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TABLE.

Chap. IX. 
De la clarté et distinction des idées et de leur obscurité et confusion 
 76
 X. 
Quelques exemples de ces idées confuses et obscures tirés de la morale 
 82
 XI. 
D’une autre cause qui met de la confusion dans nos pensées et dans nos discours, qui est que nous les attachons à des mots 
 88
 XII. 
Du remède à la confusion qui naît dans nos pensées et dans nos discours de la confusion des mots, où il est parlé de la nécessité et de l’utilité de définir les noms dont on se sert, et de la différence de la définition des choses d’avec la définition des noms 
 91
 XIII. 
Observations importantes touchant la définition des noms 
 95
 XIV. 
D’une autre sorte de définition de noms, par lesquels on marque ce qu’ils signifient dans l’usage 
 98
 XV. 
Des idées que l’esprit ajoute à celles qui sont précisément signifiées par les mots 
 104
DEUXIÈME PARTIE.
Contenant les réflexions que les hommes ont faites sur leurs jugements.
Chap. I. 
Des mots par rapport aux propositions 
 107
 II. 
Du Verbe 
 112
 III. 
Ce que c’est qu’une proposition, et des quatre sortes de propositions 
 117
 IV. 
De l’opposition entre les propositions qui ont même sujet et même attribut 
 120
 V. 
Des propositions simples et composées, qu’il y en a de simples qui paraissent composées et qui ne le sont pas, et qu’on peut appeler complexes. De celles qui sont complexes par le sujet ou par l’attribut 
 122
 VI. 
De la nature des propositions incidentes qui font partie des propositions complexes 
 125
 VII. 
De la fausseté qui peut se trouver dans les termes complexes et dans les propositions incidentes 
 128
 VIII. 
Des propositions complexes selon l’affirmation ou la négation, et d’une espèce de ces sortes de propositions que les philosophes appellent modales 
 131
 IX. 
Des diverses sortes de propositions composées 
 134