« Discours du général Gouraud à Alep le 28 juin 1922 » : différence entre les versions

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{{Discours|Discours|[[Auteur:Henri Joseph Eugène Gouraud|Général Gouraud]]|Discours du [[Auteur:Henri Joseph Eugène Gouraud|général Gouraud]] à Alep le 28 juin 1922.}}
 
{{g|Messieurs les Délégués des États,|7}}
 
Vous êtes arrivés hier des diverses parties de la Syrie et la cité d’Alep s’honore, cette année, de vous accueillir. Ce n’est pas sans émotion que le Représentant de la France voit assemblés ici les hommes éminents que chacun des États délègue en ce jour et je vous prie de rapporter à votre retour à vos belles et vaillantes populations, nos souhaits les plus chaleureux et de leur exprimer mon vif désir que j’ai de défendre leurs intérêts et de travailler à réaliser leur bonheur.
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Je sais que la Fédération n’a pas été partout accueillie dans les mêmes sentiments. Il est possible, d’autre part, que l’arrêté qui l’a créée ait été inexactement traduit et rapporté.
 
Il me paraît donc essentiel tout d’abord de vous faire donner lecture de l’arrêté qui va donner un premier règlement à vos pouvoirs fédéraux.
[Lecture de l’Arrêté]
 
{{Centré|[''Lecture de l’Arrêté'']}}
 
Et maintenant, permettez-moi de vous résumer en peu de mots l’esprit de la Fédération et sa portée.
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Confiant que vous avez conscience de votre haute mission qui sera l’objet des regards de vos voisins comme de vos compatriotes, je vous adresse mes vœux sincères et affectueux dans l’œuvre que vous allez accomplir pour le bien de tous, guidés par le Président qui aura l’honneur d’être élu par vous demain.
 
{{d|Général Gouraud|7}}
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