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Chap. VII.
Démonstrations contre les idées prises pour des êtres représentatifs distingués des perceptions. Proposition à démontrer. — Démonstration I
378
— VIII.
Démonstration II
380
— IX.
Démonstration III
387
— X.
Démonstration IV
389
— XI.
Démonstration V
393
— XII.
De la manière dont l’auteur de la Recherche de la Vérité veut que nous voyons les choses en Dieu. Qu’il a parlé peu exactement ou beaucoup varié touchant les choses qu’il prétend que l’on voit en Dieu
403
— XIII.
Qu’il a varié aussi dans l’explication des manières dont nous voyons les choses en Dieu, que la première était par les idées, qu’il ne s’en est départi qu’en niant qu’il y ait dans le monde intelligible des idées qui représentent chaque chose en particulier, ce qui ne se peut nier sans erreur
409
— XIV.
Seconde manière de voir les choses en Dieu, qui est de les voir dans une étendue intelligible infinie que Dieu renferme. Que ce que l’on dit sur cela, ou est tout-à-fait indigne de Dieu, ou se contredit manifestement
414
— XV.
Que l’étendue intelligible infinie ne nous saurait être un moyen de voir les choses que nous ne connaissons pas, et que nous voudrions connaître
427
— XVI
Que ce que cet auteur fait faire à notre esprit pour trouver ses idées dans son étendue intelligible infinie est contraire à l’expérience et aux lois générales que Dieu s’est prescrites à lui-même pour nous donner la connaissance de ses ouvrages
433
— XVII.
Autre variation de cet auteur, qui dit tantôt qu’on voit Dieu, envoyant les créatures en Dieu, et tantôt qu’on ne le voit point, mais seulement les créatures
440
— XVIII.
De trois préjugés qui pourraient empêcher qu’on ne se rende si facilement à ce qui a été dit contre la nouvelle philosophie des idées, dont le premier est l’estime que l’on fait de celui qui eu est l’auteur
445
— XIX.
Du préjugé II, qui est que celle nouvelle philosophie des idées lait mieux voir qu’aucune autre combien les esprits sont dépendants de Dieu et combien ils lui doivent être unis
448