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{{AN|La liberté dans la cité. — la caserne. — Le Conseil des délégués ouvriers et soldats. — À l’ombre des drapeaux rouges : de la gloire et du deuil. — La fête révolutionnaire. — Chez le ministre des Affaires étrangères. — Les oscillations du pendule. — Devant le palais de la Danseuse.|fs=90%}} |
{{AN|La liberté dans la cité. — À la caserne. — Le Conseil des délégués ouvriers et soldats. — À l’ombre des drapeaux rouges : de la gloire et du deuil. — La fête révolutionnaire. — Chez le ministre des Affaires étrangères. — Les oscillations du pendule. — Devant le palais de la Danseuse.|fs=90%}} |
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5/18 ''mars''. — La crise a pris fin, — du moins dans sa phase aiguë. Plus de cris ; plus de coups de feu. On s’éveille… D’un cauchemar ou d’un rêve ?… On ne sait plus. On a vécu d’une vie si intense, tantôt épouvantée, tantôt enthousiaste !… On en est encore comme étourdi… On se tâte, on se compte : oui, oui, nous sommes tous là quoique un peu pâlis, les nerfs brisés, et hésitants. Vite un coup d’œil à la fenêtre, un tour dans la rue pour dissiper les dernières brumes du cerveau et prendre contact avec la vie nouvelle… |
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5/18 ''mars''. — La crise a pris fin, — du |
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moins dans sa phase aiguë. Plus de cris ; |
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plus de coups de feu. On s’éveille… D’un |
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cauchemar ou d’un rêve ?… On ne sait plus. |
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On a vécu d’une vie si intense, tantôt épouvantée, |
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encore comme étourdi… On se tâte, on se |
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Nous voici dehors. Le drapeau si terni, si |
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