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TABLE DES CHAPITRES.

Chap. cxcii. — Comment, après la grand’fête qui fut à Londres, le roi d’Angleterre envoya, à grand’compagnie de gens d’armes, en Bretagne, messire Robert d’Artois avec la comtesse de Montfort.
164
Chap. cxciii. — Comment le roi d’Angleterre envoya l’évêque de Lincolle pour avoir trêves aux Escots ; mais le roi d’Escosse n’en voulut rien faire sans le congé du roi de France.
165
Chap. cxciv. — Comment il eut trêves entre les Anglois et les Escots jusques à deux ans, par le consentement du roi de France.
166
Chap. cxcv. — Comment messire Louis d’Espaigne et messire Robert d’Artois et la comtesse de Montfort et les autres seigneurs d’Angleterre se combattirent sur mer.
Id.
Chap. cxcvi. — Comment par grand’tempête et orage, convint les uns les autres prendre terre ; et comment messire Louis d’Espaigne y gagna quatre vaisseaux chargés de pourvéances.
167
Chap. cxcvii. — Comment messire Robert d’Artois envoya son navire à Hainebon, et comment il assiégea la cité de Vennes.
168
Chap. cxcviii. — Comment messire Louis d’Espagne perdit deux de ses vaisseaux et en prit quatre de Bayonne ; et comment il arriva en Guerrande.
Id.
Chap. cxcix. — Comment messire Robert d’Artois et la comtesse de Montfort prirent la cité de Vennes ; et comment le sire de Cliçon, le sire de Tournemine, le sire de Loheac et messire Hervé de Léon se sauvèrent.
Ib.
Chap. cc. — Comment le comte de Salebrin, le comte de Pennebruich, le comte de Suffolch et le comte de Cornouaille assiégèrent la cité de Rennes.
170
Chap. cci. — Comment le sire de Cliçon et messire Hervé de Léon assiégèrent la cité de Vennes.
Ib.
Chap. ccii. — Comment le sire de Cliçon et messire Hervé de Léon prirent Vennes ; et y furent messire Robert d’Artois et le sire Despensier navrés à mort ; et comment le roi d’Angleterre vint en Bretagne.
Ib.
Chap. cciii. — Comment le roi d’Angleterre mit le siége devant Vennes ; et comment la comtesse de Montfort le vint voir et fêtover.
171
Chap. cciv. — Comment le roi anglois laissa une partie de ses gens devant Vennes et s’en alla devant Rennes ; et puis vint mettre le siége devant Nantes où messire Charles de Blois étoit.
173
Chap. ccv. — Comment le roi anglois laissa le comte de Kenford et plusieurs autres seigneurs devant Nantes et alla assiéger Dynant.
173
Chap. ccvi. — Comment le sire de Cliçon et le sire de Léon furent pris des Anglois à une escarmouche devant Vennes, et le sire de Stanfort y fut pris de ceux de Vennes.
174
Chap. ccvii. — Comment le roi d’Angleterre prit la ville de Dynant, et fut toute courue et robée ; et si y gagna grand avoir.
Ib.
Chap. ccviii. — Comment messire Louis d’Espaigne et ses compagnons gagnèrent quatre nefs d’Angleterre, chargées de pourvéances, et en effondrèrent trois.
175
Chap. ccix. — Comment le duc de Normandie se partit d’Angiers et s’en vint à Nantes ; et comment ceux qui tenoient le siège devant Nantes s’en allèrent à Vennes au roi d’Angleterre.
Ib.
Chap. ccx. — Comment le duc de Normandie se partit de Nantes et s’en alla à Vennes ; et comment le roi anglois manda à ceux qui étoient au siége devant Rennes qu’ils vinssent à Vennes.
176
Chap. ccxi. — Comment le pape Clément VI envoya deux cardinaux en légation en Bretagne ; et comment les dits cardinaux firent trêves à trois ans entre le roi d’Angleterre et le duc de Normandie.
177
Chap. ccxii. — Comment le sire de Cliçon, le sire de Malestroit et son fils et plusieurs autres chevaliers et escuyers furent accusés de trahison et mis à mort de par le roi de France.
Ib.
Chap. ccxiii. — Comment le roi d’Anglelerre fonda une chapelle de Saint-George et y ordonna la fête du Bleu Gertier à être célébrée d’an en an.
179
Chap. ccxiv. — Comment le roi d’Angleterre fut moult courroucé de la mort du sire de Cliçon et des autres barons de Bretagne et de Normandie, pour laquelle cause il envoya défier le roi de France.
180
Chap. ccxv. — Comment le roi d’Angleterre ordonna le comte Derby capitaine et souverain pour aller en Gascogne, et messire Thomas d’Angorne pour aller en Bretagne conforter la comtesse de Montfort.
181
Chap. ccxvi. — Comment le comte Derby arriva en Gascogne ; et comment le comte de Lille, quand il sçut sa venue, manda tous les seigneurs de Gascogne qui tenoient la partie du roi de France.
183
Chap. ccxvii. — Comment le comte Derby se partit de Bordeaux pour aller vers Bergerac, où le comte de Lille et ses gens se tenoient.
184
Chap. ccxviii. — Comment les Anglois se combattirent aux François, devant Bergerac, et comment les Anglois gagnèrent les faubourgs, où il eut plusieurs François morts et pris.
184
Chap. ccxix. — Comment les Anglois assaillirent Bergerac par terre, où ils gagnèrent peu ; et puis eurent conseil qu’ils l’assaudroient par eau.
185
Chap. ccxx. — Comment le comte Derby assaillit Bergerac par eau et rompit un grand pan du palis ; et comment le comte de Lille et ses gens s’enfuirent à mie nuit.
186
Chap. ccxxi. — Comment ceux de Bergerac se rendirent au comte Derby, et lui firent féauté et hommage au nom du roi d’Angleterre.
Ib.
Chap. ccxxii. — Comment le comte de Lille départit ses gens et les envoya en garnison par les forteresses de Gascogne.
187
Chap. ccxxiii. — Comment le comté Derby se partit de Bergerac, et comment il prit le châtel de Langon, et s’enfuirent ceux qui dedans étoient.
Ib.
Chap. ccxxiv. — Comment ceux du Lac se rendirent au comte Derby, et plusieurs autres forteresses qui cy s’ensuivent, les unes par force, les autres par traités.
188
Chap. ccxxv. — Comment le comte Derby prit Bonneval ; et comment ceux de Pierregord vinrent escarmoucher l’ost des Anglois et prirent le comte de Kenfort et trois ou quatre de ses chevaliers.
189
Chap. ccxxvi. — Comment le comte de Kenfort et ses compagnons furent rendus en échange du vicomte de Bosquentin, du vicomte de Châteaubon, du sire de l’Escun et du sire de Châteauneuf.
Ib.
Chap. ccxxvii. — Comment le comte de Lille et les barons de Gascogne assiégèrent Auberoche et avoient en propos qu’ils occiroient ceux de dedans, ou qu’ils se rendroient simplement.
190
Chap. ccxxviii. — Comment ceux d’Auberoche envoyèrent un de leurs varlets au comte Derby, pour dire leur nécessité, lequel fut pris de ceux de l’ost et jeté par un engin en la ville.
191
Chap. ccxxix. — Comment le comte Derby sut la nécessité de ceux d’Auberoche, et comment il fit son mandement pour les aller secourir et lever le siége du comte de Lille et des barons gascons qui devant étoient.
192