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Docquois - Le Poème sans nom, 1919.djvu/272
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266
LE POÈME SANS NOM.
XVII
. —
C’est surtout par l’échange incessant de nos vices
25
XVIII
. —
Rappelons-nous, puisqu’aussi bien le souvenir
27
XIX
. —
Quand nous gisions l’un contre l’autre, abasourdis
28
XX
. —
Or, à peine étions-nous tombés du firmament
29
XXI
. —
L’humble fille des champs, tu sais, que j’ai séduite
31
XXII
. —
La nuit venue, et quand de la voûte du temple
32
XXIII
. —
Lorsque je veille ainsi sur son calme sommeil
33
XXIV
. —
Des gens chez qui je loge elle est la seule enfant
34
XXV
. —
Problème ténébreux ! Donc, cette Juliette
35
XXVI
. —
Pourquoi te dévoiler ces sentiments hideux ?
37
XXVII
. —
Nous mentir, on l’a dit, c’est pure charité
38
XXVIII
. —
C’est ainsi ! Parce que, volontairement traître
39
XXIX
. —
Me confesser à toi ! Quelle idée ! Eh ! que diable !
40
XXX
. —
Tu n’as pas fait sur moi le beau geste qui lave
41
XXXI
. —
Te montres-tu, soudain, absorbée, et me plains-je
42
XXXII
. —
Ô tristes humains que vous êtes
43
XXXIII
. —
Quand je suis avec cette humble fille, parfois
45
XXXIV
. —
Nous faut-il renier tous les mauvais moments
46
XXXV
. —
Dis, te rappelles-tu l’ineffable douceur
47
XXXVI
. —
Le soleil n’atteint pas certains creux des vallons
48
XXXVII
. —
Et nous eûmes aussi des instants au jardin
49