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Chap. XI. 
Application de ce principe général à plusieurs syllogismes qui paraissent embarrassés 
 206
— XII. 
Des syllogismes conjonctifs 
 210
— XIII. 
Des syllogismes dont la conclusion est conditionnelle 
 214
— XIV. 
Des enthymèmes et des sentences enthymématiques 
 218
— XV. 
Des syllogismes composés de plus de trois propositions 
 220
— XVI. 
Des dilemmes 
 222
— XVII. 
Des lieux ou de la méthode de trouver des arguments. Combien cette méthode est de peu d’usage 
 225
— XVIII. 
Division des lieux en lieux de grammaire, de logique et de métaphysique 
 229
— XIX. 
Des diverses manières de mal raisonner que l’on appelle sophismes 
 234
— XX. 
Des mauvais raisonnements que l’on commet dans la vie civile et dans les discours ordinaires 
 251
QUATRIÈME PARTIE.
De la méthode.
Chap. I. 
De la science. Qu’il y en a. Que les choses que l’on connaît par l’esprit sont plus certaines que ce que l’on connaît par les sens. Qu’il y a des choses que l’esprit humain est incapable de savoir. Utilité que l’on peut tirer de cette ignorance nécessaire 
 279
— II. 
De deux sortes de méthodes, analyse et synthèse. Exemple de l’analyse 
 287
— III. 
De la méthode de composition, et particulièrement de celle qu’observent les géomètres 
 294
— IV. 
Explication plus particulière de ces règles, et premièrement de celles qui regardent les définitions 
 296
— V. 
Que les géomètres semblent n’avoir pas toujours bien compris la différence qu’il y a entre la définition des mots et la définition des choses 
 300
— VI. 
Des règles qui regardent les axiomes, c’est-à-dire les propositions claires et évidentes par elles-mêmes 
 302
— VII. 
Quelques axiomes importants, et qui peuvent servir de principes à de grandes vérités 
 307
— VIII. 
Des règles qui regardent les démonstrations 
 310
— IX. 
De quelques défauts qui se rencontrent d’ordinaire dans la méthode des géomètres 
 311