Page:Arnauld - Œuvres philosophiques, 1843.djvu/598

Cette page n’a pas encore été corrigée
Chap. XX. 
Du préjugé III, qu’en n’admettant point cette philosophie des idées, on est réduit à dire que notre âme pense, parce que c’est sa nature, et que Dieu, en la créant, lui a donné la faculté de penser 
 457
— XXI. 
Que quand cet auteur dit qu’il y a des choses que nous voyons sans idée, ce qu’il entend par là n’est pas assez démêlé et cause tant de confusion qu’on n’en peut avoir aucune notion claire 
 461
— XXII. 
Que s’il était vrai que nous vissions les choses matérielles par des êtres représentatifs (ce qui est la même chose à cet auteur que de les voir en Dieu), il n’aurait eu nulle raison de prétendre que nous ne voyons pas notre âme en cette matière 
 466
— XXIII. 
Réponse aux raisons que cet auteur apporte pour montrer que nous n’avons point d’idée claire de notre âme, et que nous en avons de l’étendue 
 470
— XXIV. 
Conclusion des raisons de cet auteur contre la clarté de l’idée de l’âme. D’où vient qu’il ne l’a pu trouver dans lui-même 
 491
— XXV. 
Si nous connaissons sans idée les âmes des autres hommes 
 500
— XXVI. 
Si nous voyons Dieu en lui-même et sans idée 
 502
— XXVII. 
De l’origine des idées. Qu’il n’y a aucune raison de croire que notre âme soit purement passive, au regard de toutes ses perceptions, et qu’il est bien plus vraisemblable qu’elle a reçu de Dieu la faculté de s’en former plusieurs 
 509
— XXVIII. 
Diverses réflexions sur ce que dit l’auteur de la Recherche de la Vérité qu’on ne peut être entièrement assuré de l’existence des corps que par la foi 
 519
Conclusion 
 530
Notes sur le traité des vraies et des fausses idées 
 531


FIN DE LA TABLE.