La Logique de Port-Royal
La Logique de Port-Royal (1683)
Texte établi par Alfred Fouillée, Belin, .
TABLE DES MATIÈRES
Premier Discours où l’on fait voir le dessein de cette nouvelle Logique
5
Second Discours contenant la réponse aux principales objections qu’on a faites contre cette Logique
17
contenant les réflexions sur les idées, ou sur la première action de l’esprit, qui s’appelle concevoir.
Chapitre premier. — Des idées selon leur nature et leur origine
30
Chapitre II. — Des idées, considérées selon leurs objets
40
Chapitre III. — Des dix catégories d’Aristote
43
Chapitre IV. — Des idées des choses et des idées des signes
47
Chapitre V. — Des idées, considérées selon leur composition ou simplicité, et où il est parlé de la manière de connaître par abstraction ou précision
49
Chapitre VI. — Des idées, considérées selon leur généralité, particularité et singularité
52
Chapitre VII. — Des cinq sortes d’idées universelles, genres, espèces, différences, propres, accidents
55
Chapitre VIII. — Des termes complexes et de leur universalité ou particularité
60
Chapitre IX. — De la clarté et distinction des idées, et de leur obscurité et confusion
64
Chapitre X. — Quelques exemples de ces idées confuses et obscures, tirés de la morale
74
Chapitre XI. — D’une autre cause qui met de la confusion dans nos pensées et dans nos discours, qui est que nous les attachons à des mots
82
Chapitre XII. — Du remède à la confusion qui naît dans nos pensées et dans nos discours de la confusion des mots ; où il est parlé de la nécessité et de l’utilité de définir les noms dont on se sert, et de la différence de la définition des choses d’avec la définition des noms
86
Chapitre XIII. — Observations importantes touchant la définition des mots
92
Chapitre XIV. — D’une autre sorte de définition de noms, par lesquels on marque ce qu’ils signifient dans l’usage
96
Chapitre XV. — Des idées que l’esprit ajoute à celles qui sont précisément signifiées par les mots
103
contenant les réflexions que les hommes ont faites sur leurs jugements.
Chapitre premier. — Des mots par rapport aux propositions
107
Chapitre II. — Du verbe
112
Chapitre III. — Ce que c’est qu’une proposition, et des quatre sortes de propositions
116
Chapitre IV. — De l’opposition entre les propositions qui ont même sujet et même attribut
121
Chapitre V. — Des propositions simples et composées. Qu’il y en a de simples qui paraissent composées et qui ne le sont pas, et qu’on peut appeler complexes. De celles qui sont complexes par le sujet ou par l’attribut
123
Chapitre VI. — De la nature des propositions incidentes qui font partie des propositions complexes
126
Chapitre VII. — De la fausseté qui peut se trouver dans les termes complexes et dans les propositions incidentes
129
Chapitre VIII. — Des propositions complexes selon l’affirmation ou la négation, et d’une espèce de ces sortes de propositions que les philosophes appellent modales
132
Chapitre IX. — Ds différentes sortes de propositions composées
134
Chapitre X. — Des propositions composées dans le sens
139
Chapitre XI. — Observations pour reconnaître dans quelques propositions exprimées d’une manière moins ordinaire, quel en est le sujet et quel en est l’attribut
143
Chapitre XII. — Des sujets confus équivalents à deux sujets
147
Chapitre XIII. — Autres observations pour reconnaître si les propositions sont universelles ou particulières
149
Chapitre XIV. — Des propositions où l’on donne aux signes le nom des choses
155
Chapitre XV. — De deux sortes de propositions qui sont de grand usage dans les sciences, la division et la définition, et premièrement de la division
159
Chapitre XVI. — De la définition qu’on appelle définition de choses
163
Chapitre XVII. — De la conversion des propositions, où l’on explique plus à fond la nature de l’affirmation et de la négation dont cette conversion dépend, et premièrement de la nature de l’affirmation
167
Chapitre XVIII. — De la conversion des propositions affirmatives
169
Chapitre XIX. — De la nature des propositions négatives
171
Chapitre XX. — De la conversion des propositions négatives
172
du raisonnement.
Chapitre premier. — De la nature du raisonnement et des diverses espèces qu’il peut y en avoir
175
Chapitre II. — Division des syllogismes en simples et en conjonctifs, et des simples en incomplexes et en complexes
178
Chapitre III. — Règles générales des syllogismes simples incomplexes
179
Chapitre IV. — Des figures et des modes des syllogismes en général, qu’il ne peut y avoir que quatre figures
185
Chapitre V. — Règles, modes et fondements de la première figure
188
Chapitre VI. — Règles, modes et fondements de la deuxième figure
191
Chapitre VII. — Règles, modes et fondements de la troisième figure
193
Chapitre VIII. — Des modes de la quatrième figure
196
Chapitre IX. — Des syllogismes complexes, et comment on peut les réduire aux syllogismes communs et en juger par les mêmes règles
198
Chapitre X. — Principe général par lequel, sans aucune réduction aux figures et aux modes, on peut juger de la bonté ou du défaut de tout syllogisme
203
Chapitre XI. — Application de ce principe général à plusieurs syllogismes qui paraissent embarrassés
207
Chapitre XII. — Des syllogismes conjonctifs
211
Chapitre XIII. — Des syllogismes dont la conclusion est conditionnelle
215
Chapitre XIV. — Des enthymèmes et des sentences enthymématiques
218
Chapitre XV. — Des syllogismes composés de plus de trois propositions
220
Chapitre XVI. — Des dilemmes
223
Chapitre XVII. — Des lieux ou de la méthode de trouer des arguments. Combien cette méthode est de peu d’usage
226
Chapitre XVIII. — Division des lieux en lieux de grammaire, de logique et de métaphysique
231
Chapitre XIX. — Des diverses manières de mal raisonner, que l’on appelle sophismes
237
Chapitre XX. — Des mauvais raisonnements que l’on commet dans la vie civile et dans les discours ordinaires
260
de la méthode.
Chapitre premier. — De la science ; qu’il y en a. Que les choses que l’on connaît par l’esprit sont plus certaines que ce que l’on connaît par les sens. Qu’il y a des choses que l’esprit humain est incapable de savoir. Utilité qu’on peut tirer de cette ignorance nécessaire
296
Chapitre II. — De deux sortes de méthode, analyse et synthèse. Exemple de l’analyse
308
Chapitre III. — De la méthode de composition, et particulièrement de celle qu’observent les géomètres
318
Chapitre IV. — Explication plus particulière de ces règles, et premièrement de celles qui regardent les définitions
320
Chapitre V. — Que les géomètres semblent n’avoir pas toujours bien compris la différence qu’il y a entre la définition des mots et la définition des choses
326
Chapitre VI. — Des règles qui regardent les axiomes, c’est-à-dire les propositions claires et évidentes par elles-mêmes
328
Chapitre VII. — Quelques axiomes importants et qui peuvent servir de principes à de grandes vérités
335
Chapitre VIII. — Des règles qui regardent les démonstrations
337
Chapitre IX. — De quelques défauts qui se rencontrent d’ordinaire dans la méthode des géomètres
339
Chapitre X. — Réponse à ce que disent les géomètres à ce sujet
344
Chapitre XI. — La méthode des sciences réduite à huit règles principales
345
Chapitre XII. — De ce que nous connaissons par la foi, soit humaine, soit divine
347
Chapitre XIII. — Quelques règles pour bien conduire sa raison dans la croyance des événements qui dépendent de la foi humaine
351
Chapitre XIV. — Application de la règle précédente à la croyance des miracles
356
Chapitre XV. — Autre remarque sur le sujet de la croyance des événements
361
Chapitre XVI. — Du jugement que l’on doit faire des accidents futurs
365
relatifs à la logique.
Extraits d’Aristote
373
— de Bacon
379
— de Descartes
389
— de Bossuet
402
— de Malebranche
408
— de Spinoza
423
— de Leibnitz
426
— de Condillac
437
— de Diderot
439
— de Turgot
441
— de Kant
443
— de Hamilton
445
— de Stuart Mill
450
FIN DE LA TABLE.