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Aristote Metaphysique 1840 2.djvu/388
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II. Il y a un principe simple, et non pas une série de causes qui se prolonge à l’infini.
60
III. Méthode. Il ne faut pas appliquer la même méthode à toutes les sciences. La Physique ne s’accommode pas de la méthode mathématique. Conditions préliminaires de l’étude de la nature.
64
LIVRE TROISIÈME.
(B)
I. Avant d’aborder une science, il faut déterminer quelles questions, quelles difficultés on va avoir à résoudre. Utilité de cette reconnaissance.
66
II. Solution de la première question qui se présente à l’examen : L’étude de tous les genres de causes dépend-elle d’une science unique ?
71
III. Les genres peuvent-ils être considérés comme éléments et comme principes ? Réponse négative.
81
IV. Comment la science peut-elle embrasser l’étude de tous les êtres particuliers ? Autres difficultés qui se rattachent à celle-là.
85
V. Les nombres et les êtres mathématiques, à savoir, les solides, les surfaces, les lignes et les points, peuvent-ils être des éléments ?
97
VI. Pourquoi le philosophe doit-il étudier d’autres êtres que les êtres sensibles ? Les éléments sont-ils en puissance ou en acte ? Les principes sont-ils universels ou particuliers ?
99
LIVRE QUATRIÈME.
(Γ)
I. De l’être en tant qu’être.
103
II. L’étude de l’être en tant qu’être et celle de ses propriétés sont l’objet d’une science unique.
104
III. C’est à la philosophie qu’il appartient de traiter des axiomes mathématiques et de l’essence.
112