Livre:Thomas Felix - La philosophie de Gassendi, 1889.djvu
Titre | La philosophie de Gassendi |
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Auteur | Felix Thomas |
Maison d’édition | Félix Alcan |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1889 |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
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TABLE DES MATIÈRES
INTRODUCTION
Les premiers travaux philosophiques de Gassendi. — 1. Gassendi et Aristote. — 2. Gassendi et Fludd. — 3. Gassendi et Descartes. — 4. Gassendi et Épicure. — 5. Le Syntagma philosophicum. — Raisons principales de son impopularité
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LIVRE PREMIER
LOGIQUE
I. Opinion générale de Gassendi sur la logique. — II. Problème de la certitude, classification de nos connaissances d’après leurs objets ; du critérium de la vérité : sa nature et sa légitimité. — III.
Des idées : leur origine et leur classification. Règles pratiques pour s’assurer de leur exactitude. — IV. De la proposition. Définition et analyse de la proposition. Ses différentes espèces. Des maximes. — V. Du syllogisme. Figures et modes du syllogisme. Règles. — VI. De la méthode. Méthode d’invention ; méthode de jugement et méthode de doctrine
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LIVRE II
PHYSIQUE
PREMIÈRE PARTIE
CHAPITRE PREMIER. — De l’espace et du temps.
I. De l’espace : 1° ses caractères ; 2° sa nature : il n’est ni une substance ni le mode d’une substance, ni une simple conception ; 3° du lieu ; 4° objection : l’espace ainsi conçu ne limite-t-il pas la puissance de Dieu ? — II. Du temps : 1° ses caractères ; 2° ses rapports avec l’espace ; 3° sa nature ; 4° mesure du temps. — III. De l’Immensité et de l’Éternité
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CHAPITRE II. — De la matière.
I. Sens général qu’on attache à ce mot. Nature de la matière : ce qu’elle n’est pas. — II. Ce qu’elle est : théorie des atomes ; leurs propriétés : 1° ils sont ingénérables et incorruptibles ; 2° solides et insécables ; 3° objection et réponse. — III. Du nombre et de la forme des atomes. — IV. Du mouvement. — V. Du vide
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CHAPITRE III. — Du mouvement.
Du mouvement en général. — I. Cause première du mouvement : α Cette cause est dans les atomes. β. Objection et réponse. — II. De la direction du mouvement : α. De l’attraction. β Sa cause. — III. Conclusion. Comparaison entre l’atomisme de Gassendi et l’atomisme d’Epicure
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CHAPITRE IV. — Des qualités des corps.
Qu’entend-on par qualités des corps ? — I. Des qualités occultes. — α. Leur rôle dans la philosophie du moyen âge. — β. A quoi elles se réduisent. — II. Des qualités sensibles. — Qu’entend-on par faculté et par habitude
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CHAPITRE V. — La génération et la vie.
Diverses hypothèses sur la génération et la vie. — I. Hypothèse théologique : refutation. — II. Hypothèse des matérialistes : arguments invoqués en sa faveur. — III. Théorie de Gassendi : A. Des générations spontanées ; explication proposée ; son insuffisance. B. Des générations ordinaires ; comment se forme la semence ; des défauts et des qualités héréditaires. C. De la vie. D. Conclusion
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CHAPITRE VI. — Le monde est-il animé ?
Considérations générales. — I. Le monde est-il animé ? 1. Opinions de Pythagore et de Platon sur l’âme du monde. 2. Difficultés qu’elles soulèvent. 3. Conclusion. — II. Le monde a-t-il eu un commencement ? — III. Aura-t-il une fin ?
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DEUXIÈME PARTIE
DE L’AME SENSITIVE ET DE L’AME RAISONNABLE
CHAPITRE PREMIER. — De la sensibilité.
De la sensibilité en général. — I. Limites de la sensibilité ; de la sensibilité dans les êtres inférieurs. — II. 1. De la sensibilité dans l’animal ; ses caractères : elle suppose l’activité, est interne et immanente. — 2. Conditions générales de la sensibilité ; siège où elle réside. — 3. Nature de la sensibilité. — III. Fonctions de la sensibilité ou des sens. — 1. Données des sens. — 2. De la localisation des sensations. — 3. De la vision binoculaire. — 4. Erreurs des
sens. — IV. Conclusion
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CHAPITRE II. — De l’imagination.
Nécessité d’admettre une faculté de connaitre distincte des sens. Opinion des philosophes qui font l’âme corporelle ; opinion de ceux qui la font incorporelle et divine ; opinion de Gassendi. — I. L’imagination n’est pas distincte du sens commun et de la mémoire. — II. Fonction de l’imagination : de la conservation des images ; explication physiologique. —
III. Du rappel et de l’association des images. — IV. Du jugement. — V. Du raisonnement. — VI. De l’instinct. — VII. Des songes
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CHAPITRE III. — De l’ame raisonnable ou de l’entendement.
De l’entendement et de la phantaisie. — I. Des fonctions de l’entendement : 1° Il a l’appréhension des choses incorporelles. — 2° Par la réflexion, il se connait lui-même et connait ses opérations. — 3° Par le raisonnement, il s’élève à des conceptions dont l’imagination ne peut avoir aucune espèce. — II. Nature de l’entendement. — III. L’entendement ne s’exerce qu’à l’occasion des données des sens et des images dues à la phantaisie. — IV. Objections et réponses
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CHAPITRE IV. — De l’origine des idées et des premiers principes.
Du problème de l’origine des idées. — I. Point d’idées innées : toutes les idées viennent des sens ou sont formées à l’aide des données des sens. — II. Comment se forment nos idées. — Des idées particulières. — Des fictions. — Des idées générales. — Des idées des choses incorporelles ; en quoi elles diffèrent des précédentes. — III. Des premiers principes ; leurs caractères, leur origine. — IV. Conclusion
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CHAPITRE V. — De l’appétit.
I.
En quoi l’appétit diffère de l’imagination et de l’entendement. — 1° Sa nature. — 2° Classification des appétits : de l’appétit raisonnable. — 3° De l’appétit irraisonnable, siège où il réside ; causes qui le favorisent. — II.
Des passions en général : 1° Opinions des philosophes ; définition. — 2° Division des passions. — 3° Passions physiques : douleur, plaisir, désir. — 4° Passions de l’esprit : leur classification. — III. Du plaisir et de la douleur ; leur nature ; classification des plaisirs et des douleurs. — IV. De l’amour et de la haine ; du désir et de l’aversion ; de l’espérance et de la crainte ; de l’audace et de la pusillanimité ; de la colère et de la douceur. — Conclusion
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CHAPITRE VI. — De la volonté et de la liberté.
I.
De la Volonté. Analyse de l’acte volontaire. — II. De la Liberté. — 1° Liberté physique, liberté civile et liberté morale. Définitions. — 2° Conditions de la liberté morale. — 3° Cette liberté appartient non à l’activité spontanée ou à la volonté, mais à la raison. — III. Objection : « Video meliora proboque », etc. Réponse : Commentaire
de la théorie d’Aristote. — IV. Du fatalisme
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CHAPITRE VII. — De la force motrice et du langage.
I.
De la force motrice. Sa nature. Ses principales manifestations. — II. Du langage : les cris et la parole. Du langage intérieur et du langage extérieur ; du langage chez l’homme et chez l’animal. — III. Origine du langage : différentes théories proposées par les philosophes. Opinion d’Épicure
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TROISIÈME PARTIE
CHAPITRE PREMIER . — De l’ame.
I.
De l’âme en général. Philosophes, qui la considèrent comme incorporelle et philosophes qui la considèrent comme corporelle ; méthode à suivre dans cette étude. — II. Du l’âme des animaux. 1. Faits qui prouvent son existence : elle n’est ni une forme, ni un simple rapport ; elle est une substance active, de la nature du feu et, comme le feu, soumise à un renouvellement continuel. 2. Origine de cette âme. 3. Comment, étant formée d’éléments insensibles, peut-elle sentir ? Objections de Plutarque et de Galien. Réponse de Lucrèce et de Gassendi. — III. De l’âme humaine. 1. Différentes manières dont les philosophes l’ont conçue. 2. Cette âme est formée de deux parties, l’une matérielle, l’antre immatérielle. Raisons qui le prouvent. 3. Comment l’âme raisonnable est-elle unie à l’âme sensitive et, par elle, au corps ?
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CHAPITRE II. — De l’immortalité de l’ame.
I.
Diverses théories des philosophes sur l’immortalité de l’âme. — II. Preuves de l’immortalité. A. Preuve physique. B. Preuves morales tirées : 1° de la croyance universelle ; 2° du désir de l’Immortalité ; 2° de la nécessité d’une sanction future. — Objections d’Épicure. Réfutation
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LIVRE III
MORALE ET THÉOLOGIE NATURELLE
CHAPITRE PREMIER
I.
Origine de la science morale. Son importance. Diverses théories des philosophes sur le Bonheur et le souverain Bien. — II. Théorie d’Épicure : 1. Différences des jugements portés sur elle. 2. De la volupté. 3. Du souverain Bien. 4. Moyens de l’atteindre. 5. Différences entre cette théorie et celles d’Aristippe et de Zénon. — III. Théorie de Gassendi : A. Que la volupté est de soi un bien ; B. Que tous les biens particuliers ne sont désirés que pour elle ; C. Rapports du bonheur et de la vertu
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CHAPITRE II. — De la vertu.
I.
De la vertu en général. Commentaire de la définition d’Aristote. Critique de la définition des stoïciens. Connexion des vertus entre elles. — II. De la Prudence. Devoirs qu’elle nous impose : 1° envers nous-mêmes ; 2° envers la famille ; 3° envers l’État. — III. De la Force. Moyens d’acquérir et de conserver cette vertu. — IV. De la Tempérance et des vertus qui s’y rattachent. — V. De la Justice, du Droit et des Lois
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CHAPITRE III. — Théologie naturelle.
I.
De l’Existence de Dieu : preuve. — II. Idée générale que nous pouvons nous faire de Dieu. — III. Ses attributs : α. Unité, Immensité, Éternité ; β. Intelligence, Puissance, Bonté, Liberté, Béatitude. — IV. Dieu considéré dans ses rapports avec le monde : A. De la Création ; B. De la Providence. — V. Soin que Dieu prend du monde en général. — VI. Soin que Dieu prend de l’homme en particulier
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Conclusion
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Coulommiers. — Typ. P. BRODARD et GALLOIS.