugés qui pourraient empêcher qu’on ne se rende si facilement à ce qui a été dit contre la nouvelle philosophie des idées, dont le premier est l’estime que l’on fait de celui qui eu est l’auteur 
 445
— XIX. 
Du préjugé II, qui est que celle nouvelle philosophie des idées lait mieux voir qu’aucune autre combien les esprits sont dépendants de Dieu et combien ils lui doivent être unis 
 448
Chap. XX. 
Du préjugé III, qu’en n’admettant point cette philosophie des idées, on est réduit à dire que notre âme pense, parce que c’est sa nature, et que Dieu, en la créant, lui a donné la faculté de penser 
 457
— XXI. 
Que quand cet auteur dit qu’il y a des choses que nous voyons sans idée, ce qu’il entend par là n’est pas assez démêlé et cause tant de confusion qu’on n’en peut avoir aucune notion claire 
 461
— XXII. 
Que s’il était vrai que nous vissions les choses matérielles par des êtres représentatifs (ce qui est la même chose à cet auteur que de les voir en Dieu), il n’aurait eu nulle raison de prétendre que nous ne voyons pas notre âme en cette matière 
 466
— XXIII. 
Réponse aux raisons que cet auteur apporte pour montrer que nous n’avons point d’idée claire de notre âme, et que nous en avons de l’étendue 
 470
— XXIV. 
Conclusion des raisons de cet auteur contre la clarté de l’idée de l’âme. D’où vient qu’il ne l’a pu trouver dans lui-même 
 491
— XXV. 
Si nous connaissons sans idée les âmes des autres hommes 
 500
— XXVI. 
Si nous voyons Dieu en lui-même et sans idée 
 502
— XXVII. 
De l’origine des idées. Qu’il n’y a aucune raison de croire que notre âme soit purement passive, au regard de toutes ses perceptions, et qu’il est bien plus vraisemblable qu’elle a reçu de Dieu la faculté de s’en former plusieurs 
 509
— XXVIII. 
Diverses réflexions sur ce que dit l’auteur de la Recherche de la Vérité qu’on ne peut être entièrement assuré de l’existence des corps que par la foi 
 519
Conclusion 
 530
Notes sur le traité des vraies et des fausses idées 
 531


FIN DE LA TABLE.