La Logique de Port-Royal

TABLE DES MATIÈRES


Premier Discours où l’on fait voir le dessein de cette nouvelle Logique 
 5
Second Discours contenant la réponse aux principales objections qu’on a faites contre cette Logique 
 17
contenant les réflexions sur les idées, ou sur la première action de l’esprit, qui s’appelle concevoir.
Chapitre premier.Des idées selon leur nature et leur origine 
 30
Chapitre II.Des idées, considérées selon leurs objets 
 40
Chapitre III.Des dix catégories d’Aristote 
 43
Chapitre IV.Des idées des choses et des idées des signes 
 47
Chapitre V.Des idées, considérées selon leur composition ou simplicité, et où il est parlé de la manière de connaître par abstraction ou précision 
 49
Chapitre VI.Des idées, considérées selon leur généralité, particularité et singularité 
 52
Chapitre VII.Des cinq sortes d’idées universelles, genres, espèces, différences, propres, accidents 
 55
Chapitre VIII.Des termes complexes et de leur universalité ou particularité 
 60
Chapitre IX.De la clarté et distinction des idées, et de leur obscurité et confusion 
 64
Chapitre X.Quelques exemples de ces idées confuses et obscures, tirés de la morale 
 74
Chapitre XI.D’une autre cause qui met de la confusion dans nos pensées et dans nos discours, qui est que nous les attachons à des mots 
 82
Chapitre XII.Du remède à la confusion qui naît dans nos pensées et dans nos discours de la confusion des mots ; où il est parlé de la nécessité et de l’utilité de définir les noms dont on se sert, et de la différence de la définition des choses d’avec la définition des noms 
 86
Chapitre XIII.Observations importantes touchant la définition des mots 
 92
Chapitre XIV.D’une autre sorte de définition de noms, par lesquels on marque ce qu’ils signifient dans l’usage 
 96
Chapitre XV.Des idées que l’esprit ajoute à celles qui sont précisément signifiées par les mots 
 103
contenant les réflexions que les hommes ont faites sur leurs jugements.
Chapitre premier.Des mots par rapport aux propositions 
 107
Chapitre II.Du verbe 
 112
Chapitre III.Ce que c’est qu’une proposition, et des quatre sortes de propositions 
 116
Chapitre IV.De l’opposition entre les propositions qui ont même sujet et même attribut 
 121
Chapitre V.Des propositions simples et composées. Qu’il y en a de simples qui paraissent composées et qui ne le sont pas, et qu’on peut appeler complexes. De celles qui sont complexes par le sujet ou par l’attribut 
 123
Chapitre VI.De la nature des propositions incidentes qui font partie des propositions complexes 
 126
Chapitre VII.De la fausseté qui peut se trouver dans les termes complexes et dans les propositions incidentes 
 129
Chapitre VIII.Des propositions complexes selon l’affirmation ou la négation, et d’une espèce de ces sortes de propositions que les philosophes appellent modales 
 132
Chapitre IX.Ds différentes sortes de propositions composées 
 134
Chapitre X.Des propositions composées dans le sens 
 139
Chapitre XI.Observations pour reconnaître dans quelques propositions exprimées d’une manière moins ordinaire, quel en est le sujet et quel en est l’attribut 
 143
Chapitre XII.Des sujets confus équivalents à deux sujets 
 147
Chapitre XIII.Autres observations pour reconnaître si les propositions sont universelles ou particulières 
 149
Chapitre XIV.Des propositions où l’on donne aux signes le nom des choses 
 155
Chapitre XV.De deux sortes de propositions qui sont de grand usage dans les sciences, la division et la définition, et premièrement de la division 
 159
Chapitre XVI.De la définition qu’on appelle définition de choses 
 163
Chapitre XVII.De la conversion des propositions, où l’on explique plus à fond la nature de l’affirmation et de la négation dont cette conversion dépend, et premièrement de la nature de l’affirmation 
 167
Chapitre XVIII.De la conversion des propositions affirmatives 
 169
Chapitre XIX.De la nature des propositions négatives 
 171
Chapitre XX.De la conversion des propositions négatives 
 172
du raisonnement.
Chapitre premier.De la nature du raisonnement et des diverses espèces qu’il peut y en avoir 
 175
Chapitre II.Division des syllogismes en simples et en conjonctifs, et des simples en incomplexes et en complexes 
 178
Chapitre III.Règles générales des syllogismes simples incomplexes 
 179
Chapitre IV.Des figures et des modes des syllogismes en général, qu’il ne peut y avoir que quatre figures 
 185
Chapitre V.Règles, modes et fondements de la première figure 
 188
Chapitre VI.Règles, modes et fondements de la deuxième figure 
 191
Chapitre VII.Règles, modes et fondements de la troisième figure 
 193
Chapitre VIII.Des modes de la quatrième figure 
 196
Chapitre IX.Des syllogismes complexes, et comment on peut les réduire aux syllogismes communs et en juger par les mêmes règles 
 198
Chapitre X.Principe général par lequel, sans aucune réduction aux figures et aux modes, on peut juger de la bonté ou du défaut de tout syllogisme 
 203
Chapitre XI.Application de ce principe général à plusieurs syllogismes qui paraissent embarrassés 
 207
Chapitre XII.Des syllogismes conjonctifs 
 211
Chapitre XIII.Des syllogismes dont la conclusion est conditionnelle 
 215
Chapitre XIV.Des enthymèmes et des sentences enthymématiques 
 218
Chapitre XV.Des syllogismes composés de plus de trois propositions 
 220
Chapitre XVI.Des dilemmes 
 223
Chapitre XVII.Des lieux ou de la méthode de trouer des arguments. Combien cette méthode est de peu d’usage 
 226
Chapitre XVIII.Division des lieux en lieux de grammaire, de logique et de métaphysique 
 231
Chapitre XIX.Des diverses manières de mal raisonner, que l’on appelle sophismes 
 237
Chapitre XX.Des mauvais raisonnements que l’on commet dans la vie civile et dans les discours ordinaires 
 260
de la méthode.
Chapitre premier.De la science ; qu’il y en a. Que les choses que l’on connaît par l’esprit sont plus certaines que ce que l’on connaît par les sens. Qu’il y a des choses que l’esprit humain est incapable de savoir. Utilité qu’on peut tirer de cette ignorance nécessaire 
 296
Chapitre II.De deux sortes de méthode, analyse et synthèse. Exemple de l’analyse 
 308
Chapitre III.De la méthode de composition, et particulièrement de celle qu’observent les géomètres 
 318
Chapitre IV.Explication plus particulière de ces règles, et premièrement de celles qui regardent les définitions 
 320
Chapitre V.Que les géomètres semblent n’avoir pas toujours bien compris la différence qu’il y a entre la définition des mots et la définition des choses 
 326
Chapitre VI.Des règles qui regardent les axiomes, c’est-à-dire les propositions claires et évidentes par elles-mêmes 
 328
Chapitre VII.Quelques axiomes importants et qui peuvent servir de principes à de grandes vérités 
 335
Chapitre VIII.Des règles qui regardent les démonstrations 
 337
Chapitre IX.De quelques défauts qui se rencontrent d’ordinaire dans la méthode des géomètres 
 339
Chapitre X.Réponse à ce que disent les géomètres à ce sujet 
 344
Chapitre XI.La méthode des sciences réduite à huit règles principales 
 345
Chapitre XII.De ce que nous connaissons par la foi, soit humaine, soit divine 
 347
Chapitre XIII.Quelques règles pour bien conduire sa raison dans la croyance des événements qui dépendent de la foi humaine 
 351
Chapitre XIV.Application de la règle précédente à la croyance des miracles 
 356
Chapitre XV.Autre remarque sur le sujet de la croyance des événements 
 361
Chapitre XVI.Du jugement que l’on doit faire des accidents futurs 
 365
relatifs à la logique.
Extraits d’Aristote 
 373
Exits de Bacon 
 379
Exits de Descartes 
 389
Exits de Bossuet 
 402
Exits de Malebranche 
 408
Exits de Spinoza 
 423
Exits de Leibnitz 
 426
Exits de Condillac 
 437
Exits de Diderot 
 439
Exits de Turgot 
 441
Exits de Kant 
 443
Exits de Hamilton 
 445
Exits de Stuart Mill 
 450


FIN DE LA TABLE.