Accueil
Au hasard
Se connecter
Configuration
Faire un don
À propos de Wikisource
Avertissements
Rechercher
Page
:
Docquois - Le Poème sans nom, 1919.djvu/275
Langue
Suivre
Modifier
Le texte de cette page a été
corrigé
et est conforme au fac-similé.
LXXX
. —
Les premiers jours, notre œil est avide, il se soûle
102
LXXXI
. —
Ces traits, que nous pensions dignes d’une statue
103
LXXXII
. —
Sache-le, toutefois, non, jamais ta figure
104
LXXXIII
. —
Un de nos premiers jours, bras dessus, bras dessous
105
LXXXIV
. —
Nous étions des amants d’identique lignage
107
LXXXV
. —
Donc, si j’avais tenu pour dûment avérés
109
LXXXVI
. —
Vit-il encor, celui qui cueillit tes prémices ?
110
LXXXVII
. —
Tu gardas tes secrets. Je te livrai les miens
111
LXXXVIII
. —
Elle n’était pas forte
113
LXXXIX
. —
Ci-git Laetitia, catin d’un bas hôtel
114
XC
. —
Elle, du moins, me fit toutes ses confidences
115
XCI
. —
À mon étable, en ville, oui, porc, je suis rentré
117
XCII
. —
J’ai retrouvé, bien entendu, ma vieille Elvire
118
XCIII
. —
Je ne reçois personne et ne vais voir personne
119
XCIV
. —
Néanmoins, plus les jours passent, plus elle peste
120
XCV
. —
« La servante au grand cœur », formule lapidaire
121
XCVI
. —
Oui, tu m’aimes encore, ma chère, c’est certain !
122
XCVII
. —
Me rendre le premier ? Non, perds cette espérance !
123
XCVIII
. —
Je suis si sûr que tu céderas la première
124