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Docquois - Le Poème sans nom, 1919.djvu/280
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CLXXXIII
. —
Denis m’étonne. Ce garçon
222
CLXXXIV
. —
Tous les amants sont-ils
223
CLXXXV
. —
L’amour, suprême objet de toute poésie
225
CLXXXVI
. —
L’amour, fait pour planer, périt dès qu’il se vautre
226
CLXXXVII
. —
De certains de nos jours je garde le regret
227
CLXXXVIII
. —
Aurais-tu pas payé quelque homme de police ?
229
CLXXXIX
. —
Comme je me taisais, Denis reprit soudain
230
CXC
. —
Mais revenons. Denis m’apprend que ton galant
231
CXCI
. —
Je m’explique fort bien l’aise que tu ressens
233
CXCII
. —
Tous ces faisans, que ta rage passionnelle
234
CXCIII
. —
Moi, tu m’as ramassé ; tu m’as fait cet hommage !
235
CXCIV
. —
Dans ton petit salon d’œillets tout parfumé
237
CXCV
. —
Au jardin des Orbots, où plus rien ne m’attire
239
CXCVI
. —
Scabreuse, tu l’étais autant que femme en France
240
CXCVII
. —
Combien avidement tu suivis le procès
241
CXCVIII
. —
Certes, l’on peut tout dire ; en ce pays surtout !
243
CXCIX
. —
Poète, quand tu peux, sur l’azur tu cisèles
244
CC
. —
Que tel grand nuageux auteur de moi se moque
245