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II. — Différences des deux courants d’idées correspondant aux deux conceptions de la grève générale ; lutte de classe ; État ; élite pensante | 218 |
III. — Jalousie entretenue par les politiciens. — La guerre comme source d’héroïsme et comme pillage. — Dictature du prolétariat et ses antécédents historiques | 226 |
IV. — La force et la violence. — Idées de Marx sur la force. — Nécessité d’une théorie nouvelle pour la violence prolétarienne | 240 |
Chapitre VI. — La moralité de la violence | |
I. — Observations de P. Bureau et de P. de Rousiers. — L’ère des martyrs. — Possibilité de maintenir la scission avec peu de violences grâce à un mythe catastrophique | 253 |
II. — Anciennes habitudes de brutalité dans les écoles et les ateliers. — Les classes dangereuses -Indulgence pour les crimes de ruse. — Les délateurs | 266 |
III. — La loi de 1884 faite pour intimider les conservateurs. — Rôle de Millerand dans le ministère Waldeck-Rousseau. — Raison des idées actuelles sur l’arbitrage | 281 |
IV. — Recherche du sublime dans la morale. — Proudhon. — Pas de genèse morale dans le trade unionisme. — Le sublime en Allemagne et la notion catastrophique | 295 |
Chapitre VII. — La morale des producteurs | |
I. — Morale et religion. — Mépris des démocraties pour la morale. — Préoccupations morales de la nouvelle école | 311 |
II. — Inquiétudes de Renan sur l’avenir du monde. — Ses prévisions. — Besoin du sublime | 325 |
III. — La morale de Nietzsche. — Rôle de la |