Laide
Calmann Lévy, .
Malgré ses encouragements, je n’avais point osé dédier un seul de mes livres à mon maître George Sand.
J’ose dédier celui-ci à sa mémoire, comme témoignage de l’éternelle reconnaissance que j’ai vouée à la plus grande et à la plus tendre de mes amitiés féminines.
Juliette Lamber.
- Bruyères, décembre 1877.