« Page:Leblanc - 813, 1910.djvu/160 » : différence entre les versions
| État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
| - | + | Page validée | |
| Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
| Ligne 9 : | Ligne 9 : | ||
— Oui, trois mois… J’étais remonté jusqu’aux Mines. Ensuite, je suis revenu à Capetown, d’où j’ai écrit à Rudolf. Mais en route j’ai accepté du travail à Port-Saïd. Rudolf a reçu ma lettre, je suppose ? |
— Oui, trois mois… J’étais remonté jusqu’aux Mines. Ensuite, je suis revenu à Capetown, d’où j’ai écrit à Rudolf. Mais en route j’ai accepté du travail à Port-Saïd. Rudolf a reçu ma lettre, je suppose ? |
||
— Il est absent. Je vous expliquerai les raisons de cette absence. Mais |
— Il est absent. Je vous expliquerai les raisons de cette absence. Mais, auparavant, il est un point sur lequel nous voudrions quelques renseignements. Il s’agit d’un personnage que vous avez connu, et que vous désigniez dans vos entretiens avec M. Kesselbach sous le nom de Pierre Leduc. |
||
— Pierre Leduc ! Quoi ! Qui vous a dit ? Le vieillard fut bouleversé. |
— Pierre Leduc ! Quoi ! Qui vous a dit ? Le vieillard fut bouleversé. |
||
| Ligne 27 : | Ligne 27 : | ||
— Vous connaissez Pierre Leduc ? |
— Vous connaissez Pierre Leduc ? |
||
— Je ne l’ai jamais vu, mais depuis longtemps je suis possesseur d’un secret qui le con |
— Je ne l’ai jamais vu, mais depuis longtemps je suis possesseur d’un secret qui le {{tiret|con|cerne}} |
||