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TROISIÈME PARTIE

DE L’ENFANCE À LA JEUNESSE
1810-1819

Voyage à Paris. — La grande berline. — La Sologne. — La forêt d’Orléans et les pendus. — L’appartement de ma grand’mère à Paris. — Mes promenades avec ma mère. — La coiffure à la chinoise. — Ma sœur. — Premier chagrin violent. — La poupée noire. — Maladie et vision dans le délire 
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Rose et Julie, — Diplomatie maternelle de ma grand’mère. — Je retrouve mon chez nous. — L’intérieur de mon grand-oncle. — Voir c’est avoir. — Les dîners fins de mon grand-oncle ; ses tabatières. — Madame de la Marlière. — Madame de Pardaillan. — Madame de Béranger et sa perruque. — Madame de Ferrières et ses beaux bras. — Madame de Maleteste et son chien. — Les abbés. — Premiers symptômes d’un penchant à l’observation. — Les cinq générations de la rue de Grammont. — Le bal d’enfants. — La fausse grâce. — Les talons rouges littéraires de nos jours 
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Idée d’une loi morale réglementaire des affections. — Retour à Nohant. — La Brande. — Bivouac dans une patache. — La maison de refuge. — Année de bonheur. — Apogée de la puissance impériale. — Commencements de trahison. — Propos et calomnies des salons. — Première communion de mon frère. — Notre vieux curé ; sa gouvernante ; ses sermons. — Son voleur ; sa jument ; sa mort. — Les méfaits de l’enfance. — Le faux Deschartres. — La dévotion de ma mère. — J’apprends le français et le latin 
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